Confession nocturne

O.S : Confession nocturne

Chat noir accepta l'appelle entrant sur son bâton télescopique et répondit aussi tôt à sa partenaire, perché sur l'un des toits de Paris.

-Ma Lady ? Un problème ? C'est rare que tu sois autant en retard pour une simple patrouille...

-Désolé Chat noir, dit-elle d'une voix enrouée et monotone, mais je ne viendrai pas ce soir. J'ai ... Un imprévue ...

Il l'entendit renifler et s'inquiétât un peu plus.

-Tu es malade ? Tu veux que je fasse quelques choses ou bien... ?

-Non ! Non ! C'est bon ! Ne te fais pas de soucis pour moi... elle renifla à nouveaux

-Ah ! Ma Lady, vous avez attrapé un vilain rhume et maintenant vous laissez le chat faire les corvées à votre place.

-Ouai ... On va dire ça chaton_hgt_ j'ai, j'ai attrapé froids _snif.

L'héroïne essaya de cacher le sanglot qui s'échappa de sa gorge mais chat noir avec son ouïe ne put que l'entendre même au téléphone.

-Oooh... Tout va bien ? Tu_tu veux en parler ? tu peux tout me dire tu sais ? Enfin seulement si tu le veux je ne te force à rien ...

-De quoi tu parles ? Il n'y a rien, rien de ce que tu crois en tout cas... Je vais te laisser, je ne veux pas te déranger plus longtemps. Au revoir.

Et sans plus attendre elle raccrocha faisant soupirer le blond qui se remit en route afin de finir la patrouille seule, ses pensées s'embrumant.

Ladybug avait beau le nier mais il était certain que quelque chose la tracassait et ça le frustrait de ne pas savoir ! Car comment voulez-vous l'aidez si vous ne savez même pas quelle est l'origine du problème ?

Bon peut-être a-t-il était maladroit lorsqu'il lui a proposé de se confier. De toute façon il savait que Ladybug était plus du genre à penser aux autre en premier et à elle ensuite. Elle lui faisait légèrement rappeler sa camarade Marinette sur ce point de vue là -et sur d'autre point de vue d'ailleurs !-  

En pensant à Marinette ... Il se demandait comment elle se porter elle aussi. Elle a séché les deux derniers cours de l'après-midi à l'infirmerie prétextant qu'elle ne se sentait pas bien. Tout ça par sa faute ... Et non ce n'est pas excessif comme auto-accusation !

La jeune fille avait été vraiment rayonnante ce matin, comme tous les matins, mais aujourd'hui elle avait un quelque chose en plus, il ne serait dire quoi. Peut-être ses cheveux habituellement attachés qu'elle avait décidé de libérer ?

Néanmoins rien n'empêche qu'il lui ait briser le cœur. Lors de la pause déjeuner, 15 minutes avant que les cours ne reprennent. Les deux adolescents se sont retrouver tous les deux seules au niveau des casiers et c'est là que Marinette se confia. Sa réponse ? «T'es sûr que tu m'aimes ? »

Comme si elle faisait ça sur un coup de tête ! Marinette est la personne la plus honnête du monde donc c'est certain qu'elle ne se moque pas de lui surtout quand celle-ci le confirme pour la seconde fois un peu confuse.

« C'est gentil, Mari, ça me touche énormément merci, avait-il répondu la seconde fois comme si elle lui tendait simplement un bouquet de fleur, mais je ne peux pas accepter après tout on ne se connait pas vraiment... »

Il aurait dû voir le visage de sa camarade se décomposer à sa réponse et il aurait dû s'arrêter ! Mais non, il à continuer son discourt lui expliquant pourquoi il ne pouvait pas sortir avec cette fille extraordinaire, lui arrachant le cœur par la même occasion.