Et pourtant, le miracle ne s'était pas produit. J'étais toujours vivante.
J'avais, d'instinct, rattraper la branche qui se trouvait n'être qu'à quelques dizaines de mètres à peine de moi.
Je n'avais pû m'empêcher de la serrer contre moi avec toujours comme seul force celle de mes bras.
Je la tenait avec force et essayer tant bien que mal de m'accrocher en enfonçant ma poitrine sur la branche sans pour autant lâchait ma prise.
J'hurlais intérieurement et voulus l'entendre, ce crie, strident, effrayant, ravageur et bruyant. Celui qui exprimait l'essence même de, la peine.
Car oui je penais à m'accrocher à cette branche qui représenter en fait, mon dernière espoir, la vie.
Je serrais les dents et essayer désespérément de poser ma tête sur la branche. Avant de finalement me faire à l'idée douloureuse de la collé à celle ci.
Des larmes commençèrent à longer avec abondances mes joues rougit par le froid. Sans manquer de laissait derrière elles les traces de gros sillons et des yeux plus rouge que jamais.
Je m'entêtais pourtant et hurler à mon corps de ne pas lâcher, pas une nouvelle fois.
J'escaladais, non sans mal, la branche, accrocher mes pieds autour de celle ci et me redressait avec difficulté.
J'étais sauvé. Et cela je ne le devais qu'à moi même. Et à personne d'autre.
Pourtant, une idée vînt troubler mon esprit et me laissa dubitative.
«Tu aurais pû, oui, tu aurais pû la rejoindre, mais tu n'a rien fait de tout cela» me susurra-t-elle à l'oreille.
Mon cœur ratait un battement avant de soudain se débattre dans ma poitrine.
L'anxiété, la peur, la tristesse, la nostalgie commencèrent alors doucement à me gagner.
Je secouai vivement la tête avec l'espoir naïf d'oublier ces émotions qui m'envahissai si brutalement. En vain bien évidemment.
Je m'assis sur la branche où je me tenais désormais et plaquer mon dos contre le tronc du chaîne.
J'observais la lune, briller dans le ciel noircis par le voile nocturne qu'offrait la nuit. Étincelantes et magique je distinguais quelques étoiles s'éparpillées dans ce voile sombre. Certaines, beaucoup plus belles et original, déchiraient ce voile avec une telle force avec à la fois une telle douceur que, sans même s'en rendre compte, embellissèrent le paysage sombre et froid de la nuit.
Les étoiles filantes.
J'observais inlassablement leur course dans le ciel bouche bée par un tel spectacle. J'en avais le souffle coupé et mon cœur lourd de désespoir et mon âme tourmentée par la tristesse s'apaisèrent un court instant. Le temps d'une admiration, d'une fascination. Le temps, d'un rêve.
Elles étaient si belles, si proche et pourtant si lointaines ! Ces étoiles qui filaient dans le vent glaciale, dans le décor sombre qui les entourer, dans la nuit idyllique.
Dans ma poitrine mon cœur se laisser aller à la rêverie d'un soir et se décida à lâcher prise un moment. Après tout, c'était si beau !
Comme un gamin qu'on sermonnait de part son mauvais comportement, un hibou assit dans une branche voisine vint m'arracher à ma rêverie par un hululement des plus brutale.
Surprise, je sursaurais d'abord avant de porter mes mains à mes oreilles pour filtrer le son dégagée par ce maudit volatile.
Remarquant finalement mes oreilles gelées par le froid glacial qui envahissaient depuis peu la forêt, j'enfonçai un peu plus mon bonnet rouge cerise dans ma tête. Je détroussai ensuite les manches de ma veste et refermer celle ci afin de préserver ma chaleur corporelle.
Je me munis pour finir de mes gants avant de me demander s'il n'était pas plus sage que je m'en aille maintenant.
Non convaincue qu'une sagesse quelconque n'habitait le corps que était le miens, je ne me résolus toujours pas à m'en aller. Et, comme une enfant, je m'amuser du haut de ma branche.
Je posais avec sécurité mes pieds sur le coin de la branche et, après quelques microsecondes de réflexions me jetais en arrière. Je ne pouvais pas tomber, mes pieds étaient beaucoup trop bien placé et peut être un peu trop encré à la branche.
Néanmoins, une découverte me paralysa lorsque je rouvris les yeux dans le vide.
Quand je rouvris les yeux, je distinguais, dans les limbes de la nuit, le jeune homme de tout à l'heure, qui m'observais avec surprise à l'envers.
Je fus prise d'un sursaut d'effroie et, sans m'en rendre compte lâchais la prise que tenais jusqu'ici mes jambes, la branche.
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Chanson: Bored- Billie Eilish.
Voilà pour ce chapitre j'espère qu'il vous à plus !
N'hésitez pas à donner votre
avis surtout !Ps: Je pense mettre des horaires fixes pour chaque chapitre, pourquoi pas, tous les vendredis, et peut, être les mercredis si je n'arrive vraiment pas à tenir jusqu'à vendredi :'), quand dîtes -vous ?
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Et Si Tout Ne Tenait Qu'à Une Branche ?
Ficción General-Lorsque la mort s'impose, l'humain ne peut plus rien... Soufflais-je à son attention lointaine. ~~~~~~~~~~~💔~~~~~~~~~~~ Puisque ce défunt père ne viendra plus vous prendre dans ses bras en rentrant d'une de ces journées harassantes. Puisque cette...