Le Piano De La Forêt Obscurci

Chapitre premier

  Je marche, j'aime ceci mais par se temps ensoleillé c'est de suite désagréable, mon cœur bat vite, le stresse monte, j'arrive, j'y suis presque arrivée malheureusement. Je me stoppe prenant une inspiration, j'ouvre la porte, me demandant qui habitera dans cette maison, je ne connais rien de lui ou d'elle, je sais juste que cette personne est un ou une cousin. Personne, c'est calme, j'entre et m'avanture dans cette maison, j'y suis allée plus jeune, j'y avais ma chambre. Je monte les marches, et redécouvre la porte de ma chambre, elle n'a pas changée, à quelques égratinures près. J'entrouve la porte et que vois-je? Ma chambre rangée, prête à l'emploit, le lit fait, le bureau propre.
  Je dépose ma valise, puis descend en entendant la porte se fermer dans un joli grincement, étrange non? J'entre dans le hall et apperçois un gars, légèrement plus petit que moi, aux yeux marron et aux cheveux roux. Je le salut d'un léger ''bonjour'', il fit de même et m'emmenas dans la cuisine pour me servir un vers d'eau, il eu bien raison, ma gorge réclamait un rafraîchissement après tout se stresse. Il se présenta en tant que Martin, il est bel et bien mon cousin. Je lui donnas mon prénom puis il lança un:

- Quelle est la raison de ta venue ?

  Je répondis, ''étude de la ville, cette ville a une belle histoire et un bel environnement, et vus que j'ai un cousin ici, donc toi, mon choix était vite fait'' en réalité ce n'était pas tout, mais peut importe, je me devais d'être aimable et de ne pas trop parler pour l'instant, après tout, nous ne nous connaissions pas avant aujourd'hui.
  Après avoir parlé avec lui je monte dans ma chambre, déballe mes affaires confinées dans ma valise et me mets à observer mon bureau, cela faisait si longtemps... dessiner sur se bureau me manquais d'une certaine façon. Je poussais les rideaux légèrement et ouvrais la fenêtre, un air pur, la forêt quelques monts et de petits coins d'eau éparpillés, cela me changeais de la vus sur des champs et un petit village, certe ce balader dans les champs et explorer mon vieux grenier me manquais un peu, en même temps dans se grenier il y avait des livres, de vieux récits de légendes, des romans ou encore des livres scientifiques, je n'ai jamais pus tous les lires, pour l'instant.
  Ayant selon moi assez aéré la vieille pièce, je referme la fenêtre et enlève ma robe, mes collants et défait le chouchou qui tenait attaché mes cheveux à leurs pointes, puis me couche, fermant les yeux pour m'endormir grâce à une douce contine que j'apprécie.

***

  Et c'est partit pour prendre des notes sur la ville et chercher un travail, c'est se que je me dis tout en attachant mes cheveux comme à mon habitude et en descendant les marches, j'ouvre la porte, bloc-notes et crayon en main je m'aventure sur le chemin menant à la ville, quand tout à coup ma contine me vint en tête, sur un coup de tête je me mis à chanter.

- Ô grand chanteur, toi qui t'avance de la forêt, recule, recule, le piano t'ennivre mais résiste. Ô grand chan-

  Je dus me stopper car je voyais déjà la ville se profiler, je laissais échapper un soupir de joie, revoir cette ville, des années...
  J'avance, redécouvrant les structures, les personnes que j'ai dus croiser une ou deux fois dans le passé, ces personnes ne pourraient pas me reconnaître, que ce soit par mon apparence ou mon style, je me rend dans ce qui est apparemment un musée, les choses exposés ne m'on pas inspirée alors je partis pour me balader, en sortant je vis que le soleil était haut dans le ciel entamant sa ''décente'', je me suis levé tard et n'ai pas mangée du coup. Je marche, je regarde, et fatigue, la chaleur du soleil sur la peau est désagréable, je n'ai jamais appréciée le soleil, brûlant et aveuglant, la nuit me plais mieux, en plus les sons se tèrent se qui rend ce moment inoubliable. Passons, je dois trouver un travail, enfin essayer, après tout ce n'est qu'un job le temps de mon séjour. Ils ont faient installer un panneau vers une autre entrée de la ville, sur le panneau il y est marqué le nom de la ville, les activitées à faires et d'autres trucs, mais se qu'y m'intéresse c'est les boulots.

