Seule au milieu du néant, j'observe cette tache blanche. Elle m'interpelle, m'appelle, me dit de venir. C'est trop simple, trop cliché. Tout est trop cliché : moi, toi, eux, lui. J'ai peur mais je crois que je ne devrai pas. Elle continue de me dire que tout ira bien au près d'elle, que ce trou noir ne mène a rien. Elle cri mon nom et répète qu'après 1an passer ici, il serait stupide de continuer a chercher. Elle est là. "Tu m'as trouvée, cesse donc cette quête infernale". Elle a raison, elle est là. Mais tout le monde veux la tache blanche. Moi, j'aimerai savoir ce que le sombre néant peut m'apprendre. Alors, je rebrousse chemin. J'étouffe sa voix de mon ombre. Je l'écoute une dernière fois, peut être ne la reverai-je jamais. J'accélère le pas, je cours, je fui. Je cherche. J'observe. Je sens. Je touche. Et je les ai vu. Elles sont là. Présentent avec leurs corps à complimenter, leurs longs cheveux noir et leur peau parfaite mais aussi avec leurs imperfections si répugnante qu'elles ne méritent d'être citée, elles me regardent. Toutes les trois debout, formant un triangle des Bermudes, nous noyant dans cette tache noir on ne faisait que ce regarder. Colère, peur, mépris, honte, pitié et envie. Nous sommes comme des miroirs qui se reflète à l'infini mais avec une différence. Oui, une seule différence : un regard. Un regard qui traduit cette couleur, ce sentiments, cette différence. L'une d'entre elles, est douce, calme et agréable. Malheureusement, elle est la plus légère sur la balance des décisions. L'autre est dangereuse, terrifiante, mal-aimante. Et c'est terrible d'admettre que nous somme les jumelles de la fratrie. J'ai pris la parole, mais comme l'habitude l'avais écrit, je ne fais que me battre avec le feu pendant que le souffle essaie de nous faire taire. Je pense qu'il est trop tôt pour trouver une solution. Nos cris et nos larmes n'ont pas finis leur croissance. Nous non plus. Mais les questions peuvent se poser. Les réflexions ont couler entre deux morsures. Les idées ont touchée entre deux larmes. Les espoirs sont nés entre deux meurtres. Les sourires se sont montrer entre deux bombardements. Les enlacements se sont approchés entre deux regards de haine. Et maintenant je me retrouve dans cette tache blanche entourée de leurs bras. Aujourd'hui, j'ai fais un câlin avec moi même et je suis passé du malheur au bonheur même si je sais pertinemment que je retournerai voir le noir du néant un jour ou l'autre.