En vieillissant,
Je repense à toutes les fois.
Où j'ai pleuré des larmes de sang.
Où j'ai dit, c'est fini pour moi.
En vieillissant,
Je repense à toutes les fois.
Où je pouvais répondre aux tons cassants.
Où j'aurai eu un courage immédiat.
Je ne suis pas seul à repenser.
Je sais que je ne suis pas seul à moi dans le passé.
Je ne suis pas seul à avoir des souvenirs.
Je ne suis pas seul à avoir cette idée de ce rebord.
Je sais que les blessures imprimées sur mon cœur portent vos noms.
Je sais que vous avez oublié votre personne.
Je sais que vous avez déjà oublié mon prénom.
Je sais que je suis un prénom qui griffonne.
Mais je tiens à vous écrire.
À vous tous qui avons décidé un jour,
Qu'il était marrant de mépriser et maudire.
Certes vous être une personne qui dure toujours.
Mais votre fonction n'est plus de faire mal.
Mais de nous rappeler, alors
nous avons été plus tôt à votre «échelle sociale».
Et nous nous sommes quand même.
Au final, ces blessures ne font pas reculer.
Au contraire, ils nous font avancer.