Prologue 1

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Point de vue d'Ink :

- Tient c'est étrange je ne me rappelle pas cet endroit ?

Dit le créateur à voix haute, le son de sa voix résonnant dans l'immensité de l'espace vide. Ink curieux s'avança dans cette UA qu'il ne connaissait pas, Une nouvelle création ? Ou une création oublier ? Il ne savait absolument pas où il était. Il n'avait fait qu'emprunter une fissure qu'il avait remarqué dans un autre UA. Il avait pensé que c'était sans doute encore un mauvais tour d'Error. Mais visiblement ce n'était pas le cas, car ce monde bien que vide avait un intérêt. En effet les bâtiments, la forêt, même la neige n'était qu'une vague esquisse, comme si on n'avait pas fini un dessin. Fixant une des lignes noires au sol, le créateur remarqua un étrange reflet, en s'approchant il ramassa ce qu'il supposer être un morceau de verre. Il remarqua rapidement les trois autres morceaux disperser au sol.

Le créateur leva un sourcil fictif, intriguer. Il se saisit à sa ceinture d'une petite fiole orange dont il avala le contenue. C'était l'orange de la curiosité. Le créateur ramassa les morceaux de verre épars. Les rassemblant en un petit tas a ces pieds. Il sortit de son dos le pinceau géant qui y reposait. D'un jet d'encre magique il répara les pièces éparses. Le créateur eu un hoquet de surprise. Il avait face à lui une petite âme, une âme de monstre. C'était improbable, toutes les âmes de monstre que le créateur avait rencontré disparaissez si elle était ainsi brisée. Ink regarda à nouveaux autour de lui, un éclair de compréhension le traversât. Il était dans un monde figer, abandonner, ou le temps n'avais plus court ce qui avait permis à cette âme de perduré, même dans cet état pitoyable. Distrait par ses conclusions le peintre ne remarqua pas immédiatement que l'âme réanimé c'était mis à luire et s'élever doucement dans les airs. Ce n'est que quand elle fondit sur lui qu'il la remarqua, mais il ne pouvait plus léviter, déjà celle-ci se loger entre ses cote vide. Le souffle coupé le créateur sentit pour la première fois son cœur battre. 

L'étonnante futilité des paradoxesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant