ma

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MA

🥀

à l'approche des aurores, un soupir de tes lèvres fut.
un tympan sonné par la quiétude de tes derniers exquis maux ;
puis s'évanouirent à quelques pieds, quelque part parmi les longues lignées et la voûte céleste des montagnes de cris enfouis et martelés entre les parois de ton âme, parois de tes famines où se claquemuraient-elles jusque-là au creux de ces cordes rigides auxquelles vouais-je ce fol enivrement que tu moquais toujours.

n'était-ce là qu'un refus masqué,
dissimulé par le plus mielleux de tes sourires ? couvert par une multitude de baisers langoureux, m'épargnant par leur simple souffle à mon épiderme sensible nos sanglots au mirifique crépuscule, dont l'œil tatillon ne cessait de s'offrir à moi !

marionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant