Chronique de Bachir - Elle veut pas de moi - Tome 1

Partie 11

Bachir Sow

Lui : Mayna a un petit garçon et c'est toi le père

Moi : Quoi ? Non attends comment cela est possible ? Comment peut-elle être enceinte de moi sans que je le sache ?

Lui : elle m'a appelé et c'est ce qu'elle a dit. Je ne comprends rien

Moi : je te rappelle boy

Lui : non attends j'ai pa......

Je raccroche avant qu'il finisse sa phrase

Je suis sorti de la salle de sport en vitesse téléphone entre les mains et je compose le numéro de Mayna aussi vite que j'ai pu

Moi : Allô yaw fo nekk

Elle : Bonsoir mon amour alors je t'ai manqué à ce point

Moi : OÙ ES-TU?

Elle : Pourquoi tu veux le savoir. Qu'est-ce que tu veux?

Moi : j'aime pas me répéter et tu le sais mieux que moi alors dit le moi avant qu.....

Elle : Je suis chez ma tante Adji

Je raccroche et j'engouffre dans la voiture pour aller chez sa tante 

Je roulais comme une malade j'étais tellement en colère que je ne contrôle plus rien

Quelques minutes plus tard je suis arrivé je l'appelle et elle sort dans la seconde qui suit

Mayna : mon amour tu n'entres pas à l'intérieur

Moi : Qu'est-ce que tu veux Mayna ? Notre relation est fini depuis ou tu l'as pas compris

Mayna : Wa Qu'est-ce qui t'arrive c'est quoi cette manière de se présenter devant chez moi. Ne me dit pas que c'est à cause de ta sois disante femme que tu me parles ainsi

Moi : je la préfère 1000 fois que toi mets-toi ça dans ton crâne et autre chose je ne sais pas pourquoi tu es au Sénégal mais liga beugg doko am et je ne te laissera pas faire

Mayna : mon pauvre ndeysan. Si tu m'aimais pas comme tu le dis à chaque fois tu allais pas te déplacer. Xam na daga ma beugone guiss rek ( peut-être aussi tu voulais juste me voir)

Moi : je sais que tu as rencontré ma femme et je te préviens si quelques choses lui arrive. Je te tiendrai entièrement responsable.

Mayna : tu te mens à toi même. C'est moi la femme de ta vie

je lui donne un gifle 

Moi : encore un gros mot je te tue de mes propres mains garce

Mayna : C'est à moi que tu gifles. Tu n'es qu'un pauvre imbécile Bachir. Tu as déjà oublié tout ce qu'on a vécu ensemble

Moi : tu n'as jamais été la femme que je voulais que tu sois. Alors épargne moi de tes charabia

En lui tournant le dos et elle me dit