La brume sinistre raffalait nos corps au milieu de ce couloir glacial.
À la seul et unique lumière de mes flammes qui chauffer cette triste pièce.
La fin s'approche, la fin de ce long et périlleux voyage.
Et nous pourrons enfin être tranquille, nous pourrons enfin vivre pleinement notre amour, Polnareff.
Tuons Dio au plus vite pour être heureux plus rapidement, je veux finir ce voyage au plus vite pour être avec toi.
Et approchons nous de ce couloir infinissable au allure lugubre.
Et en cherchant la sensation rassurante de ta peau de ma main .
Je ne tombe que sur le froid et lisse pierre, d'une colonne au gravure mystique.
Une chose étrange en emmène et j'en tremble face au mot graver, que j'érafle des bouts des doigts
J'ose commencé le début de la phrase sous les battements excessive de mon cœur et mon âme qui hurle à ne pas le lire.
Cependant la curiosité triomphe et de mes doigts je lis soigneusement les écrits, glaçant mon sang à chaque nouveau mot.
Et je te vois partir au loin, alors que le danger se trouve ici, Polnareff, un autre ennemi est ici, je le sens et pourtant mes flammes ne le détecte point.
Devrais je écouter ma raison et te prévenir mais le danger et si dense que ma gorge bloque où seul mes yeux fixe cette colonne.
Ignorant le dernier mot, mes mains tremble, j'ai peur étrangement.
Je me sens étouffer et je voudrais prendre l'air.
Et d'un courage je soulèves mon pouce.
"Morts" mon cœur cesse subitement de battre et de mon regard je le vois, l'ennemi, mais qu'es ce donc ? Cette chose.
Es ce humain ?
Es ce cela qui viendra nous séparer, face à sa prédiction ridicule.
Mais face à cet prédiction, il se trouve malheureusement face à un cartomacien de mon niveau.
Alors qu'il enlève ce pluriel car la mort ne sera ici que singulier dans ce lieux.
Car Polanareff et Iggy seront vivant.
Et je t'éloignes loin de mon corps, où la mort m'emporte aussitôt.
Je me sens si mal de t'abandonner ainsi mais je me tuerais pour que ton sourire ère toujours dans les parages.
Alors avec amour je t'offres ma vie .
Je fus sincèrement heureux de t'avoir connue, Polnareff et c'est justement pour cela que je me sacrifie sans réfléchir une deuxième fois pour tes beaux yeux.
Mais celle ci sera la dernière et j'aurais aimé t'offrir un dernier baiser comme adieux.
J'aurais aimé éviter de t'imaginer le visage croulant par tes larmes.
Par ma simple faute.
Déteste loi, haï moi, cela te sera moins douloureux.
Ma perte te sera moins pénible.
Et c'est sans aucun regret que je te quittes sous cette dernière lueur de mes flammes.
Où je peux apercevoir une dernière fois ton visage avant de rencontrer le néant.
Et n'importe où mon âme viendra airer, je te suivrai et ma braise te sera éternel au fond de toi.
Alors veux tu bien couper en rondelle avec Iggy cet ennemi .
Et trancher Dio pour moi.
Et ne pleure pas sur mon décès, ne retiens que mon souvenir et efface moi de ton cœur.
Supprime moi, je ne veux être la raison de ton mal être, seulement celui de ton bonheur, alors je t'en supplie déteste moi.
Haï moi du plus profond de ton âme et j'aurais aimé frôler tes lèvres, une dernière fois et goûter la délicatesse de ta peau.
Et te dire encore une fois que je t'aime.
Mais je te quitte sans regret dans les ténèbres de cette pièce.
Et transmet mes vœux à Mr Joestar.
Car mon amour ne serait rien sans ses précieux conseil et notre rencontre me serais inconnue.
Et je veux que tu prennes soin d'Iggy pour moi, je le sais bien qu'il a fort caractère mais tu l'apprécie, je le sais bien, j'arrive à te lire depuis le temps.
Et de mon geste je te transmet les dernière braise de mon cœur de cendre.
Et je te murmures au loin de ton oreille tous mes sincères sentiments.
Alors que j'aurais aimé visiter la France à tes côtés, que j'aurais aimé vivre avec toi.
Je t'offres mon dernier brin de souffle.
J'offres espoir sur toi, et je t'offres la possibilité de vivre.
Je veux que tu vives pour moi, je veux que tu respires à la vie jusqu'à ton dernier battement.
Et même si tu dois cohabiter dans une tortue, je veux que tu vives pour moi.
Que tu souris à la vie.
Que le monde entende ton rire adorable.
Que ton doux accent français ravage les océans.
Et que tu braves la mer de ta vie.
Que tu navigues sur la vague du destin.
Sans que jamais ton écume ne se consume.Alors je t'offres le dernier souffle de ma vie.
Sans aucun regret car je t'ai aimés ces dernier jour, je t'ai aimés.
Aimés comme je n'aurais put offrir autrement et je meurt sous ton amour.
Et cela n'est pas si désagréable.
De t'avoir aimés ces dernier temps.
Mais dorénavant oublis moi.
Détestes moi.
Haïs moi.
Car je meurs et je ne veux que t'on bonheur.
Alors jusqu'au détriment de mon cœur je veux que tu me méprises.
Je veux que tu le broies, pour ne pas que tu puisse souffrir.Alors même si tes yeux d'azur et tes lèvres rosé me serons inconnus.
Je t'aimerais jusqu'à la dernière seconde.
Et prends ma vie comme la volonté de mon cœur.
Et je meurs dans le néant n'aillant comme seul souvenir la bonté de ton visage.
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De rouge et d'argent (Avpol)
Hayran KurguJe veux que tu me regardes de cette même façon que tu dévores les femmes de tes yeux, je veux sentir cette flammes sur moi.