5.

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À l'entrée d'un grand hôtel londonien, des voitures garées attendent en catimini, mais loin d'être dissimulé sont entouré de gardes.

Devant l'une des suite présidentiel du Grand royale London Hyde park, l'une des managers patiente après s’êtes faite annoncer.

Anxieuse elle replace son chignon parfait une énième fois, après avoir lisser sa jupe droite qui n'avait aucun plis, quand un homme sortie pour lui parler.


- Veuillez m'excuser. Vous pouvez avisez sa  majesté que son cortège est prêt. Nous espérons que vous avez...


L'homme n'attend pas plus d'information et referme la porte immédiatement. Il repart dans la chambre principale, tape avant de rentré.


- Est ce que tout est prêt ?


Un verre à la main Abel lui pose la question sans se retourner, dans un ton froids et calme, presque méprisant.


L'homme sursaute avant de répondre d'une voix peu assurée. Malgré sa stature loin d'être négligeable, il semblait se décomposer devant celle de son roi qui l'était tout autant que lui.


- Est ce qu'on a eu des nouvelles de Bakir. Demanda t'il en déposant son verre sur l'une des tables basses.


- Non. Enfin si...


L'homme flancha légèrement devant le regard acéré et froids d'Abel, en plus d'un corps bâtis pour gouverner, ces yeux gris accentuais sa sévérité et son impassibilité. L’homme se repris et articula plus calmement du mieux qu'il pouvait.


- La dernière fois que nous l'avons eu il prenait l'avion pour rentré.


- Seul ?


- Il semblait accompagner de quelqu'un.


Abel n'en demanda pas plus, et entreprit de sortie de la chambre ses hommes à sa suite.

A la porte, il découvre la gérante qui patiente.

Elle hésite un moment avant de s'approcher et de s’éloigné a nouveau. De loin elle le salue le plus courtoisement possible.


- Bonsoir votre majesté, j'espère que votre séjour dans notre Hôtel fu agréable ?

Abel se rapprochas d'elle et lui fi un baise main avec un sourire charmeur, la jeune femme se mis à rougir devant le gabarit impressionnant du roi. Et surtout de sa grande beauté.


- Jamais je n'ai été aussi bien reçu. Je suis pleinement satisfait.

Un de ses hommes offrit à la jeune femme un petit coffret à bijoux avant qu'il ne se remettent en route. Une habitude que Bakir essayait de lui faire perdre, tant bien que mal.

Peut importe où il se rendait et malgré son attitude assez peu ouvertes les femmes n'avait dieu que pour lui. Mais derrière ce visage impassible et froids se trouvait un cœur brisé. Brisé de savoir que la personne qui comptait le plus pour lui, faisait tout pour l'éviter enfin jusqu'à aujourd'hui.

                                ***

Le stress pris à nouveau Dayanah à la gorge, quand Bakir annonça la fin du voyage. Maintenant que la rencontre paraissait imminente, elle redoutait la réaction de sa belle famille.

Est-ce qu'il la trouverait gentil, correcte pour leur fils même s'il n'était plus là ?

Elle avait dit a Jade que leur approbation ne comptais pas, mais savoir qu'ils puisse la détester la rendait folle.

L'atterrissage se fi dans un silence théâtrale. Même si la curiosité la dévorais elle s’interdit de regarder par la fenêtres avant d’avoir mis le pieds dehors pour découvrir tout cela de ses propres yeux.

Bakir l’invitât a quitter l'avion, l'espace d’un instant elle hésitât, son cœur sur le point d’exploser. Après c'être éclaircie la gorge elle suivie Bakir.

Un vent sec et fugace l’accueilli a l'extérieur, Dayanah fu subjuguer par le paysage qui s’offrait a elle, sur le tarmac elle pouvait voir le relief de la Ville au pied de la montagne qui  les entourait, eux et un magnifique châteaux tout au dessus, et surtout le désert qui s’étendait au-delà.

C'était tous simplement magnifique, mais Bakir la ramena sur terre au moment d’empreinter les voitures pour se rendre au châteaux.

Dans un fracas mi silencieux les gigantesque portes qui représentait le dernier obstacle de cette journée s’ouvris en grand pour leur donner l'accès a cet endroit qui semblait sortir d'un compte pour enfant.

Le soleil tapait plus fort encore qu'a leur arrivé et les rayons dorée et flamboyant se reflétèrent avec rage sur le fonds bleu de ses iris.

Dayanah réprimas un gémissement de douleurs en les baissant. A ce moment-là un groupe d’hommes apparus pour débarrasser les voitures, l'un d'eux parla avec Bakir non sans lui Jeter quelques coup d’œil furtifs.

"LA FEMME DE MON FRÈRE "Où les histoires vivent. Découvrez maintenant