Law-blood

Chapitre 6 ( Rencontre inattendu )

Cette phrase raisonné dans ma tête, je foncé droit devant moi tête baisé pour mettre fin a mes doutes est éclairer ma lanterne sur cette fameuse légende a propos de la famille porter. Au premier tournant en sortant de la pharmacie je heurta quelqu un de plain fouet et je fut projeté en arrière. Je retombé en pleins sur mon postérieur.

Je me relevé avec précipitation.

- oups , vraiment désolé...

le reste de ma phrase fut en suspend l homme que je venais de heurté n avait pas bougé d un pouce. il me fessait peur, son son regard été sombre son visage carré , mon cerveau m envoyé des signaux d alertes , je me mis a trembler.

Son corps toute en muscle , en effet son t-shirt rouge ne caché que très mal ces pectoraux en béton et ces tablette de chocolat . Son short bleu ciel caché ces cuisses mais pas ces mollet ou on voyers tous ces muscles. Il était vraiment beau. Sa mâchoire ce crispa , ces points ce serraient , mon cerveaux me crier de courir le plus vite possible mais mon corps lui resté la a attendre, alors que je pensé qu il allé me collé une bonne raclé ou m insulté, il ce mis a divagué

-Alors c est donc vrais , ces maudits suceurs n ont pas fait leur boulot

j aurais du partir, mais non encore une fois je tombe sur un fou et je fait la discute avec lui, a croire que j aime sa le danger.

- Par Pardon monsieur, qu elle suceurs ?

- Oui, qu elle suceurs Antoine ?

je fit un saut rivalisant avec les meilleur sauteur de trampoline en me retournant Mon visage afficha la surprise , ils étaient la les intouchable au grand complet tous plus beaux les un que les autres

- Décidément gab c est pas ta journée

Conrad me regarda et fit la moue

- Pas content de me voir mon cœur ?

J allé lui répondre méchamment mais je me fit coupé par le mec derrière, moi Antoine si j ai bien entendu son nom

- Vous Bande d incapables.

Tous les cinq reculas en même temps mettant leurs veste en arrière puis avançant d un pas avec un espèce de feulement qui sorti de leurs bouches. Je tourné la tête vers Antoine le garçon sauvage son expression me fit peur son visage été plus dure plus sauvage et il tremblait de partout , on aurais dit qu il avait Parkinson.

- Bon bas il est temps pour moi de rentré, ravi d avoir fait votre connaissance monsieur Antoine, les cinq fils a papa.

Après cette phrase pleine d humour a ma façon j essayé de m éclipsé de cette affrontement pour le moins bizarre. Alors que j avais réussi a contourné Antoine, deux vieux monsieur me barré la route . Un qui ressemblé au conte Dracula un costume noir de très bonne manufacture et a la peau d une extrême blancheur , cheveux comme sa peau blanc et plaqué en arrière et ces yeux quasiment livide. Un frisson me parcourra le corps.

L autre vieux monsieur était plus joviale je trouve , grand visage carré pantalon en toile crème et chemise bleu claire cheveux long peigné en arrière , il me fessait pensé au père de Pocahontas . Dracula pris la parole, après m avoir regardé.

- Les garçons comment osez-vous faire cela devant lui.

Papa Ponki pris la parole a son tour.

- Toi Antoine tu n as pas honte bravé la frontière, je sais que tu t inquiète pour lui le pauvre petit chaton.

La son regard ce pausa carrément sur moi. Cela me fit reprendre mes esprits . C est définitif ils sont tous tarés dans cette ville et pourquoi il parle de chaton en me regardant. Il ne perd rien pour attendre tu vas voire ce que le chaton vas te faire ponki. En attendant Gabriel sort toi de ce guêpier au plus vite .

- Bon bas moi je vous laisse avec vos histoire de gang et de territoire, entre tuer vous j ai rien vue promis bey.

Je repris ma route en me pressent un peux pour mettre le plus de distance entre moi et ces gens bizarre. Mais je fut stoppé entre Ponki et Dracula , je senti une mains osseuse et un ferme sur chacun e de mes épaules . Cela a eu pour effet de me vidé de tous mon sang je deviens blanc comme un cachet d aspirine.

-Pour l instant Gabriel tu peux partir, tu serra mis bien vite au pied du mur.

Comment ils connaissent mon nom les vieux schnoque , puis  après tout  c'est pas grave je veux juste rentré chez moi et en plus mes cubature reviennes a la charge.

Je suis rentré chez moi sans d autre rencontre fortuite, le premier réflexe fut de fermé la porte a clef et me mètre  Arnica que la charmante professionnel ma vendu et les médicament que j avais pris hier . Ce rituel d Arnica et d anti douleurs pleins les veines dura jusqu a la rentré, je n ai pas tenté de faire d autre sorti de peur de faire d autre rencontre bizarre.

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Voila un autre chapitre pour vous

bisous je vous aiment