Le Manoir Des Horreurs [BIGBANG Version]

Chapitre 105

« - Ça suffit ! Hurle le bourreau. Coupe les liens de cet imposteur ! Elle n'est pas plus une amie du Maître qu'une chef de la police ! 

- Vous avez raison, avoues-tu. J'ai eu peur et c'est pour cela que je vous ai raconté ce mensonge. Je n'aurais pas dû. Je suis un visiteur et je cherche simplement à partir d'ici... »

- Un visiteur, hein ? Répond le premier homme. Et que penses-tu de notre labyrinthe, chère amie ? Est-il suffisamment intéressant pour toi ? Tu y passes de bons moments ? ... Dans la cage ! »

Les deux bourreaux resserrent alors leurs doigts autours de tes poignets et t' entraînent dans le coin gauche de la pièce. « Tu vas pouvoir constater la qualité de notre hospitalité, chère amie, reprend le deuxième. Quelle sorte de logement préfères-tu ? Je te laisse le choix. Veux-tu passer le reste de tes jours accroupi ou veux-tu rester debout ? » Et, heureux de sa macabre plaisanterie, il éclate d'un rire démoniaque qui résonne dans la cave.

Tu peux choisir la cage haute (1) ou la petite cage (2). Rends-toi au paragraphe correspondant à ton choix.

(1) Tu as choisis la cage haute :

« Être debout... » dis-tu, affolée. La cage est amenée au sol, et tu es poussée dedans. Elle est si étroite que lorsque la porte se referme sur toi, tu te trouves pressé contre ses barreaux. Tu restes ainsi suspendu jusqu'à ce que le manque de nourriture te fasse perdre toute ton énergie. Et si la faim ne vient pas suffisamment vite, les crampes auront raison de toi. Car en étant ainsi dans la cage, tu ne peux t'y étendre, ni même t'y asseoir.

Ton aventure s'achève malheureusement ici. Mais tu as tout à fait la possibilité de recommencer ta lecture et de faire d'autres choix.

(2) Tu as choisis la petite cage :

« Accroupi... » Dis-tu, affolée. Tu es tassée à l'intérieur de la petite cage qui est ensuite hissée au plafond. C'est là une villégiature de rêve : la cage est suffisamment large pour te permettre d'y rester assis, mais tes genoux sont pressés contre ta poitrine, et il t'es impossible de faire le moindre mouvement. Quand les premières crampes se feront sentir, ce sera le début de ta lente, longue et douloureuse agonie, pour le plus grand plaisir du bourreau et de son ami.

Ton aventure s'achève malheureusement ici. Mais tu as tout à fait la possibilité de recommencer ta lecture et de faire d'autres choix.