une nuit flamboyante

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De cette journée épuisante, je couvres tes blessures, ton visage crispés par le contact du morceau de coton.

J'en détiens même quelque cries étouffé lorsque l'alcool noie tes plaies.

J'aime cela pouvoir bander ainsi tes blessures le long de ton corps et frôler ainsi ta peau.

Prendre ainsi soin de toi. Et pouvoir montrer mon dévouement au bout de mes actions.

Cela pourrais te paraître futile ou bien stupide mais prendre soin de toi ainsi me rend heureux.

Malgré que j'en suis malheureux de te voir dans un telle état, mais te soigner comble une partie de mon âme.

Et pour clore et prier un guérissement efficace, je te dépose un baiser.

En y mettant tout l'amour que je portes, je fracasses ton torse nue de mes mains.

Je la sens chauffer à ce contact lorsque ton dos heurte le matelas de l'hôtel, et celle ci brûle davantage lorsque tes mains baladeuse parcours elle aussi mon corps, au centre de cet action précipité.

Ai ce le meilleure moment ?
Peut importe, je cesse de réfléchir .

Car je te veux maintenant, ici, Polnareff.

Ignorant le temps et laissons nous emporter, laissons nous nous guider par la voie de nos cœurs.

Et permets moi ainsi de pouvoir admirer ton corps sous le miens, encore ravager de tes blessures.

Où avec délicatesse je passes sur tes plaies, qui m'aurais dis que pouvoir savourer à ton sang, me serais si gratifiant, à sentir  ton corps se crisper sous la douleur et le désir, entendre tes gémissements coupé, entre tes dents serré.

Mais cependant cela ne mes pas suffisant, et je suis curieux de savoir ce que cela engendré  si je venais à te mordre à cette endroit précis de ta nuque, non loin de cette profonde plaie ?

Tu viens ravager mes oreilles de tes gémissements que je te soutiens de mon actions soudaine.

Où mes doigts tourne autour de ton torse et mes lèvres sur le contour de tes muscles, tu cherches avec peine de toucher mon  corps.

Et je ne te laisserais pas cette estime pour le moment.

Laisses moi encore écouter ton cœur battre lorsque je glisses mes mains le long de ton corps.

Et j'admire avec soin ton visage qui me demande, attrapent avec fougue tes lèvres et jeter nos derniers vêtements.

Je frôle ta peau de l'extrémité de ma bouche sous tes frémissement.
Et fessons une pause sur le creux de ta nuque et laissons mes mains descendre le long de ton peau.

Je te désire tant et ton corps et si envieux.

Que mes doigts remonte lentement le long de ta longueur, ton corps semble y réagir et tes gémissements te semble plus difficile à retenir lorsque ma paume vient l'entourer.

Quelle angle et le mieux ? À ton avis pour que je te fasse cracher des cries plus satisfaisant.

Peut être préfères tu que je viennes le polir ?

Comme cela, t'offrant la chaleur de ma cavité buccal.

Offre moi tes gémissements à chacun de mes gestes, entremêle tes doigts autour de mes cheveux si cela te chantes.

Mais je veux t'entendre chanter mon nom.

Et voir le creux de ton visage se plier au désir sous le rouge de tes joues et tes dents serré entre tes tentatives de camoufler des cries.

Mais laisse moi les entendre .

Je veux que tu noies mon âme de tes hurlements mélodieux.

Que tu remplisse mon esprit de tes lèvres.

Que tu fasses palpiter mon cœur.

Et que je te brûles de mon amour, dressant mes mains brûlante sur ton fessier.

Et tu me sembles si troubler au creux de tes yeux que je viens te rassurer de mes lèvres sur les tiennes, éraflant mes hanches sur ton corps.

Et laisses moi murmurer au creux de ton oreille, me faufilant avec délicatesse au creux de ton corps.

Et laisses moi prouver mon amour, laisses moi te montrer à telle point je t'aimes.

J'essuie ta peau enduis de sueur pour bousculer mon corps contre le tien.

Et tu viens agripper mon dos de tes ongles lorsque je prends mes aises.

Et où tes cris enflammes mon cœur, sous la lueur de tes prunelles avide .

Je frappe ton cœur d'argent sur les draps de satin.

Et je le frapperais autant de fois, si je peux entendre tons doux louage en échanges.

Je prend appuie de tes hanches, où ma peau s'enduit de sueur et où ma gorge se  noue, sous l'effort de mon amour à ton égard.

Où je te fais hurler sous la fraîcheur nocturne, je te fais hurler notre amour au pied du ciel.

Je te fais crier mon nom et je te fais savourer la luxure sous mes baiser lâche sur ta nuque.

Et je relâches les flammes de mon amour au bout d'un gémissement rauque.

Et tu relâches ton amour sous ton dernier hurlement sur mon épaules.

La respiration coupé, j'admire ton corps épuisé auprès du miens sous ton sourire face à moi.

Je trépasses ma main sur ta joue pour n'avoir que ton visage face à moi.

Je t'embrasses pour n'avoir que ton amour face à moi.

Et de cette nuit flamboyante je t'adresses toute ma tendresse.

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De rouge et d'argent  (Avpol)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant