Nous sommes le 13 mars 2016, à se moment la j'ai alors 15ans.
Je vous informe déjà, que je ne suis pas là pour vous conter une histoire plate et connue d'une maison hantée comme beaucoup de livre que j'ai pu lire, comme vous. Il n'y aura pas de possession démoniaque. Ni de phénomène spectaculaire ou encore surnaturel, enfin, pas tous les jours du moins. A mes 15ans j'ai emménagée avec ma famille dans une maison quelque part en France, je ne citerai pas son emplacement car au moment où j'écris cette histoire j'y vis encore. Je m'appelle Lou, et je vous laisse découvrir mon histoire.
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Bip. Bip. Bip.
Mince, il est déjà 8h. C'est l'heure pour moi et ma famille de partir et je ne suis même pas encore sortie de mon lit.
Encore endormie, j'ouvre difficilement un œil, la lumière dû soleil matinale me brûle la rétine.
D'en bas, j'entends vaguement des bruits de pas vifs et de voix commencent à monter dans les aiguës...
« Mais c'est p............. on s'en sortira j........... Regardez tout sa. Et les déménageurs, i...............avant nous. Et Lou, o....... » j'avais du mal à entendre tout se qu'il se disait, mais une chose était sûre, c'était ma mère. Je savais sans même lever la tête de mon oreiller qu'elle en avait après moi car je n'était toujours pas prête.
Je balançais tout en grommelant :
« Encore 5 petites minutes. Après tout, les déménageurs on les clés de la maison, il ne sont pas idiots ils savent appuyer sur une poignée. »
Je me retourne donc en écrasant mon visage dans mon oreiller pour quelques minutes de répit en plus. Car oui, là où nous allions déménager n'était pas là porte à côté, et toutes ces heures de voiture coincé au milieu de mes deux cadettes, Cass et Cam et mes parents, ma mère Ben et mon beau père Jean, se prévoyaient déjà longues, très longues.
Réveillé par des hurlements je suis prise de panique et sursauta. Rien d'alarmant, c'était encore ma mère. Elle me criait de me bouger, que j'avais de la chance que mes valises soit prête sinon elle m'aurait assommé à coup de coussins.
Je me lève donc de mon lit, je me passe un t-shirt et un jeans noir, un gilet et j'enfile mes Buffalo. J'attache vite mes cheveux, et voilà j'étais déjà prête.
Je descendis mes valises et m'assis sur les escaliers, attendent biensur les autres. C'était bien la peine de me crier de me dépêcher pour au final que j'attende sur mes escaliers qu'ils soient près.
Je les voyaient s'agiter et courir dans tout les sens, j'étais partagée entre rire et vomir devant ce spectacle digne d'un zoo.
Ma petite sœur Cam, qui a se moment là avais 4ans, m'as rejoint sur l'escalier, elle posa délicatement sa tête sur moi, tenant fermement son doudou favoris. Elle me lança un regard aussi dépité que le miens en les regardant, et l'on s'est mise à rire toutes les deux en coeur.
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