Une Nouvelle Famille Bien Particulière

Chapitre 10

Attention avant de commencer je tiens à vous informer que dans ce chapitre est présent des scènes violente et de sexe alors âme sensibles à vos risques périls.

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Vers 3 heures du matin je fus tiré de mon sommeil par des cris venant de la chambre de mes parents. Je mis un temps avant de comprendre que ces cris venaient de ma mère qui hurlait de douleur. Je ne pensa pas à mettre un pyjama pour cacher mon body, j'étais beaucoup trop inquiet à cet instant. Je traversa le couloir en moins de deux. J'ouvris la porte de la chambre parental à la volé.

Ce que je vis me donna envie de vomir. Ma mère... celle qui m'a toujours soutenue...aimé était à terre emprise à ce monstre. Du sang était répondu par terre et sur les draps. Mon père était au dessus d'elle et lui administré des coups de poing et de pieds sans faiblir bien qu'il tituba parfois sans doute à cause de l'alcool.

Il tourna lentement sa tête vers moi. Ces yeux étaient noir, brillant de colère et de haine à l'état pur. Sans que je comprenne quoi que se soit il se dirigea sur moi et m'attrapa par le bras violemment. Je poussa un cri de douleur auquel il répondit par une claque. Je sentis un goût métallique dans ma bouche et je compris qu'il venais de me fendre la lèvre. Il me jeta par terre me roua de coups. Tellement que j'en perdit tout notion de temps, quand d'un coup, il s'arrêta me sommant de ne pas bouger tant qu'il n'avait pas finit avec ma mère.

Et là, mon cauchemar commença. Il dechira les vêtements de nuit de ma mère et commença à la caressait. Elle hurlait et j'étais tétanisé. Ou était passé l'homme qui m'a élevé, qui m'a aimé ? Cet... homme devant moi était un monstre à n'en pas douter. Je n'arrivais ni à crier ni à essayer de protéger ma mère. Je n'avais plus de force. Ma mère continuait de hurler et de pleurer. Ces douleurs redoublèrent quand il la pénétra. Je ne voulais pas voir ça mais mon corps ne voulait plus m'obéir.

Je mis ma tête dans mes genoux et me balanca d'avant en arrière comme le ferai un petit enfant lorsqu'il a peur et c'est ce que j'étais à ce moment même.

Ma mère ne cessait d'hurler et de pleurait. Elle lui criait d'arrêter, de la lâché. Mais il continuait. 

Puis un claquement, la porte d'entrée venait de s'ouvrir. Un fracas, des hommes avec des pistolets, la police. Comment ? Pourquoi ? Je n'en savais rien et je m'en foutais. On étaient sauvés. Mon trop plein d'émotion se déversa en moi et je tomba dans l'inconscience, j'eus juste le temps d'attendre "Julien" criait par une voix qui ne m'étais pas inconnu. 

Un peu plus tôt dans la soirée : 

Dans la chambre de Louis et d'Harry, PDV Harry

Apres avoir eut notre deuxième bébé sur Skype nous avons été couché Charles qui commençait sérieusement à piquer du nez. 

- Fais de beau rêves mon trésor lui murmura Louis

- Nuit Daddy... souffla t-il, y vient quand Ju' ? 

- Demain en fin d'aprèm midi, se sera plus très long. 

- Aime... finit-il en s'endormant 

- On t'aime aussi petit trésor. 

On regagna notre chambre. Louis me plaque contre la porte en embrassant furieusement. Il passa ces mains sous mes fesses pour me soulever, j'en profita pour passer mes jambes autour de sa taille. Il me porta jusqu'au lit où il me posa délicatement. Il m'enleva mon tee-shirt, ces mains bouillantes passèrent sur mon torse me faisant haleté. Il ne tarda pas à lui même se déshabiller et à m'enlever le reste de mes vêtements. Il attrapa mon sexe et commença à faire des va et viens de plus en plus vite tout en m'embrassant.