les Invisibles

1/. Un passé douloureux

  
PETIT AVERTISSEMENT LES GENS AYANT UNE AME SENSIBLE VEUILLEZ PRENDRE EN COMPTE CET AVERTISSEMENT

                 BONNE LECTURE

Ça faisait presque un mois que j'étais avec un garçon. Tout ce passait plutôt bien contrairement à mes anciennes relations. Un mois, il était légèrement jaloux, et j'en jouais pour le taquiner. On avait seulement 16 ans, j'étais pertinament consciente que je ne ferais pas ma vie avec lui même si ça ne m'aurait pas forcément gêner le seule nuage gris dans le ciel bleu était Qu il me rappelais une personne passé. Lucas était vraiment gentil il n'avait vraiment rien à voir avec Ethan.

    Ethan  avait été mon premier amour plus âgé que moi de deux ans. Je venais d'avoir 14 ans. Il était pour moi le summum de la beauté masculine, fort, plus grand, plus vieux. C'est fou comme la maturité et le fait de paraître plus vieux me plaisait chez lui. Mais je fus vite rattrape par la réalité. Un jeune homme de 16 ans et demi n'avait pas les mêmes envie qu'une fille paumée m qui croit encore au prince charmant et à l'amour éternel. Une après-midi, nous nous étions chez lui pour passer un peu de temps ensemble comme habituellement. Je mentais à mes parents leurs disant que j'étais chez une amie entrain de travailler. Ça ne me dérangeait plus à force. On était rentrés, s'était installés sur le canapé. L'appart était vide comme toujours. On décida de mettre un film, un de mes incontournables. On l'avait tellement vus que je connais presque toutes les répliques ce qui ennuyais mais cependant faisait rire Ethan. Il n'était pas facile mais sa vie ne l'était pas non plus alors quand il s'énervait, je me taisais pour ne pas empirer mon cas. C'était de ma faute s'il s'énervait enfin c'est ce Qu'il me disait. Ethan était une personne troublante il étais à la fois terriblement doux, gentil, affectueux mais il pouvait rentrer  dans des colère noires ou des objets se trouvais briser, mais ce n'étais pas la seule qui ce brisait. Il me brisait aussi avec ses mots crus, dures et tranchants. Je ne sais combien de fois il m'as dis ces choses horribles à force ce fut une habitude.

     Mais cette après-midi était différente je ne savais pas comment l'expliquer mais j'avais un mauvais pressentiment. Je savais que quelque chose de mauvais aller arriver. Tout étais calme, il était calme aussi, puis tout à dégénérer si vite. Il m'avait embrasser puis c'était monter d'un coup. Il voulait, il me voulait. Mais ce n'étais pas réciproque, j'essayais de lui faire comprendre, mais au moment au j'ai compris qu'il ne s'arrêterait pas, mon corps ne me répondais plus. Je paniquais, j'étais incapable de bouger ou même de crier ma voix était muette. Il continuais à toucher mon corps et commençais à ôter mes vêtements tout en ayant ce regard pervers, perçant. Et je ne serais expliquer ni comment ni pourquoi mais à cet instant précis lorsque nos yeux se sont croisés, je l'ai senti brûler au fond de moi, cette rage qui était en train de m'emporter. J avais compris que C'était lui ou moi, sûrement un instinct de survie. J'étais de nouveau maître de mon corps, j'essayais de lui mettre le plus de coups possible, un en particulier l'as fait reculer, et je mis tout ma force et lui est mis un coup à l'aide de ma jambe. Il était à terre. Je pris tous ce que j'ai pu pour mes vêtements et couru jusqu'à la salle de bains et m'y suis enfermé.  J'essayais tant bien que mal de m'habiller tout en tentant de me calmer. J'entendait ses pas lourds se rapprochant. Il était deriere la porte, j'étais prête à sortir. Il commença à parler cependant ce fut son côté doux culpabilisant, s'excusant, me suppliant de rester, de le pardonner. Derrière la porte, ne se trouvait pas le monstre mais l'homme dont j'étais amoureuse. Je reprenait mes esprit sachant que ces deux entités n'étais en réalité qu'une seule. Alors j'ouvrit la porte en la claquant sur lui, essayant de partir. Je réussi à sortir, déjà le les escaliers mais ne sentait pas la douleur du à l'adrenaline. Je m'étais échappé.