Princesse de feu w/Nekfeu

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« Pardonner »

Point de vue Ken

Elle était tellement bouleversée, qu'elle ne parlait que pour me demander si je pouvais dormir avec elle, bien évidement j'acceptais.

Sa meilleure amie ne donnait aucune nouvelle ainsi que sa sœur, c'était étrange mais je disais rien. Des rendez-vous au poste de police se fait souvent pour la mort de Thomas et Syhem n'as pas hésiter une seule seconde pour dire toute la vérité et ils ont déduit que c'était de l'auto défense et qu'elle devrait aller voir la psychologue une fois par semaine afin qu'elle puisse apaiser ce traumatisme.

On sait tous que la psychologue ne l'aideras pas vu qu'elle est super têtue...

J'me suis occupée de retirer son inscription à l'université car elle n'était plus apte à continué les cours et puis elle en avait plus besoin. J'estime que c'est du temps perdu.

Elle ne mangeait plus, elle avait le regard vide et sûrement le cœur vide aussi.

J'aime pas la voir comme ça.

Point de vue Syhem

J'ai l'impression que mon coeur est inexistant mais j'arrive quand même à sourire, à sourire sans les yeux.

Je veux que tout ça soit un cauchemars et que j'me réveille dans un lit au chaud. Mais non, tout ça est réel.

J'ai pas adressée un mot aux garçons, je suis tellement surprise par tout c'que j'viens d'apprendre. Même si Sneaz et Ken conduisait ils étaient tout de même complice et ça m'fais mal.

J'ai même pas la force de reprendre la boxe, j'suis fatiguée de vivre.

Ken : Syhem... écoute moi.

J'arrivais même pas à répondre juste à le regardais d'un air déçu.

Ken : Écoute si je suis allé chez Thomas c'était tout complément pour tout avouer parce-que j'arrivais pas à te cacher ça, je t'assure qu'on avait vraiment pas le choix à l'époque. On avait tellement peurs.

Je restais silencieuse et je réfléchissais à ce qu'il disait.

Ken :  Je t'en pris pardonne moi.

Syhem : Je sais même pas quoi te dire, en vrai j'suis personne pour pas pardonner... Je suis juste dégoûtée en faites.

J'vais essayée de rester normal devant les garçons, après tout ils me connaissaient pas avant donc raison de plus pour leurs « pardonner »