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Il était midi pile et nous déjeunions à notre habitude à cette table bancale qui bientôt rendrait l'âme. Cette table que nous avions acheter pour meublé notre appartement fraîchement acquis. Nous étions si heureux de l'avoir acheté à un si bon prix pour un bois de cette qualité. C'est du chêne nous avait dis l'antiquaire, du chêne qui vous dura tout votre mariage à t'il ajouter en rigolant. Mathilde m'avait souri d'un air  dont je ne pourrai oublier la profondeur. Comme si la blague du gentilhomme l'avait fait réaliser une chose, qui la blessa. Maintenant que j'y pense peut-être qu'elle savait, elle savait depuis le début que ce chêne durai plus longtemps que notre mariage. Elle avait lu en moi comme un livre ouvert, a l'époque nos amis respectifs nous avaient organisé un rendez-vous pour essayer de nous caser j'avais alors 25 ans et toutes mes dents. Mathilde encore rayonnante de jeunesses en avait 18, mais son air innocent lui en donnait 15.
Elle était assise en face de moi dans ce bar. Je la regardais de loin, sans oser lui parler.
J'étais quelque peu intimidé elle était trop belle pour moi, je faisais tâche à ses côtés. Elle avait la chevelure soyeuse et les yeux vert ténébreux. Elle me souriait a pleins pour me mettre a l'aise, mais en vain je commençai a m'en vouloir de lui faire perdre son temps. Bientôt mon tour venait je devais lire un des poèmes que j'avais récemment écrit a une dizaine de personnes dans l'espoir qu'une d'entre elles soit assez stable mentalement pour comprendre ma détresse sans quelle me dénonce à la police avec le motif que j'aime m'empiffré de chibres. Elle m'approcha après que j'ai récité mon poème à l'audience, elle continuait de sourire peut être n'avait elle pas compris que les vagins, c'était très peu pour moi pourtant, je me rends compte que tout le monde avait compris ils faisaient juste semblant, mais bon tant pis, j'ai eu droit a un standing ovation puis sans me vanter j'avais tout déchiré !
Et nous nous marièrent deux semaines plus tard. Seulement, elle ne connaissait pas mon secret... 

Nous dînions donc en silence quand soudain, je ne pus plus garder l'insoutenable vérité pour moi : "Je suis gay".

"Je le sais, Paul, mais ce n'est pas un problème puisque loi non plus je ne t'aime pas en réalité les femmes m'attirent plus que je ne le crois..."

"Ah!!! Ça tombe à pic alors moi qui pensais être le seul pêcheur ici."
...

C'est ainsi que nos cœurs se séparèrent (nous vivions toujours ensemble, car nous étions pauvres et le divorce était interdit). 

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⏰ Dernière mise à jour : Nov 28, 2018 ⏰

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Paul et ArthurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant