Chapitre 4

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En arrivant au bureau de l'accueil, je vis M. Dupes un peu stresser. Il y a de quoi !
- Monsieur, il faut absolument appelé la police ! En urgence !
Le majordome bondit sur moi.
- Surtout pas ! Si le château est interdit d'accès par les détectives, je ne pourrais plus entrer pendant un bon bout de temps!
M. Tubal dit de sa voix douce et chaleureuse :
- Ce n'est pas grave, ce château n'est pas votre maison enfin je crois...
- Si justement ! Où vais-je dormir si mon hôtel ferme ?
Un silence s'installa. On entendait juste les cris de frayeur.
Hermann Lambert me sourit. Je fronçais les sourcils. Qu'est-ce qu'il a encore derrière la tête ?
- Monsieur, il y a une auberge dans la vallée, voilà une raison de plus d'appeler le commissariat.
- Oui vous avez raison, approuva-t-il en composant le numéro de la police.
M. Tubal rajouta tout bas :
"Seul eux trouveront l'assassin..."
Mon visage s'illumina et se tourna vers le majordome. Je me précipita sur le téléphone pour empêcher M. Dupes de continuer le numéro.
"Au lieu d'appeler la police, pourquoi ce ne serai pas moi qui enquêterai sur l'affaire ?"
Les trois hommes eu des grands yeux. Ils se regardèrent pour réfléchir un peu.
"Alors?"
Ils n'avaient pas l'air de me faire confiance...
Lambert dit au bout d'un moment:
- Et bien je trouve que Anna ferais une parfaite détective, d'autant plus qu'elle est journaliste !
- Merci docteur !
Les deux hommes se regardèrent puis haussèrent les épaules.
- Je ne supporterai pas d'être séparé de mon château plus d'un soir donc c'est oui.
M. Tubal ne dit rien.
- Merci beaucoup, je ne vous décevrai pas !
- C'est ce que dise les personnes qui rate toujours leur projet, me taquina Lambert.

En rentrant dans ma chambre je pris une sacoche en cuir et un carnet.
Avant de partir à l'aventure, je prépara les étapes de l'enquête.

Étape 1 : analyse des faits.
Étape 2 : analyse des victimes
Étape 3 : l'interrogatoire des suspects
Étape 4: Les indices à assemblée
Étape 5 : l'assassin à été trouvé

Certes, ce papier est petit mais les étapes sont très longue à mettre en place. Donc, comme le dit mon plan, il faut d'abord que j'analyse la scène de crime.
Arrivé dans le couloir de ma chambre, j'observais les victimes.
Avec l'aide du docteur, je transportais les cadavres. La seul chose qui me surprenait dans tout cela est que les morts n'ont pas cette odeur de ... mort ! Sans me posait de questions, je transporté les corps. On prépara une sorte de salle d'opération dans le restaurant. Les chaises ont été placé sur l'estrade et les tables ont été collé ensemble pour former des lits.
"Je ne vous ai pas dit Anna mais je suis venu ici pour m'occuper de la santé des enfants, il n'y a pas d'hôpital ici."
Je ne m'attendais pas à se qu'il me parle mais je lui répondu que c'était une bonne chose.
"Non, je ne tenais pas à vous raconter mes ambitions mais juste pour vous prévenir que j'ai le matériel adapté en cas de besoin pour analyser les morts."
Apparemment, il n'est pas près à me parler. En même temps, avec les éléments passé c'est sûr !
Il débuta notre analyse en mettant des gants en latex comme dans les romans policiers.
On regarda chacun de notre côté les personnes. Avec un peu d'attention, je déduis que les personnes étaient tous des serveurs, aucun domestique.
M. Lambert se mit à courir partout dans la pièce. Il examina chaque corps.
- Que se passe-t-il docteur ?
-Venez voir par vous même, dit-il en agitant sa main pour que je viennes.
Je me précipita vers lui. Il mit sa tête au-dessus de mon épaule. Un frisson passa sur mon dos. Je ne savais pas si c'était lui ou le mort qui faisait ça. Concentre-toi Anna...
Je commençais à enlever la chemise du serveur. Rien... pas une cicatrice ! Je fis de même avec le reste de son corps. Toujours rien...
- M.Lambert, je ne vois rien...
- Et qu'est-ce que ça veut dire ?
Il inclina sa tête pour me dire que c'était évident. Je regarda encore une fois le corps mais je ne trouvai rien.
Je le regardai Pour attendre une réponse.
Hermann me tenu les deux bras et il me sourit pour attendre une réponse. Je restai perplexe.
- Vous êtes détective à présent donc c'est à vous de trouver une réponse !
Je lui tournai le dos et baissa la tête. J'avais honte de ne pas avoir trouvé. Hermann posa sa main chaude sur
mon épaule.
"Je vais vous donner un indice".
Je me tournai brusquement. Le jeune homme prit sa tisane posait sur la cheminée et l'a but.
- Je ne comprend pas ...
- Réfléchissez.
Lambert se mit à croupit et fit semblant de mourir avec des gémissements qui était ma foie très amusant. Il resta longtemps allongé sur le sol. Il leva sa tête et me vit réfléchir.
" Concentrez-vous sur ma tisane"
Après un long moment je trouvai.
- C'est bon je sais : il sont mort à cause d'un poison !
-C'est ça, vous avez réussi !
Je baissa la tête pour ne pas croisez le regard du docteur.
- Vous devriez être très angoissé à l'idée que j'enquête sur l'affaire. Je n'arrive même pas à deviner comment son mort ces braves gens...
Il mit sa main sur mon épaule.
- Vous êtes la plus intelligente des enquêtrices.
Je rougis. Il arrivé à me redonner le sourire.
- Et vous, vous êtes le meilleur des docteurs.
Il me sourit mais pas de la même façon qu'avant. Il avait quelque chose en plus qui ne s'explique pas : du charme.
Il enleva brusquement sa main de mon épaule et repartit de l'autre sens.
Je leva ma main pour qu'il n'est pas honte de la façon dont il a agit mais je renonça à lui parlait pour me remettre au travail.
Je souris intérieurement.

