La femme du train

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Au début, je ne la remarquais jamais, aujourd'hui pourtant j'ai l'impression de ne voir qu'elle.
Dans un train rempli, où chacun se retrouve collé les uns au autres, un matin elle c'est accroché à moi. De petite taille, elle devait ce faire écrasée sans cesse. Elle n'a rien de particulier, elle se maquille que légèrement, ses yeux marron clair sont mis en évidence par un peu de maquillage et ses lèvres toujours coloré d'un brillant à lèvre rose que je trouve chaque jour plus attirant. Ses cheveux brun on une odeur de chocolat, comme un shampoing pour enfant. Ils ne sont pas très long, disons qu'il lui arrive tout juste aux épaules. Ses coiffures varies assez, queue haute, chignon, double tresse, relâché. J'aime beaucoup le chignon, il me permet de mieux voir son visage et son cou. Fin. Fragile.
Ses petits yeux semblaient cachés des millions de secrets, elle ne me voit pas, ne me regarde pas et pourtant elle m'hypnotise.
Je ne sais pas vraiment pourquoi c'est à moi qu'elle s'est accrochée, la première fois et même tout les autres. Ça m'intrigue, elle m'intrigue. Je ne dis pas que cela me déplais mais, parmi cette vague humaine, elle aurait pu se tenir à n'importe qui et pourtant, c'est moi qu'elle a choisi, c'est moi qu'elle choisi chaque matin. Ça me fais me questionné sur qui elle s'accroche le soir pour rentrée chez elle. Si, elle le fait aussi ou, si il n'y a que moi. Et puis, si il n'y a que moi, cette question me reviens encore : Pourquoi moi ?
Je fais tout pour paraître discret malgré mon gabarie assez imposant. Je cache mes muscles sous de longues manches, généralement elles sont quand même visible mais je cache bien mieux mes vielles cicatrices. Quoi qu'il en soit, je porte toujours des écouteurs pour entré dans ma bulle afin que les personnes avoisinantes comprennent que je ne compte parlé ou écouté personne. Je fixe toujours devant, comme si une chose invisible me captivais et je suis conscient tout de même d'inspirés une certaine crainte. C'est pour cela, que je me demande encore et encore : pourquoi moi ? Elle pourrait s'accrocher à une personne plus souriante, plus sociable, une personne qui n'inspire pas la crainte. Pourtant, je suis son choix, chaque matin dans le train de 7:15, une gare après la mienne. Elle traverse une foule de personnes pour venir à moi, debout, au fond, tenant une des bars supérieurs.
Je ne comprendrais sans doute jamais, je n'aurais sans doute jamais de réponse. Le seul moyen pour que cela arrive, ce serai de lui parlé et simplement de lui demandé. Sauf que, je ne veux pas. Je ne me sens pas de brisé cette routine qu'il y a entre nous. J'aime le fait qu'elle ne soit que le femme du train. Pourtant, parfois j'aime imaginé que quelque chose arrive, qu'elle me dise son prénom et qu'on parle pendant des heures ou, juste qu'elle me sourit.
Cette femme, me fait songé à des choses inédite et parfois même, dans mes rêves, à des choses interdites.
Elle n'a rien de particulier et pourtant, elle me fait parfois me réveillé en avance pour prendre le train, pour sentir ses doigts se posé sur mon biceps avec fermeté.
Cela dure depuis six mois et, je me pose de plus en plus de question sur qui elle peut bien être tout comme, ce qu'elle est moi pourrions se dire ou, se faire...
Intriguant, voilà ce qui me viens lorsque je la vois sans cesse porté de long manteau. Je sais que c'est pour caché quelque chose, on a tous des choses à caché mais elle, c'est son secret à elle que je souhaite découvrir. Que me cache t-elle sous ses manteaux ? Des choses bien courtes je paris. Trop courte même.
C'est en me demandant quelle profession peut-elle bien exercé que sa tenu c'est mise à m'intriguer. Je ne suis encore sûr de rien, mais parfois son regard glisse vers la honte. Je ne sais jamais à quoi elle pense dans ses moment là mais, je me suis mis à supposé et j'ai trouvé une réponse. Ça me décevrait vraiment d'avoir raison, escorte, ce n'est pas pour elle.

