Chapitre 1

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Pdv (Point de vue) Suleyman:

( BROUHAHA )

— UNPEU DE SILENCE SIL VOUS PLAIT!! Cria monsieur Poyet ne s'étant visiblement pas moins détendu durant la période des grandes vacances.

— Krilin t'es zehef ?

Cette remarque fit éclater de rire la majorité des élèves regroupés devant le tableau d'affichage du self. Certaines filles riaient faussement fort pour attirer le regard de l'auteur qui n'était autre que..

— Hachar Yanis, toujours aussi farceur à ce que je vois.

— Elle était plutôt pas mal hein. Fit t'il sourire aux lèvres.

— C'est ton année qui s'annonce mal, dans mon bureau jeune homme.

— Ah, ouais. Il levât ses bras pour les placer derrière sa nuque tout fier et se dirigea de lui même vers les bureaux administratifs, sûrement une habitude qu'il avais pris.

Monsieur Poyet le suivit dans son bureau et ferma la porte.

L'attention de tous se redirigea vers les tableaux. Les gens prenaient du plaisir à ce pousser, en l'occurrence pas moi. Je rentris dans la foulé et écarta les quelques-uns qui gênaient à ma vision.

— Bouge voir. M'exclamais-je

— Toi décale frérot, qu'es-tu compte faire ?

— Zehef pas parce que ton gros crâne sure le pare brise à Djal que j'vais rien faire.

— Eeeeh gros sayai, me mêle pas à t'es projets Suley et laisse ma vago en dehors de tous ça. C'est le premier jour vous aller faire behdila comme ça? Décale toi Djibril.

— Comment ça décaler? Sacrait farce j'suis sa pute aussi non ?

— Ouais une grosse chienne. Repris-je

— Toi sur la vie d'ma mère jvai-

— Stop. Djala les yeux au ciel exaspérés se mis entre moi et Djibril. Zbi poussez vous trou du culs.

Une main autour de mon bras et une autour du zgeg précèdent, il nous tira devant le tableau.
Mes yeux se jetèrent furtivement sur les centaines de prénoms indiquée par ordre alphabétique.

— Djala Maartin terminal B3, il va unpeu plus bas sur la liste avec son doigt puis il s'arrête.

— Suleyman Tekri lis-je.

— Ayaya bien vue la lecture. Ricana Djibril.

Djala reserra sa poigne sur nos bras avant que je ne puisse répliquer.

— EH SULEY DERNIÈRE ANNÉE ON FOU LE ZBEL !!

— Ouais.

— Ah vazi d'accord, we tranquille mmh d'accord maintenant dit moi qui te dépose chez toi depuis deux ans et sauve ta scolarité?

— .....

— Sois reconnaissant.

— C'est pour la daronne normal. C'était le seule argument que j'ai pu trouver à ce moment là, j'avoue.

— M'en batlescouilles.

— Ok, ouais merci d'être là Oh grand Djala bienfaiteur de l'univers sans toi qu'aurais-je pus faire? Dis-je sur le ton le plus faux possible.

Désespéré comme toujours il soupira et fit rouler ses yeux au ciel pour les poser sur Djibril.

Djibril retira sont bras de l'emprise du poignet de Djala. Irrité il partie en direction de la cour.

Le symptômeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant