Lightsaber ~ Kaisoo

Chapitre 1: Le commencement

PDV de Jongin (Kai)

Bitch!!!!
Je m'appelle Kai, j'ai 16 ans, et suis un libertas de sang, mes ancêtres sont des libertas depuis la nuit des temps.
Aujourd'hui, le 1er jour de l'an, c'est la cérémonie de passage à l'âge adulte pour ceux qui viennent juste d'avoir 16 ans comme moi. En tant que tels, nous pourrons décider de changer de faction, enfin si l'envie nous viens. Moi personnellement, j'y ai réfléchit très très longtemps, environ... deux secondes et demie et aie décidé de rester dans Liberté, nous sommes les plus combatifs, pourquoi pas le rester?

Je disais donc, qu'aujourd'hui était le grand jour pour moi, j'allais enfin devenir adulte et pouvoir me faire une place dans la communauté Libertas, car, étant enfant, j'étais inexistant. J'étais assis avec mes parents, dans la rangé des Libertas, à attendre que la cérémonie commence. Ma mère me pris la main.
-Peu importe ton choix, on t'aimera toujours mon bébé d'amour...
-Oui... je sais maman, tu me le répètes depuis une semaine.
-Je veux simplement te dire que tu es libre de choisir n'importe quelle faction.
-Mmh... c'est pas comme si j'avais envie de changer de faction...
-Ta mère veut dire par là que les examens d'entrée pour la section Libertas sont très très durs.
-Vous me pensez pas capable de les réussir?
Dis-je, un peu énervé.
-Nous n'avons jamais rien dit de tel, nous t'avertissons juste. Nous ne voudrions pas que tu rejoignes les sans-camps.
Ah oui, j'avais oublié de vous dire, si l'on ne réussit pas à avoir la faction qu'on choisit lors de la cérémonie, on se retrouve expulsé de notre clan et condamné à vivre dans l'île Jeju, la ville des sans-camps, enfin ceux qui sont écarté de tout, ils ont aucune place dans l'économie de la Corée.
-Humhum! Silence dans l'assemblée.
Cria le chef de Égalité.
Le bruit cessait peu à peu.
-En ce jour, nous célébrons pour la 178 ème fois, la cérémonie de passage à l'âge adulte. C'est un jour vraiment très important pour tout enfant à l'âge de 16 ans, mais aussi pour les autres. Bref, trêve de bavardage et commençons la cérémonie. Place au rituel!
De grands applaudissements s'élevèrent d'un coup.
Vous devez vous demander ce qu'est le rituel... le rituel est un moment durant lequel, on sacrifie, la plupart du temps un sans-camp, en lui coupant d'abord une des veines de l'avant bras, qu'on dépose dans un calice doré. Puis, on l'attache à un grand pilier de bois, entouré de paille gorgé de produit inflammable, auquel on met feu. À la fin, lorsqu'il ne reste que des cendres, on jète le sang récolté dans les flammes encore activent.
Bon, c'est vrai que c'est particulier comme rite mais bon, c'est pas moi qui l'ait inventé, et puis, c'est pour faire plaisir à Zeus don bon..
-Chers Égaliterians, Fraternums et Libertas. Maintenant que le rite est terminé, c'est à la cérémonie des factions de commencer. Je vais citer un par un le nom de chaque enfant, classés par ordre alphabétique, qui devra venir me rejoindre, sur le podium, verser un peu de son sang dans la coupe de la faction qu'il désir intégrer.
Au fur et à mesure que les lettres se rapprochaient du K, comme Kim Jongin, je commençaient à stresser de plus en plus, n'arrivant plus à contrôler le stress, j'ai beau utiliser les techniques des Libertas, rien ne semblait marcher...
-Kim Jongin.
Et là, c'était mon moment à moi, il fallait que je me calmer rapidement pour ne pas faire honte à ma faction. J'inspirai et expirai lentement.
-Kim Jongin?
Répéta le chef de Égalité.
« Maintenant! »
Je me levai, puis descendis les marchés, me dirigeant vers le podium.
Lorsqu'enfin j'arrivai devant l'estrade, je la montai, à cadence de robot, saisis le couteau puis m'entaillait rapidement la paume de ma main droite.
« Respire.... »
J'inspirai, puis expirai lentement, afin de calmer mon stress, qui ne cessait de s'accroître et de devenir puissant. Je mis ma main saignante au dessus du calice des Libertas, et exerçai une force à l'intérieur de ma main, afin de pouvoir faire couler mon sang jusqu'à la coupe.
-Libertas!
Dit le chef des Égaliterians.
Un soulèvement d'applaudissements se souleva. Dans la foule, je pouvais voir mes parents, me souriant tristement, versant des larmes, mais applaudir quand même, signifiant qu'ils ont accepté mon choix. Je devais leur montrer que j'étais assez fort pour devenir l'homme que je voulais devenir.