Essaie

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Viol vol folle j'écris jusqu'en tomber de fatigue, de critiques, aboulique, abiotique

Rien ne me détend pas même les antibiotique antistatique je ressens chaque douleur.

Du sang sur les mains au réveil d'un rêve bien trop réel, loin d'être frêle, je frôle la mort.

Pêcher, pêcheur, prêcheur, ardeur de devenir qui je suis.

L'homme du passé m'effraie de jour comme de nuit, depuis petit un seul repère, pas de pair, seul à chaque pas, je grandis, ma solitude et le temps qui passe, les gens ne se préoccupe pas de moi. Un simple passage dans leur vie, je suis, je fuis, je ne suis que de passage dans ce monde qui fout la rage, je nage loin des plages, l'horizon me guide et le courant m'amène, et mamène je ne sais pas d'où je viens surement un des motels du coin.

Une arme à la main, je ne me sens pas mortel ; pas plus que celui qui se jette du haut de son toit. Croit moi je n'ai pas besoin de toi. Que tu m'aime, où que tu ne m'aime pas, je ferais tout pour ne pas m'attacher à toi ; mais je sais que ça ne marcheras pas. A chaque fois que je marche tu n'imagines même pas tout ce que j'ai fait pour en arriver là. A chaque pas j'ai enduré tout ce qu'au final j'ai surement mérité, des heures à méditer après le passage du démon abominant.

Tu ne me connais pas et ça ne seras jamais le cas ; tu dis comprendre mais tu n'as pas eu à faire à tout ça. Un passé si lourd que tu ne comprendrais pas. Plus que des gestes une détresse un stress, je m'empresse de forger cette forteresse. Mes actes ne me définissent pas, dit celui qui n'assume pas. Peu importe à qui je fais face tout n'est que préface. Quitte ta carapace et laisse sortir le rapace qui est en toi rien ne me fait peur pas même toi ! Mon cœur remplit de haine pire qu'une encre que tu traînes je ne t'arrêterais pas, mais si tu sautes tu m'entraîneras au fond avec ton désarroi. Je suis certes à fond mais ne commet pas l'erreur que je n'oserais pas.

Les pensées tactiques lunatique irréfléchie tu réfléchie au sens des mots qui pour moi n'en n'ont pas. Un ressentie plus qu'une définition sans finition sans fonds au fonds il n'y a que toi qui ressent l'écrit, les touches sur le clavier appuie chaque envie de sens pas d'effusion de sens on passe à la fusion du sang. La vie te moule d'une forme conformément à rentrer dans le rang par affusion, mais aucun liquide ne me façonne et me dicte ma conduite en robot jamais je ne m'abaisserais.

Loin de moi la critique chaque jugement devrait être constructif en tout cas j'espère que tu kiffe.

Tu es ma proie, enfermée par mes mots, loin de tes mémos tu perds tes mots, mineur tu deviens à trop te laisser guidé ne te laisse pas prendre de naïveté. Ton oisiveté à guetter peut rendre aux gens dès la matinée un peu de gaieté. Gay t'es, on te dit c'est pas grave, mais le seul qui gave c'est celui qui t'a critiquer, qui peut être celui à juger des actes des autres ? Sans lui-même se regarder, que s'est-il passer pour que tu ne sois pas capable de t'occuper de ton pedigree ? Ton chien a peut-être finis par le manger.    



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L'addicte aux pensées lunatiquesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant