Temps maussade

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Je me réveille épuisé ! Avec l'envie de rester enfouie dans mon lit, une envie de ne plus rien faire. Je passe mes journée à attendre la suivante. Cet attente m'énerve, me désespère et me fatigue. Je veux disparaître. Mes réflexions forme un brouillard dans le quel je me perd. Je me frotte les yeux pour essuyer ces pensée maussade pour nettoyer mon regard suivie d'un bâillement pour rincer le tout. Elles se sont réfugier en boule dans ma tête, contrarier, je soupire et je reste assise. Pourquoi ? Pourquoi est le seule mot qui perce dû brouillard. Maudit songe qui se sont enfuie dans ma tête, les rendant inaccessible. Attendre dans mon lit une réponse, n'est pas une solution, autant directement m'allonger dans un cercueil. Je me dit que c'est peut-être mon lit qui m'empêche d'évacuer ces pensée, peut-être qu'elles veulent rester coucher. Je me lève et elles se lèvent avec moi. Elles m'embrouillent et pour ne pas aider, me voilà à court de temps pour me préparer tranquillement. Le soleil ne c'est pas encore lever mais il y a de l'agitation dans la rue. Des gens qui marche et des voitures qui roule. Que font ces gens pour avoir le besoin de partie au moment où je me lève ? Je déjeune rapidement mais je perd du temps à choisir ma tenu. Au moment où je me dirige vers la salle de bains je suis officiellement en retard. Pour rien arranger quelque occupe déjà cette pièce. J'attends. Le soleil se lève mais il semble y avoir des nuages à l'extérieur. Le temps ne permet pas à mes pensée de s'envoler vers le ciel. Le ciel est lui aussi plein de brouillard. Je soupire, je toque poliment à la porte et elle s'ouvre. Je m'engouffre dans l'ouverture plongeant dans la buée chaude. Pas le temps de vérifier si mes pensée pourrait se noyer en prenant une douche, j'ai autre chose à faire. J'ai pensée à quoi au réveille ? Je m'observe dans le miroir essayant de me souvenir. Je bloque. Je me débloque, je me rappelle que j'ai une vie a mener et que je suis en retard. J'ai autre chose à faire que de songer au brouillard. Je lasse mes chaussure, descend les escaliers à toute vitesse et cour vers ma destination. Il fait gris mais pas le temps de pensée au temps, j'ai vingt minutes de retard et le temps du trajet ne va rien arranger.

Rien de fantastique aujourd'huiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant