Chapitre 2 :

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Précédemment :

- On va dire que vous me paraissez beaucoup trop gentil on va dire, m'excusais-je en souriant avec Lydia et le reste de ses amis. Bon et si on mangeais, dis-je pour me faire pardonner.

- Ouiiiii !!!!!

Je partis donc les chercher avec Lydia dans la cuisine. Pendant que je pris des assiettes, elle sembla fixer quelque chose sur ma main, ma bague de Lapis Lasulis.

 Pendant que je pris des assiettes, elle sembla fixer quelque chose sur ma main, ma bague de Lapis Lasulis

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- Elle est magnifique ta bague, où tu l'as trouvé, demanda-t-elle en la touchant.

- C'est un bijou de famille très ancien, lui dis-je en emportant les assiettes dans le salon.

Quelques heures plus tard, les amis de Lydia sont rentrés chez eux. Je les aime bien, surtout Derek et Peter, je ne sais pas si je les apprécie parce que qu'ils ne sont pas très porté sur la joie de vivre ou parce qu'ils sont les deux personnes les plus âgées du groupe mais aussi parce qu'ils plus que canon je l'avoue même si j'ai une petite préférence pour la magnifique blonde vénitienne. D'ailleurs en parlant d'elle, elle est allée voir sa mère pour lui demander si elle pouvait dormir à la maison car nous nous sommes beaucoup rapprochée au cours de cette soirée et j'ai découvert que tous ce petit groupe cachaient un secret. Je serais prête à parier que la plupart des amis de Lydia sont des loups garous par contre, ils ne sont pas comme les loups que j'ai déjà rencontré en 1864 à Mystic Falls.

- Ma mère est d'accord, cria Lydia en rentrant dans la maison sauf qu'elle ne sait pas que même si je suis à l'autre bout de la maison, je peux l'entendre même si elle murmure.

- Je suis dans ma chambre, lui répondis-je du haut des escaliers. Tu veux dormir avec moi ou dans une chambre d'amis, lui demandais-je en m'approchant d'elle pour la prendre dans mes bras même si je ne savais pas pourquoi je faisais ça.

- Pourquoi tu me poses la question, bien sur que je dors avec toi. Je peux savoir pourquoi j'ai le droit à un câlin, c'est pas que je me plaigne mais on dirait que même toi, tu n'es pas habituée à ce genre de démonstration affective, dit-elle en me prenant elle aussi dans ses bras.

- Tu as raison, je n'ai pas l'habitude de ce genre de débordement, dis-je en m'écartant un peu d'elle.

- Tu sais que si tu as un truc qui ne va pas, tu peut m'en parler, je peux tout entendre, m'annonce-t-elle en serrant ma main.

- Je ne sais pas si je peux te faire confiance, mais on va dire que je t'apprécie, ajoutais-je en la tirant vers ma cave où j'avais rangé ce qu'il me restais de poche de sang. Lydia, quoi qu'il y est de l'autre côté de cette porte, il faut que tu saches que jamais je ne te ferais de mal, d'accord, lui dis-je en lui lâchant pour ouvrir la poigné de porte ainsi que le congélateur.

Mon amie entra dans la cave et se figea en découvrant tous les litres de sang que je conservais et d'un coup, elle se retourna vers moi.

- Pourquoi tu as autant de sang dans ta cave, demanda-t-elle en sachant pertinemment la réponse mais elle voulait en être sure.

Une rencontre qui change toutOù les histoires vivent. Découvrez maintenant