Le soir, je me rendais sur la terrasse du balcon seul. J'étais haute. Le balcon était au deuxième étage.
Je toucha d'abord les tables où était assis la dernière fois mon mari. J'aperçus soudain, mon mari assis devant M. Tubal.
"Charle !".
Je partit en courant vers lui.
"Comment se fait-il que tu es revenu ? Tu m'aime toujours ?"
Charle tourna la tête et me vis.
- Que tu es belle aujourd'hui !
- C'est vrai ? Je te plais toujours ?
- Mais oui !
Il me prit dans ses bras. Je tombai d'un coup sur le sol. C'était qu'une illusion. J'aurais dû m'en doutais, c'était trop beau pour être vrai...
Je me relevais et me recoiffais. Je m'approcher du bord du balcon pour regardais la vallée.
Charle étaient à l'auberge. Je dois dire qu'il me manque un peu. J'ai honte de le penser mais je l'aimais juste pour sa richesse, sinon il ne m'intéresser pas. Mes parents aussi l'aimer pour ça.
J'entendis un bruit de pas. Je me retournai et vis une domestique.
- Vous n'avez pas froid avec ce léger pull et ces collants fins ?
- Non, ne vous inquiétez pas.
- De toute façon je suis venu vous informer qu'il est l'heure de manger.
- Je n'ai pas faim mais merci quand même !
La jeune domestique referma délicatement la porte vitrée.
"Attendez !".
La femme m'entendit et revint vers moi.
- Oui ?
- Je voulais vous demandé combien de serveur sont mort.
- Ils était dix.
Elle baissa la tête et se retenu de pleurer.
- Mon frère y compris.
- Je m'excuse, je ne voulais pas vous rendre triste.
Elle me sourit.
- C'est moi qui devrait m'excusais, je vous ai raconté des choses inintéressantes.
- Non, justement ! Cela meut m'aider pour l'enquête. Comment s'appelle votre frère ?
Elle se rapprocha de moi.
- René Bigon.
Je pris mon carnet et notais le nom de son frère.
- Merci beaucoup.
- Bon, je dois vous laissez, je dois m'occuper des invités.
Je hochai de la tête et lui souris.
Très sympa.
Après un long moment de réflexion, je décidais de partir aller dormir.
Dans le couloir, je vis Marguerite Turner, la danseuse des Moulins
Rouge.
- Vous !
Elle me pointa du doigt.
- On se connaît ?
- Non mais vous avez osé toucher à Hermann Lambert !
- Je lui ai juste parler, rien de plus.
- N'importe quoi, vous mentez ! Vous croyez que je vous ai pas vue quand vous lui avez sourit ?
- Tous les hommes me sourient et il ne même pas plus que ça. Si je souriais à tous les hommes que je croisé je serai marié une centaine de fois au moins ...
- Écoutez-moi bien mademoiselle, si vous parler encore une fois avec mon bien aimé, je ferais tout pour vous pourrir la vie !
- Mais je ne l'aime pas votre Lambert, c'est juste une ...
J'avais du mal à avaler ma salive.
- c'est juste une connaissance !
Je sentis la présence de quelqu'un derrière moi.
- Alors je ne suis qu'une connaissance pour vous Anna, dit sèchement Lambert.

Tadam ! Je suis désolée si j'ai pris du temps à vous envoyer se chapitre mais c'est les vacances donc j'ai envie de profiter à fond ! Comme d'habitude, merci d'avoir lu <3

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