Chapitre 1: Le Choque...

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Flashforward

20 Novembre 2018. Dans la chambre de Lise.

J'avais mal, je souffrais. J'arrivais à peine ouvrir mes yeux. J'étais entouré de flammes. Oh mon Dieu !!! Je devais hurlais, je devais crier, je devais... Je ne pouvais rien faire, je me sentais pris au piège. Nooon !!! Je n'arrivais même pas à ouvrir ma bouche. Je n'étais pas dehors, mes jambes. Messsss JAMBES. Elle était recouverte de sang. J'ai fait quoi ? Non si c'était moi... Je devais sortit d'ici. Les rideaux brûlaient, un tas de carton pris flammes à son tour. J'essayais de trouver du regard mon sac, là-bas. Il était à ma gauche au sol. Les flammes ne l'avaient encore pas atteint.

J'essayais de l'attraper avec ma main gauche mais, c'était peine perdue, il était trop loin. J'avais de plus en plus du mal à respirer. Il ne manquait plus que ça. Je m'agrippai au pied du lit et je le tenais de toutes mes forces pour me lever. À ce moment-là, j'avais oublié le sens du temps, c'était comme si le temps s'était arrêté et que seul ce pied de lit et moi étaient au monde. Seul, personne pour m'aider. Je continuais, mais mes yeux commençaient à s'alourdir. L'odeur du feu, le noir, les douleurs qui parcouraient tout mon corps m'avaient achevé. C'était finie pour moi. Terminer. The end.

Je pouvais vous le répéter dans tous les langues que je peux, mais voilà. Lise SMITH partait pour l'au-delà. Avec tous ses rêves, tous ses souvenirs. J'avais mes remords, mais aussi mes gloires...

***

07 : 00, 01 septembre 2018. Dans la demeure des SMITH.

Son de l'alarme

J'ouvrais à peine mes yeux, que la seule chose que j'avais envie de faire s'était de balancer mon Smartphone contre le mur en face. Mais non... Comme chaque matin, maintenant depuis des années, je soulevais mon bras pour attraper cet objet qui était toute ma vie et mon pire ennemi. Vous allez me dire que ce, je viens de dire est totalement opposés, mais croyez-moi, aujourd'hui nous tous nous avons un smartphone, mais la seule fonction que l'on déteste et l'alarme. J'avais envie de me recouvrir de mon beau matelas, mais l'université m'attend. Étudier par ci, étudier par-là, non mais. Je ne comprends pas pourquoi je devrais étudier, si je peux déjà tout m'acheter. Bon, Miss Smith, si vos plaintes sont finies, c'est le moment de se lever. Dès que j'avais fini ma morale interne, je remarque que l'horloge de ma chambre pointe sa petite aiguille sur le 7, et sa longue aiguille sur 30.

Préparer, et prêt pour dégager étudier, je fis signe à ma mère. Mais comme d'habitude, elle ne me remarqua même pas. Elle avait l'air perdu dans ces classeurs au beau milieu de son bureau. Je claquai la porte, et me rappelai que mon frère n'allait pas me ramener à l'école aujourd'hui. Donc, je vais devoir supporter mon chauffeur. Super, il ne manque plus que lui. Je le cherchais du regard, mais j'entendis sa voix dans mon dos. Il s'avance vers la voiture et me fit signe de monter. Je n'allais cette fois pas bougé. Monsieur du CON, dois ouvrir ma porte. Il faisait, je crois qu'il faisait 13C°. Je pouvais bien attendre quelques minutes, pour qu'il remarque qu'il devait ouvrir ma porte. Et NON, Monsieur s'en foutait complètement de moi. Il ouvra sa porte et s'assoit. Il me regardait d'un ton glacial. Vais-je le laissé tranquille ? Eh ben non ! Je me retournai vers la porte, et commençais ma marche. Il devait comprendre que son job était en danger. À peine que j'avais commencé, j'entendis une portière s'ouvrir. Yes, Monsieur ouvrait ma portière. Je m'assois à ma place et ne fus plus un bruit. D'ailleurs, durant tout le trajet, le silence avait régné. Je pense que j'avais réussi à l'énerver.

Arrivé, il m'ouvra ma portière et je descendis prudemment. Lise ne devait pas tomber. Ah non ! Je n'avais pas du tout envie d'apparaître dans le journal ringard de l'université. Un petit coup d'œil à mon smartphone pour voir un quelconque message de mes amies, et c'est parti pour une nouvelle journée. Un peu stressé de ne pas avoir reçu de message ce matin de la part de Léa, ma meilleure amie, je m'avançais vers la cafétéria. Qui sait, peut-être qu'elle a eu un petit souci ce matin.

The Beginning Of The EndOù les histoires vivent. Découvrez maintenant