Premiers ébats

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Il a à peine fermé la porte de ma chambre que je me retrouve plaqué contre celle-ci. Ma bouche fut prise d'assaut par ses lèvres pulpeuses qui recouvrirent les miennes. Sa langue lèche mes lèvres pour que je les ouvre. Je m'exécute et elle pénètre ma bouche pour venir s'enrouler autour de la mienne. C'est tout simplement délicieux. Ses mains caressent ma nuque, mes joues, mon torse, mes fesses qu'il empoigne durement. Il attrape mes jambes et me soulève. Elles viennent s'enrouler autour de sa taille et sans cesser de m'embrasser, il nous conduit vers mon lit, où il me dépose délicatement. Allongé, lui à califourchon sur moi, il ne cesse de m'embrasser puis il dépose des petits baisers sur ma mâchoire. Il lèche mon cou et ça m'excite comme un jeune puceau. Il remonte lentement sa langue vers mon oreille. Je sens mon lobe disparaître dans sa bouche, il le lèche, le suce, l'aspire. Oh putain, qu'est-ce que c'est bon !! C'est divin !

Ses mains passent sous mon t-shirt et je me relève légèrement pour lui faciliter la tâche de me l'enlever. Il le jette par terre. Il coince mes tétons entre ses doigts et les fait roulés entre son index et son pouce puis prend mon téton dans sa bouche et le lèche, l'aspire et le mord.

- AAAHHH.... Oui... C'est bon !!!!!

Il relève son regard de prédateur sur moi. Il me fixe et rien que cela, ça me met dans tous mes états. Il relâche mon téton et prend mon autre téton pour lui faire subir le même traitement. Je ne peux pas me retenir de gémir. S'il continue à m'exciter comme il le fait, je vais finir par jouir. Il finit par laisser mes tétons tranquilles. Il lèche mon torse tout en descendant vers mon bas-ventre. Il me rend fou et je n'en peux plus. Mes râles deviennent de plus en plus forts. Une minute au paravent, j'avais encore mon jean et la minute suivante, je me retrouve nu comme un ver, la queue au garde à vous comme un petit soldat. Sa langue taquine mon gland, le lèche et tourne tout autour ...

Oh, il veut que je meure où quoi ! Il fait durer cette torture quelques minutes et finit par taquiner du bout de sa langue mon frein sur toute sa longueur.

- Plus... Putain ! Chéri... Baise-moi !

Ses lèvres finissent par engloutir ma queue entièrement et moi, je perds pied. J'ai l'impression que le monde s'est arrêté de tourner au moment où mon dard a disparu dans son humidité et brûlante cavité. C'est torride et extrêmement bon ! Il suce comme un dieu ! Sa tête monte et descend lentement sur mon braquemart et j'aime cette sublime sensation qui me donne excessivement chaud. J'ai l'impression que mon cœur va exploser tellement, il tambourinait dans ma poitrine. Il présente un doigt devant ma bouche et je sais que les choses sérieuses vont enfin commencer. Je ferme les yeux et j'accueille avec un certain plaisir son index puis son majeur. Je les suce au même rythme que mon amant fasse des va-et-vient sur mon sexe. Une fois que je les ai bien lubrifiés, je les lâche.

Sharkan caresse délicatement de ses doigts ma petite rosace. Je gémis. Il présente son index devant mon petit trou frémissant et l'introduit lentement, très lentement. Il accélère la cadence et en voyant que son doigt glisse sans aucune résistance, il introduit son majeur qui est très vite rejoint par un troisième doigt. Il les sort ou rentre, heureux d'entendre les gémissements, des mots qui ne veulent rien dire. J'arrive à reprendre son souffle et d'une voix suppliante, lui dit :

- Maintenant... J'ai besoin de toi ... Tout de suite...

Il a compris le message. Et à regret, il retire ses doigts de mon fourreau et de mon pieu. Je grogne par le vide qu'il laisse derrière lui. Je me sens voler. Il me questionne sur le matos et je lui fais signe où se trouve les préservatifs et le lubrifiant. Il se relève et va vers la table de nuit. Il se déshabille. Oh bordel, il est magnifique ! Oh, il est bien monté ! Il sent mon regard voguer sur mon splendide corps.

