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⚠️ c'est histoires ne sont pas les miennes, ce sont des histoires trouvé sur Internet et qui m'ont plus⚠️

~~Catégorie : malédictions~~

Un étrange tableau serait-il à l'origine de mystérieux incendies ?

Titre ~~ Garçon qui pleure

En Grande-Bretagne, les légendes sont légions. Mais une en particulier a fait couler, jusqu'à nos jours, beaucoup d'encre : la légende de la « Malédiction du tableau du Garçon qui pleure » ou « The Curse of the Crying Boy Painting » en anglais.

Tout débute en 1985. Le 4 septembre, The Sun – qui était alors le tabloïde le plus populaire en Angleterre – publie en page 13 de son journal l'étrange mésaventure d'un couple qui a vu le rez-de-chaussée de sa maison réduit en cendres suite à un incendie dont l'origine est inexpliquée. Fait surprenant, parmi les ruines, un tableau est retrouvé intact, accroché aux vestiges du mur de la cuisine. Ni les flammes ni même la fumée ne l'ont endommagé ! Le tableau représente un enfant dont des larmes perlent ses joues, la toile est par ailleurs intitulée sobrement : « Le Garçon qui pleure»

 Ni les flammes ni même la fumée ne l'ont endommagé ! Le tableau représente un enfant dont des larmes perlent ses joues, la toile est par ailleurs intitulée sobrement : « Le Garçon qui pleure»

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Ou

Ce qui donne une telle ampleur à ce fait-divers, qui aurait pu se contenter d'un petit encart dans le journal, ce sont les déclarations d'un pompier, Alan Wilkinson, qui était présent lors de l'évènement : « On a recensé beaucoup de cas dans lesqu...

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Ce qui donne une telle ampleur à ce fait-divers, qui aurait pu se contenter d'un petit encart dans le journal, ce sont les déclarations d'un pompier, Alan Wilkinson, qui était présent lors de l'évènement : « On a recensé beaucoup de cas dans lesquels le tableau du « Crying Boy » a été retrouvé indemne parmi les restes de maisons victimes d'incendies ». Cette déclaration va mettre tout le Royaume-Uni en émoi.

⚠️La psychose commence..⚠️

En effet, à l'époque, on dénombre officiellement pas moins de 50'000 copies de ce tableau, très populaire principalement dans les foyers de la classe ouvrière du nord du pays. The Sun, sentant le bon filon, alors en rivalité avec le Daily Mirror, va faire de cette histoire une vraie mine d'or. Les témoignages affluent en masse, racontant toujours la même histoire : la maison a pris feu pour des raisons inconnues et seuls les tableaux du « Garçon qui pleure » réchappent du désastre. On les retrouve dans les décombres encore fumants des demeures, intacts, entiers, vierges de la moindre trace de brûlure ou de fumée. Le phénomène prend alors une dimension nationale sans précédent. La panique monte au sein de la population, les courriers de lecteurs pleuvent à la rédaction du Sun qui jubile de cette Corne d'Abondance inespérée. On ne compte plus les récits d'incendies inexpliqués liés à la présence du tableau : Doria Mann, Brian Parks, Ron et Mary Hall sont autant de noms relayant ces témoignages. Une autre femme prétend même qu'elle, sa belle-sœur ainsi qu'un ami ont été frappés par la malédiction après avoir fait l'acquisition du tableau. Et la légende commence à connaître quelques variantes : le tableau changerait de position par lui-même ou encore serait responsable de la mort de proches des détenteurs. On voit également apparaître des récits de « Fillette qui pleure » (une fille remplaçant le garçon sur le portrait) et aussi des versions du tableau avec un garçon et une fille tenant un bouquet de fleurs.

La psychose atteint des sommets, surtout que des pompiers sont régulièrement interrogés sur le phénomène. Même s'ils restent sceptiques sur les causes du déclenchement des incendies, aucun n'ose avancer d'hypothèse sur le fait que les tableaux soient toujours retrouvés parfaitement conservés. Dans une caserne, un soldat du feu trouva amusant d'accrocher une copie du tableau dans les locaux de la caserne, ce qui ne fut pas du goût de son chef qui lui ordonna de le retirer. Ironie du sort, la cuisine du bâtiment fut, le jour même, la proie des flammes et réduite en cendres.

Malgré tout, la légende était bien née et on la vit apparaître pour la première fois dans d'autres pays dans le courant des années 90. Puis, en 2000, Tom Slemen fit revivre la malédiction dans son livre Haunted Liverpool. Une série-documentaire de la télévision britannique intitulée Scream Team se penchera même sur la « malédiction » en 2002.

⚠️Quelles sont les origines du « garçon qui pleure »⚠️

L'œuvre originale est intitulée « Niño Llorando » et a été peinte par un artiste espagnol du nom de Bruno Amadio également connu sous divers pseudonymes : Giovanni Bragolin, J. Bragolin ou Franchot Seville. L'histoire raconte que Amadio prit pour modèle, en 1969, un jeune orphelin des rues qui « avait une tristesse incroyable qui se lisait sur son visage ». Un prêtre catholique aurait alors reconnu le jeune garçon comme étant Don Bonillo, un enfant qui aurait vu ses parents mourir par le feu. Le prêtre conseilla alors au peintre de ne pas approcher l'enfant, car, selon la rumeur, des incendies inexpliqués se déclaraient en sa présence, ce qui valut au garçon le surnom de « Diablo ». Amadio n'en teint pas compte, mais la rumeur se confirma ; lorsqu'il eut fini le tableau, son atelier prit feu et le jeune garçon avait disparu. Mais l'histoire ne s'arrête pas là !

En 1976, un terrible accident de car survint dans la périphérie de Barcelone. Le véhicule fut complètement brûlé ainsi que ses occupants. Toutefois, parmi les cendres, on retrouva un permis de conduire partiellement épargné par les flammes sur lequel on pouvait lire le nom de Don Bonillo, un jeune homme alors âgé de 19 ans...

Il est toutefois intéressant de signaler qu'une autre version du tableau existe, qui est elle aussi rattachée à la malédiction. L'œuvre est signée par l'artiste écossaise Anna Zinkeisen, mais cette version de la peinture tient une place marginale dans la légende.

⚠️Le mystère demeurent...⚠️

De nos jours encore la malédiction figure parmi les grandes énigmes contemporaines. Certains avancent des solutions pour le moins hasardeuses pour s'attirer les bonnes faveurs du Garçon : être aimable avec le tableau ou alors pendre la « Fillette qui pleure» juste à côté pour calmer la fureur du garçon.
Quoi qu'il en soit, la malédiction du « Garçon qui pleure » reste bien vivante, se porte bien et n'attend qu'une chose : trouver de nouvelles victimes !

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Bien bien ... alors cette source vient de Dark Stories , c'est un site horreur il y a un peu de tout !!

A propos de cette histoire , je ne sais pas si c'est vrais en tout cas c'est assez triste !

Saluuuuuut 🤪🤪

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⏰ Dernière mise à jour : Mar 19, 2019 ⏰

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