Quand je la vois, je pense à une femme, fragile, innocente, pure, simplement pure. Un métier comme ça la salirait. Mais, si elle n'avais pas le choix, je comprendrais. Je sais bien que la vie ne laisse pour ainsi dire jamais le choix. Pourtant, l'imaginé nue, dans les bras d'un autre, de plusieurs autres me met en colère. Je ne devrais pas, elle n'est rien pour moi, elle n'est que la femme du train, je devrais me résigné à cessé de pensé à elle. Mais, je n'y peux rien. Lorsque j'ai une seconde de répit dans ma journée, c'est vers elle que mes pensées se tourne. Parfois, elle me met en insomnie.
J'ai besoin de savoir qui elle est. C'est pour ça, qu'aujourd'hui je me lance.
Lui parlé ? Trop dure. La suivre ? Flippant. Pourtant, c'est plus facile.
Je m'arrête en même temps qu'elle, généralement, j'ai deux arrêt après le sien. J'ai deux semaines de congé, je compte pas les passés à la suivre, simplement à apprendre à la connaître.
Je n'ai pas peur de lui parlé, j'ai peur de brisé notre histoire. Ce n'est pas un compte merveilleux, mais, c'est une histoire muette qui me convient. Peut-être serai-ce mieux, plus beau, plus joyeux si nos vies entrés en collision pour n'en faire qu'une. Mais, trop de fois j'ai été déçu alors je me contente de peu.
Je marche à distance raisonnable sans la perdre de vue. Je sais que s'est une femme discrète et timide. Ses mentaux et sa simplicité parle d'eux même. Jamais de couleurs vives, jamais de couleurs trop sombre. Elle se limite aux couleurs beige, gris et bordeaux. Je la verrais bien en rose pâle, en noir aussi. En réalité, toutes les couleurs m'irait, si je peux la voir.
Elle entre dans un petit café, un homme est déjà là où elle s'arrête. Il pourrait très bien être son petit ami comme son frère ou même son mac. Lorsqu'il se lève pour la salué je peux déduire que je suis plus grand que lui, il porte des vêtements de lux plutôt chic, il est blond. Je constate qu'il est le genre de personne à se sentir supérieur au autres, simplement parce qu'il boit un verre d'alcool à tout juste 8:00 du matin et aussi parce qu'il porte des lunette de soleil en intérieur. Je ne serais pas surpris de le voir sortir une cigarette dans cette établissement où fumer est interdit.
Ils ne parlent pas longtemps avant qu'un autre homme ne vienne. L'homme blond les présentes et tous les trois partent et monte dans une voiture, plutôt une limousine, garé à l'avant.
Je n'ai aucun moyen de les suivre, je suppose qu'elle rentre comme ça le soir.
Quoi qu'il en soit, cela a renforcé ma supposition au sujet de son travail. Je ne sais plus vraiment quoi pensé d'elle, je sais pas vraiment si c'est ce que je crois.
Je rentre chez moi, on est lundi et je ne travail pas. Je ne sais pas vraiment quoi faire. Mes trois petite sœurs sont à l'école. Je décide de rangé la maison. Évidemment, ce que j'ai vue me hante, je ne cesse de pensé à elle. J'aimais l'imaginé, peintre, professeur ou même serveuse. Maintenant, je ne peux plus vraiment me permettre de pensé qu'elle puisse être autre chose qu'une escorte. J'aimerais me trompé, mais je ne vois pas d'autre travail qui demande ce genre de rencontre.
Je veux oublié ce que j'ai vue, mais comment faire ? Je ne pense qu'à elle, et je vois et revois en boucle cette rencontre dans ce café.
Je dois pensé à autre chose, j'hésite entre un porno et un film. Peut-être même une partie de jeux vidéo. J'ai bien une série à continué mais, les éventements sont si prévisible que ça m'ennuie. Donc, pas suffisamment captivant pour me la faire oublié. Un porno, pire encore...
Trente minutes que je cherche un film mais, les tendances actuels sont peu intéressant. De l'horreur, un peu de frisson m'aérerait l'esprit. Je prend le film avec les meilleurs critiques mais malgré tout, elle semble plus forte qu'un démon hantant une demeure.
Elle, elle, elle toujours elle.
Pourquoi ?
Ce n'est qu'une femme, parmi d'autre. Qu'a t-elle de différent ? Pourquoi son mentaux, sa peau clair, son cou si fin, ses yeux clair, ses lèvre brillant, pourquoi tout cela m'obsède tant ? La pression de ses doigts sur mon bras, m'offre des images interdites.
Peut-être que simplement la voir, la sentir à mes coté pour quelques minutes n'est plus suffisante.
Il me faut ne serait-ce que son prénom, le son de sa voix.
J'ai l'impression de devenir fou, j'ai besoin d'en apprendre plus sur elle. Je veux lui parlé. Je le dois.
Mais, c'est bien plus fort que moi, je sais que je n'y arriverais pas. Surtout depuis ce que j'ai vu ce matin.
Je pars prendre l'air, j'étouffe chez moi.
Un petit jogging ne me ferais pas de mal, courir aide à aéré l'esprit.

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⏰ Last updated: Apr 04, 2019 ⏰

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