Il prend son temps pour enfiler le préservatif et le lubrifie bien. Je grogne, car mon envie de lui est trop pressante. Il se penche sur moi et l'enlace. Je suis comme une liane, mes jambes le coincent contre mon corps. Il se dirige vers la porte et avant même que je ne puisse dire quoique ce soit, son membre s'enfonce en moi d'une extrême lenteur et cela me frustre. Je ne peux m'empêcher de pousser un petit cri tellement il est gros. J'ai l'impression qu'il va me déchirer. J'ai l'impression que sa virilité est en moi depuis des heures car il ne bouge plus. Oh bon sang, il est enfin enfoui jusqu'à la garde, car je sens maintenant ses poils contre mes fesses. Il ne fait aucun mouvement pendant quelques minutes, histoire de s'assurer que j'habitue à la grosseur de son sexe. C'est moi qui bouge en premier pour lui faire comprendre qu'il peut y aller sans problème. Ses va-et-vient sont très doux. J'en veux plus ! Je veux qu'il me défonce encore et encore. Et je le lui dis crument.

- Plus fort... Je veux que tu me marques... Baise-moi, chéri !... Défonce-moi !!

C'était certainement le signal qu'il attendait de ma part, car il sortit de mon anus et rentre violemment. Il laisse son gland à l'entrée pour revenir encore plus durement à l'intérieur. Je gémis de plus en plus. J'aime cela et Sharkan le vit bien. Maintenant, il me pilonne brutalement et j'aime encore plus cela. Entendre le claquement de mes fesses contre sa queue et ses halètements me met en joie de le savoir dans cet état d'excitation. Mais je sais bien qu'il aime mes cris, mes râles et mes gémissements. Oui, je suis un crieur et j'en suis fier ! Sa queue remplit les moindres recoins de mon cul. C'est terriblement torride ! Il me pénètre sans douceur et mon dos claque à chaque coup de reins contre la porte. Nos gémissements se mêlent entre eux et résonnent dans la chambre. Nous entendons aussi nos respirations chaotiques et mes fesses qui claquent tout contre sa bite. Un coup de reins sauvage et mes yeux roulent dans leurs orbites. Un autre coup vigoureux et ma tête part en arrière. Encore un coup sur ma prostate et je crie ma jouissance.

Mon sperme gicle entre nos deux torses. Mon cul se resserre autour de sa queue et il ne lui en faut pas plus pour atteindre l'orgasme lui aussi. Son cri de plaisir est beau à mes oreilles. A bout de souffle et rassasiés, Sharkan nous ramènent sur le lit. Il se retire doucement, ôte son préservatif et le noue. Il va dans la salle de bains, le jette dans la poubelle et se nettoie. Il revint avec un gant mouillé et une serviette. Il me lave la peau avec douceur. Je trouve cela délicieusement attentionné. Il m'essuie et ramène le tout dans la salle de bains. Il revient et s'allonge auprès de moi. Il me regarde amoureusement. Sharkan m'effleure la joue puis les lèvres. Nos souffles sont redevenus presque normaux. Nous repoussons les couvertures et le drap puis on se glisse sous eux. Il me baise les lèvres puis m'embrasse passionnellement. Je réponds à son baiser avec autant de gourmandise. Sharkan sent que je suis fatigué et relève la tête. Il me baise le font et je me cale contre lui. Sa chaleur me sécurise totalement. Je ronronne contre lui.

- Dis-moi que j'aurais cela tous les jours, Sharkan, demande-t-il d'une petite voix

- Si tu es sage...

- Je suis toujours sage, moi ! Tu voudras que je te prenne ?

Pour toute réponse, Sharkan eut un rire enfantin. Il enlace son amoureux et ils s'endorment du juste.

Un soutien inattenduOù les histoires vivent. Découvrez maintenant