~Chapitre 1~

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          Entrer dans une nouvelle école c'est...
Effrayant.

Ton seul ami pendant quelques jours, voir une semaine, c'est la solitude.
Les autre te jugent et parlent dans ton dos.
Tu dois essayer de t'intégrer dans des groupes très unis et formés il y a bien longtemps.
Si c'est dans un pensionnat au milieu de nulle part c'est encore pire.

Et dans le pensionnat Snowart c'est le pire du pire.

En tout cas, c'est l'idée que se faisait Kate de sa nouvelle rentrée à ce pensionnat très stricte.

La jeune fille s'était disputé avec ses parents en leur reprochant d'être trop occupés. En réponse, ceux-ci l'avait envoyé dans ce pensionnat. Pour « l'éduquer » et lui apprendre le respect dû aux personne lui ayant donné la vie.

Et maintenant elle devait faire ses cartons, quitter ses amis et traverser un océan.
Effectivement, ce pensionnat se trouvait de l'autre côté de l'Atlantique, au État-Unis. Un pays assez « différent » de la France.

- Dépêche toi Catherine ! Tu vas rater ton avion !
Cria Madame Zeren.

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Penelope Zeren.
Mère de deux enfants, mariée à George Zeren.
Et riche, TRÈS riche.
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Car oui, la jeune fille au cheveux ébènes se nommait Catherine...
Mais elle se présentait comme « Kate Zeren » ce qui faisait moins « vieux ».
Pour elle s'était :

~Enchanté de faire votre connaissance, je me nomme Catherine Zeren, et vous comment vous nommez vous ?~

Ou :

«  Salut moi c'est Kate et toi ? »

Bref, pour tout le monde s'était « Kate » sauf pour sa mère qui répétait inlassablement « Tu fais honneur à ton arrière-arrière- arrière (x10) grand mère en prenant son prénom. »

-J'arrive, cinq secondes !
Cria Kate.

-5, 4, 3, 2, 1, 0 ! Allez dépêche toi !

-Ha. Ha. Ha. Très drôle. Second degrés tu connais ?

-Non, mais je connais Charles et il est très en colère quand on est en retard.

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Charles, grand, maigre, moustachue. Le conducteur du jet privé de la famille Zeren.
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- Il attendra, de toute façon si il part sans nous il aura pas son pognon !

La jeune fille descendit enfin avec sa valise noir et blanche, et son modeste sac à dos sur son dos (parce que sur son ventre ça serai bizarre) qui semblait être remplis, ce qui était le cas.

- Enfin ! Soupir sa mère.

La jeune fille leva les yeux au ciel.

-Bon on continue de faire poireauter Charles ou on y va ? Demanda t'elle.

-Tu as raison, on ferai mieux de se dépêcher...

SnowartOù les histoires vivent. Découvrez maintenant