Chapitre 127

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Tu ouvres rapidement la porte et te retrouves sur le balcon qui, heureusement, est désert. En prenant à gauche, vous parvenez bientôt devant un mur recouvert de boiseries sculptées. Un couloir s'ouvre sur votre gauche. Vous vous engagez dans le couloir et voyez deux portes se faisant face, la porte « Bélial », à gauche et « Abaddon », à droite. Quelques pas plus loin, le passage se termine sur une troisième porte, sur laquelle rien n'est inscrit.

Tu peux ouvrir la première porte (1), la deuxième (2), la troisième (3) ou reprendre le balcon et rejoindre l'escalier principal. Dans ce dernier cas, tu peux te rendre au chapitre 152. Rends-toi au paragraphe correspondant à ton choix.

(1) Tu as décidé d'ouvrir la première porte :

Tu ouvres la porte et pénètres dans la pièce.

« - Cet endroit ne me semble pas souvent utilisé... Commente Taeyang. 

- On dirait une sorte de resserre, ajoutes-tu. »

En effet, des draps blancs recouvrent des meubles ainsi que des objets de forme carrée qui ressemblent à de grandes boîtes. En soulevant les housses, tu découvres quelques fauteuils confortables et une chaise longue ancienne. Quant aux boîtes, elles sont remplis d'objets nécessaires à la bonne marche d'une maison. L'une d'elles est pleine de tasses et de soucoupes enveloppées dans du papier. Mais il n'y a rien de bien intéressant.

Tu peux te rendre au chapitre 153.

(2) Tu as décidé d'ouvrir la deuxième porte :

La porte s'ouvre sur une chambre à coucher, éclairée par une simple bougie posée sur une table de chevet.

« - Il semble y avoir une lourde odeur ici... Dis-tu en grimaçant.

- Ça doit sûrement provenir des plantes, te réponds Daesung. »

Effectivement, il n'y a aucun doute : l'occupant de cette chambre est un ami des végétaux. Mais soudain, tu t'immobilises et attrape le bras du coréen pour l'arrêter et pointe du doigt le lit. Aucun de vous n'avait vu qu'une femme âgée y est couchée, endormie et ne semble pas vous avoir entendu. Alors que tu décides de faire le tour de la pièce sans un bruit, Seungri s'approche du lit et secoue doucement la vieille femme. A peine a-t-il mit la main sur elle qu'il fait un saut en arrière. La peau blanchâtre que le jeune homme vient de toucher est aussi froide que de la pierre. Aussitôt, il perçoit un long gémissement provenant de cet être dont les paupières commencent à s'ouvrir, découvrant des yeux livides qui fixent le plafond. Au bout d'un instant, des mots sont prononcés par la vielle femme, bien que ses lèvres ne frémissent même pas. « Étranger, comment avez-vous oser pénétrer dans la chambre de la maîtresse de ce Manoir ? » Le coréen bégaye une vague excuse, mais la voix reprend aussitôt avec autorité. « Sortez ! Laissez une vieille femme mourir en paix ! »

Tu peux insister pour que vous la laissiez tranquille comme elle le demande. Dans ce cas, tu peux te rendre au chapitre 154. Mais tu peux attendre pour essayer de lui poser quelques questions. Dans ce cas-là, tu peux te rendre au chapitre 155.

(3) Tu as décidé d'ouvrir la troisième porte :

Avec prudence, tu pousses la porte. La pièce sur le seuil de laquelle vous vous trouvez est une chambre à coucher, et tout est préparé comme si quelqu'un allait venir se mettre au lit à l'instant. Les draps sont ouverts et un bon feu finit de se consumer dans la cheminée. Sur une table de chevet, une bougie est allumée, proche d'un plateau d'argent portant un en-cas, et des rideaux de velours sont tirés devant la fenêtre. A gauche, tu remarques une rangée de placards fermés. « Bon, ce lieu a plutôt l'air tranquille et confortable » Annonce Taeyang.

Tu peux examiner la table de chevet (4), examiner les placards (5) ou quitter immédiatement cette pièce. Dans ce cas, tu peux te rendre au chapitre 156. Rends-toi au paragraphe correspondant à ton choix.

(4) Tu as décidé d'examiner la table de chevet :

Sur la table de chevet sont disposés une bougie qui éclaire la pièce, ainsi qu'un plateau d'argent sur lequel sont posé du pain, de la confiture et une théière.

Tu peux te régaler de cet en-cas (6), examiner les placards (5) ou quitter la pièce. Dans ce cas-là, tu peux te rendre au chapitre 156. Rends-toi au paragraphe correspondant à ton choix.

(5) Tu as décidé d'examiner les placards :

En commençant par le coin le plus éloigné de la pièce, tu ouvres les placards. Le premier est une espèce de garde-robe où tu peux voir des robes et des chemisiers pendus. Tu ouvres la deuxième porte, et la terreur que tu éprouves alors te fais bondir en arrière, attirant l'attention de Daesung. « Qu'est-ce... » Mais le jeune homme ne termine pas sa phrase. Dans ce placard, se tiennent deux squelettes à demi vêtus de guenilles. Les ayant sûrement dérangés en ouvrant la porte, les deux créatures reprennent vie, et avancent vers vous pour vous attaquer. Le premier réflexe de Seungri est de prendre le plateau posé sur la table de chevet et de l'envoyer, tel un frisbee, en direction du squelette venant vers lui. Suite au coup, sa tête tombe sur le sol et se met à rouler. Le monstre bat des bras, à la recherche d'un victime mais se fait un croche-patte et se retrouve sur le sol. Le maknae en profite pour se jeter sur lui et le déboîter complètement. De ton côté, voyant l'efficacité du geste de ton ami, tu prends la lampe de chevet et l'envoie sur le deuxième squelette qui s'étale sur le sol. De la même manière, tu en profite pour t'approcher de lui et le mettre en pièce. Une fois vos adversaires inoffensif, vous vous relevez, satisfaits.

Tu peux te rendre au chapitre 156.

(6) Tu as décidé de goûter l'en-cas :

Tu examines ce qui est posé sur le plateau avec la plus grande attention, mais ne remarque rien qui aurait pu attirer ta méfiance. Tu prends une tranche de pain et commence à la porter à ta bouche quand Seungri te la prend des mains.

« - Tu m'expliques ce que tu es en train de faire ?

- Je commence à avoir un petit creux, Seungri et ça semble inoffensif, expliques-tu.

- Et le poison, tu peux savoir si il y en a ou pas ?!

- Non... Tu as raison... Dis-tu en faisant la moue. »

Le coréen te regarde, une lueur dans les yeux et met la tranche de pain dans sa bouche.

« - ! Cries-tu, sidérée.

- Si quelqu'un habite vraiment ici, ça m'étonnerait qu'il s'empoisonne tout seul, ajoute-t-il en te lançant un sourire taquin.

- Dans ce cas, tu aurais pu prendre une autre tranche !

- La tienne avait l'air meilleure ! »

Tu lui donnes un coup dans l'épaule, frustrée puis reprend du pain.

Tu peux maintenant examiner les placards (5). Mais tu peux aussi quitter la pièce. Dans ce cas, tu peux te rendre au chapitre 156.

Le Manoir Des Horreurs [BIGBANG Version]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant