La vie, le mort, what ever?

3 0 0
                                    

Chronique n°1

La vie, le mort, what ever?
Au final, la mort nous rattrape. Nous naissons, nous grandissons, nous vivons et nous mourrons. Nous ne somme pas a l'abri du décès d'un proche, d'un ami, d'un parent ou même de quelqu'un qu'on ne connaissais pas. Ça nous empêche pas d'être attristé par cette mort.
C'est si soudain, si rapide, on a pas le temps de nous y préparer. En une seconde, notre vie bascule et c'est ces épreuves qui nous font grandir. C'est la souffrance qui nous fait murir et oublier l'innocence enfantine dans laquelle on peut baigner tout les jours. Non la vie n'est pas rose même si certaines d'entre nous s'efforce de sourire, d'être agréable et de faire rire la galerie pour masquer leur propre décadence émotionnelle. Aujourd'hui est l'un de ce jours, je viens de malencontreusement apprendre que la maman d'une connaissance est morte d'un cancer. Elle le savait, on le savait tous mais on a préférer ne pas y penser jusqu'au jour ou cette personne disparait. Et durant ce laps de temps d'ignorance, on se permet de juger, de critiquer, d'être médisant et de ne penser qu'a notre gueule. Mais il n'y pas de juste milieu il n'y en aura jamais. On s'en voudra toujours de ne pas avoir fait-ci ou fait-ca, de ne pas avoir dit-ci ou ça, de ne pas avoir été assez présent. Être présent pour quelqu'un demande une implication que pas tout le monde est capable de fournir. Parce qu'encore ou est le juste milieu entre « penser qu'a soi » et « penser au autres ». La frontière entre l'égoïsme et l'altruisme est tenu et on en pas conscience. Il y a énormément de choses dont on a pas conscience, la notion de bien ou de mal est subjective. La notion entre vérité et mensonge l'est aussi. C'est tellement difficile a décrire, a posez ce que l'on ressent sur un bout d'un papier mais tout est entrainement.
Qui somme-nous pour nous permettre de juger qui que ce soit? Parce que c'est ce que l'on fait constamment, on juge. On se permet de porter des avis sur une personne qu'on ne connait pas et de les dire a voix hautes, de les assumer. Mais nous ne sommes pas aptes a faire ça, nous sommes tous humains. Des erreurs ont en as tous fait, on en as regretté certaines et assumé d'autres et on a détesté au plus haut point les personnes qui se permettait de nous
CHRONIQUE N°3 "1
juger et de nous condamner pour un certain comportement alors qu'ils n'avaient que 50% des faits. Mais bien sur tout passe et un jour nous reproduisons inconsciemment un comportement qu'on s'est juré de ne pas avoir. Et on déçoit quelqu'un. Mais ce qu'il nous reste encore difficile a comprendre et a appliquer dans notre vie, c'est que l'on doit rien a personne. Même a nos parents qui nous ont donné la vie, nous ont donné une éducation et se sont sacrifié pour nous , on ne leur doit rien. C'est a nous mêmes que l'ont doit rendre des compte. On se doit de toujours rester intègre avec nos valeurs et principes, on se doit d'assumer nos actes et nos paroles, on se doit de nous excuser quand on a tort et d'assumer quand on est persuadés que nous sommes dans nos droits même quand le monde entier vous a tournez le dos. Mais on ne doit rendre de compte a personne. Les seules limites qui existent sont celles que l'on s'impose. On ne se rend pas compte qu'on est tous libres et non enchainés. Au contraire, on a le droit au libre arbitre, on a le droit de penser et de vivre la vie qu'on entend (enfin la plupart d'entre nous, d'autres doivent se battre pour l'obtenir). Quand on regarde tous ce que l'on as, on ne peut que remercier. Qui vous voulez , je m'en fous tout dépend de vos croyances. Moi, dans mon cas, je remercierais Dieu pour m'avoir donné tout ce que j'ai : une famille, des amis, de l'argent, un physique, un beau visage, un beau sourire, une bonne santé (que je ne sais pour quels raisons je m'efforce a tuer), un cerveau, de l'intelligence. Quand je compare tous ce que j'ai en capital vie, et me dire que du jour au lendemain je peux perdre ce que j'ai : ma famille dans un accident de voiture, mes amis pour un dispute, l'argent, ma propre santé je relativise et me dis que mes propres douleurs, souffrances et problèmes quotidiens ne sont rien comparé a ce que d'autres vivent ou ont vécu et s'en sont relevé. Pas indemnes certes mais vivant. Et je me dis que notre minuscule « vie » ne tient qu'a un fil continu dans l'espace temps, qui a force d'être étiré finira par se rompre. Je vois nos vie comme 7 milliards de fils entremêles en pelote a l'infini. Quand un fil se rompt, quelqu'un nous as quittée et les fils qui y étaient entremêlés représentant ses relations sociales se sont dissociés et se sont renoués ailleurs.

Syndrome de Peter-pan Où les histoires vivent. Découvrez maintenant