CHAPITRE #1: LE BEAU PERE

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Salut!!! Mon nom c’est Maxence j’ai 17 ans et je suis gay. Je ne suis pas le gars le plus sociable de mon école, je suis plus du genre a toujours traîné mes écouteurs et les enfiler quand les gens me parles. Je passe au gym 2 fois par semaine, le reste du temps je le passe en forêt. D’ailleur, samedi dernier je me suis enfoncé plus loin dans la forêt de la montagne (forêt ou les gens n’aime pas s’aventurer, à cause de la rumeur; ceux qui s’y aventure n’en sortent pas.) j’ai eu l'étrange sensation d'être épié dans tous mes faits et geste, j’ai donc décidé de retourner chez moi. De retour à la maison, j’ai l’impression qu’il n’y a personne, il est tard, toutes les lumières de la maison sont éteintes et plus aucun bruits. Je me dirigeais vers ma chambre quand quelqu’un m'interpelle.

lui: ou était-tu jeune homme il se fait bien tard?!

moi: depuis quand est-ce que ma vie t'intéresse!!! tu n'es même pas mon vrai père!!!

lui: petit insolent tu va me le payer!!!

Je me dirige rapidement vers les escaliers sachant parfaitement ce qui m’attend. Mon beau pere, me suis tout en détachant sa ceinture. j’ai des sueurs froides, j’entre dans ma chambre, il me suis. Il me regarde, son regard est aussi noir que la nuit.

lui: Maxence!!!

moi: …

Il se rapproche de moi, sa ceinture la main. Il me donne un coup de pied derrière les genoux, je tombe accroupi dos a lui je suis domine.

lui: j’en ai marre de ton trouble de bipolarité jeune homme!!!

moi: ce n’est pas ma faute merde!!! je suis née comme ca!!!

Le coup de ceinture retenti dans toute la pièce. Je crois que je saigne.

lui: en plus tu ose me manquer de respect!!! tu es un sale petit merdeux!!!

Il me redonne un autre coup de ceinture, je sens ma peau se fendre sous ce coup. S’en est trop, je m’effondre de douleur.

lui: change de chandail et jette le je veux pas que ta mere voies ca quand elle va revenir de son voyage!!!

Je ne dit rien, la douleur est trop vive. Je n’ose pas crier. Ca fait trop longtemps que ça dure, j’en ai marre!!! mon dos est couvert de cicatrice.

mon beau père sort de ma chambre, je me déshabille et me tourne vers le miroir, mon dos est ensanglanté. Ces coupures ne sont que des plaies minimes vis à vis les cicatrices que  cause par mon beau père. Cette nuit là, je n’ai pas fermé l’oeil tellement ma peau brûlait, j’avais envie de me l’arracher juste pour ne plus sentir ces cicatrices. Ce matin, j'étais vidée, j’avais très peu dormi. heureusement, aujourd’hui c’est congé mais malheureusement mon beau pere etais a la maison, je savais que ma journée ne serait pas de tout repos. il est environ 7h30 quand Marc (mon beau père) apparaît dans le cadre de porte…

lui: aller jeune homme lève toi!!! tu va me faire le ménage dans cette maison!!!

moi: mhmhmh laisse moi dormir!!!

lui: j’ai dit lève toi!!!

moi: merde mais je peux jamais rien faire dans cette maison!!!

lui: je t’ai dit de te lever, alors lève toi!!!

mon beau père empoigne mon matelas, le tire et le soulève me faisant tomber. Il se met au dessus de moi et me prend par le collet menaçant de m'étrangler au passage. Pourtant, je n’ai pas peur, on dirait que ca ne fait pas tache à ma vie quotidienne. c’est à ce moment précis, que j’ai ressenti comme une nouvelle force surgir en moi, comme si tout la colère que j’avais d’accumuler depuis toute ces années voulais sortir. Il n’as pas eu le temps de prononcer un seul mots, que les rôles se sont inversés. je tenais enfin la chance d’avoir une porte de sortie, mon beau père me donnait des coups de poing pendant que je lui écrasait la trachée, il change de couleur il passe du rouge au bleu puis du bleu au mauve avant de s'évanouir. pendant son sommeil je le fouilla et enleva tous les objets pouvant l’aider a se détacher, puis l’attacha avec le ruban adhésif en toile à une chaise. il y avait du sang sur moi (mon propre sang) je décida donc d’aller me laver.

[...]

je me rhabille et me dirige vers la sortie, mon beau père crie comme il peut. Je me dirige vers le garage ou je me prend: un sac de randonnée, un bidon d’essence et des allumettes.

après un moment, je reviens dans la maison et me prend des choses a manger je les met dans mon sac. Je monte à l'étage, mon beau père est toujours attaché dans ma chambre. Je prend le bidon d’essence, et en déverse partout dans la chambre, je prend le temps d’en mettre dans les escaliers et partout dans la maison puis je me dirige vers l'extérieur. a l'extérieur je craque une allumette et la jette dans la flaque d’essence. L’incendie se déclare rapidement, la maison et illuminée par les flammes, je crois que le feu vient de prendre dans ce qui était ma chambre une heure plus tôt, Marc hurle, du moin il essaie.

Je reste assis quelques minutes sur la pelouse devant la maison a regarder cette oeuvre d’art que j’ai créé. je trouve ça plaisant de l’entendre hurler comme il me l’as fait faire durant toutes ces années.

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⏰ Dernière mise à jour : Dec 03, 2018 ⏰

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