- Aide à l'entretien de la ville... Bénévole...

  Pourquoi bénévole est dans le ''rayon'' travail? Enfin bon je trouve deux-trois travails intéressant, allez, j'y vais. Je marche jusqu'à un magasin, un peu bordélique mais je trouve qu'il y a... en réalitée non il n'y a aucun charme selon moi. J'interprèle le vendeur et lui parle du boulot, je ne savais pas exactement se qu'il fallait faire mais je l'écoute, je me rends vite compte que le travail était de nettoyer, ranger etc. Je refuse puis repars, je pars vers ma deuxième destination, cela était écrit en grand sur la belle feuille noir "Écoute-nous, cours, fuis et meur. Si tu ne souhaite pas ceci, viens, tes racines sont entrelacées dans celles de la musique, cours plus vite, la musique ralentira." Je le trouve très aguicheur, enfin selon moi.
   Je marche dans la forêt et suis un chemin fait de feuille noir au diverses inscriptions inscrite, comme "l'entends-tu?" ou "musique de la forêt", je ricane, je trouve ça intéressant, on se croit dans le petit chaperon rouge ou promenons-nous dans les bois, oui un compte et une musique.

- dois-je m'enfuir grand loup? Ou m'insite tu à courir?

  Je me trouve plutôt immature mais cela anime ma journée, le soleil est caché par l'épaisse forêt, je préfère ceci. J'arrive, j'apperçois une tente... une immense tente! Je m'attendais à autre chose, les couleurs sont sympas, bleus, gris et noir, en un joli dégradé. Je pousse légèrement la toile protégeant la porte et vois deux personnes sur scène, c'est bon, je stresse, pourquoi? J'ose rentrer et m'exclame

- Est-ce bien ici que je puis trouver un travail ou autres?

  Ils lèvent la tête avec une honce d'espoir, puis me regardent agacés.

- Évidemment, ne lis-tu pas insolente?

  S'exprime la soeur jumelle -je suppose- du garçon, avec un air indifférent et pourtant agacée. Je leurs réponds avec un sourir railleur

- Alors c'est vous les sois-disants loups qui nous pourchasse? Je ne suis point impressionnée.

  Les deux sourient, puis m'invite à monter, ce que je fais, ils m'expliques qu'ils sont à la recherche d'une personne qui sache, jouer de plusieurs instruments, faisant preuve d'un fort caractère mais honnête, qui sache se défendre et qui connaisse la cuisine. Touts ceci pour être à leurs services, enfin aussi pour autre chose qu'ils ne peuvent me dire. Je demande si je suis rémunérée et si je puis ne pas être tout le temps à leurs services, pour que je puissent faire se que j'étais sencée venir faire ici.
  Ils me demande alors de les convaincres, alors je prononce

- Je joue de quelques instruments, tel que le piano ou le violon. La cuisine n'est pas mon fort et pour mon caractère vous n'aurez qu'à le voir.

- Sais-tu combattre d'une manière ou d'une autre?

  C'était ce qu'avait pronnoncé le garçon avant que je leurs réponde. Ils me font partir en me disant que j'avais une chance vut le peut de participants. Je sortis mon téléphone pour observer où j'étais, se lieu a beau être paumé je peut accéder à un GPS jusqu'à mon domicile que j'avais pris le temps d'enregistrer hier avant de m'endormir. Je coupe par la forêt en observant les environs, je ne pus m'empêcher de sortit quelques paroles

- Douce saison qu'est l'hiver, sublime beautée qu'est la pinière.

  J'explore la forêt et finis par rentrer, je salue Martin, mange, écris se qu'il s'est passé dans mon cahier et observe mon bloc-notes vide, puis par m'endormir, la fatique vient rapidement, on pourrait presque croire que je lui manquais.