Jusqu'à se que la mort nous sépare...

Stiles

Bonjour à tous, je me suis réveiller cette nuit (car je travaille de nuit) et je me disais que je ne pouvais pas me lever alors j'ai commencé à écrire une fanfic qui me passait pas la tête à même mon cellulaire. Ce n'est qu'un two shots, mais si on me le demande, je peux faire un bonus lemon pour la fin. En espérant que vous aimerez :D

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"Alors comme ça Monsieur le Grand Méchant Loup trouve que je pose que des problèmes!" Stiles hurle à la forêt qui l'entoure.

Il marche et ne s'arrête pas, la colère le submerge, il aimerait lui faire comprendre qui de la meute n'arrête pas de leur sauver les fesses. Il n'y a qu'une seule personne, eh oui les amis, c'est lui! Rien que lui!

Bon d'accord Deaton a vraiment aidé en tant qu'émissaire, mais ça fait longtemps qu'il est trop occupé par ses propres problèmes pour régler les leurs alors oui, Stiles se permettait de dire qu'il n'y a que lui pour les sauver.

Rappelons-nous que c'est parce qu'il n'était pas là pour tuer le problème dans son cocon que tout Beacon Hills est entré en guerre avec les êtres surnaturels.

Parce qu'ils n'ont pas voulu lui enlever ce sentiment de liberté quand il a étudié pour rejoindre le FBI. Bon, une certaine image d'un sourwolf torse nu courant dans la forêt avait vite détruit ses rêves idylliques de sauver l'humanité d'un meurtrier en puissance, mais il ne serait pas tombé dépressif si on lui avait demandé de l'aide.

Plus récemment la meute avait grandi, ils ont accueilli chaque être surnaturel solitaire qui cherche seulement à survivre, c'est vrai qu'il fait tâche étant le seul humain, mais il fait partie intégrante de la meute, il fait partie des créateurs. Alors pourquoi est-ce qu'il est là tout seul au beau milieu de la forêt?

Il frappe de colère une racine d'arbre du bout de son pied et se le tient très vite pour diminuer la douleur qui l'élance. Il sautille pour se maintenir en équilibre mais finit malgré tout les fesses cogné contre une seconde racine. Il lance un juron et se laisse tomber par en arrière, les cheveux atterrissant dans la terre humide du sol la nuit.

Il ferme les yeux, il pourrait très bien être perdu et ne plus retrouver son chemin dans son état actuel, car il n'a jamais regardé où il allait, mais sa colère et sa haine vis-à-vis de Derek était plus grande que tout.

Plus tôt dans la soirée il était partit seul pour espionner l'ennemi, ce n'était pas sa première filature il en a quand même appris des choses durant son semestre à l'école de la police. Il a seulement fallu qu'il fasse une toute petite erreur, qu'il oublie d'éteindre son téléphone et bien sûr, Scott a choisi de l'appeler au moment précis où il sortait de sa cachette pour se rapprocher.

Il se rappelle encore de ses pas lents tel une souris, le dos voûté s'assurant que personne ne le voit, bien qu'il n'avait pas vraiment besoin de paraître aussi peu subtile, et alors qu'il était à mi-chemin entre sa première et seconde abri, deux hommes se tournèrent vers lui ayant entendu le début de despacito. Sa première pensée fut que quelqu'un avait encore joué avec sa sonnerie de téléphone et la prochaine fut qu'il allait avoir des problèmes.

Cinq heures plus tôt:

Il s'était redresser tout en se raclant la gorge et comme-si rien était il avait sorti son cellulaire pour répondre: "Oui allo Scott? Ouais bon c'est pas trop le bon moment. Quoi? Non! J'suis pas au lit avec quelqu'un... Awn t'es chou, mais je pense que tes soucis pour moi viennent de me mettre dans une situation pas possible, je raccroche."

Il avait raccroché et avait gentiment fait sa révérence pour se retourner et partie encore une fois, comme-si rien n'était, après tout qui ne risque rien n'a rien. Pas de chance, ils l'ont menacé avec leurs armes. Si Stiles se rappelle bien, l'un d'eux avait un arbalet.