Une rencontre qui change tout

Chapitre 3 :

Précédemment :

Nous sommes toujours dans les bras l'une de l'autre quand je me laisse tomber en arrière sur les cousins avec Lydia toujours dans mes bras.

- Je me sens apaisée quand je suis dans tes bras, me dit-elle en caressant mon ventre du bout de ses doigts ce qui a pour effet de me faire frissonner de plaisir. Et je sens que je te fais de l'effet, ajoute-t-elle en se redressant pour me regarder dans les yeux.

Waouh, le regard qu'elle me fait est juste à tomber, en 545 ans, jamais je n'ai été autant chamboulée.

- Lydia, tu as juste 16 ans, je ne veux pas t'empêcher de vivre ta vie, dis-je en me mettant au-dessus d'elle.

- Mais si je suis heureuse quand je suis avec toi alors, tu me laisserais une chance d'être avec toi, dit-elle en avançant son visage du miens et en me regardant de ses magnifique yeux .

- Je suppose que de toute façon, je n'ai pas vraiment le choix avec toi Lydia, répondis-je avant de me jeter sur ses lèvres.

Au bout de quelques minutes, nous nous séparons par manque d'air mais nous restons dans les bras l'une de l'autre.

- Je crois que je ne me lasserais jamais de tes baisés, dis-je avant de recommencer à l'embrasser.

- Putain, j'en reviens pas, je ne te connais que d'aujourd'hui mais c'est comme si j'étais attirée par toi, dit-elle en stoppant notre baiser. J'agis pas comme cela d'habitude et surtout je n'ai jamais été autant attirée par une femme, m'expliqua-t-elle en passant sa main sur ma jambe ce qui me fis frissonner.

- Lydia, ma belle, je comprendrais si tu trouve que cela va trop vite, je sais que ça pas être déroutant. On va dire que j'ai pas mal d'expérience, dis-je en essayant de la rassurer du mieux que je peux.

- Oui Kate, je trouve qu'on va trop vite mais on pourrait commencer par se connaître d'avantage. Tu es d'accord, me demanda-t-elle le regard suppliant.

Pour toute réponse, je me mis au-dessus d'elle et l'embrassa ce qui le fit sourire et je sentis aussi les battements de son cœur s'accélérer à mon plus grand bonheur.

Vers les 3 heures du matin, nous finissons par nous endormir dans les bras l'une de l'autre après avoir beaucoup parlé.

Le lendemain :

Je me réveilla en entendant la sonnerie de mon portable qui se trouvais du côté de la magnifique blonde vénitienne endormis à mes côtés. Je me pencha donc au-dessus d'elle afin de le récupérer en essayant de ne pas la réveiller. Une fois que je l'ai en main, je réponds.

" - Allo ?

-  Katherine, c'est Isobel, c'est pour te dire que Klaus à trouvé Elena.

- Isobel, je suis désolée pour ta fille mais je ne vais pas prendre le risque qu'il me retrouve même pour aider une de mes descendantes. De plus, maintenant j'ai des personnes qu'il pourrait attaquer, dis-je en observant Lydia en train de se réveiller.

- Katherine, ne me dis pas que tu es tombée amoureuse. Tu sais que c'est dangereux, dit-elle avec colère.

- Je m'en fout Isobel, je veux être heureuse. Je ne l'ai pas été pendant plus de 500 ans, répondis-je en sentant des larmes couler le long de mes joux.

- Je dis juste que c'est stupide mais te connaissant je sens qu'il est trop tard pour te faire changer d'avis. J'espère que tu ne souffriras pas trop quand IL te retrouvera, dit-elle avant de raccrocher."

- Kate, pourquoi tu pleures, me demanda Lydia en me tirant vers elle afin de me serrer dans ses bras.

- J'ai pas envie de t'en parler maintenant. J'ai peur que tu partes si je te le dit. J'ai peur que se soit la limite à ce que tu pourrais supporter en l'espace de quelques heures donc je préfère attendre si tu ne m'en veux pas bien sur, dis-je avant de l'embrasser pour lui dire bonjour.