Livre 7.

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Point de vue Eden.

Point de vue Eden

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On est Samedi. Je suis actuellement dans un état pitoyable. En étoile de mer, au sol et en sous-vêtement je réfléchis à la tenue idéale. Enzo sera là, dans quelque heure à peine. C'est une catastrophe. J'aurais vraiment besoins de l'aide d'une amie pour ça. Plus j'y pense et moins j'arrive à me décider. C'est fous quand même. J'ai tellement peu de rendez-vous avec des hommes, que je ne sais plus quoi faire dès que j'en es un. Je suis super stressé en plus. Quand je crois qu'une idée me vient à l'esprit, je fini par me dire que s'en n'est pas une bonne et je l'oublie vite. Revenant à chaque fois au point de départ dans lequel je suis actuellement.

Sans prévenir, une idée fuse dans ma tête et cette fois-ci la bonne, me faisant me relever avec un grand sourire au lèvre. Dans le temps impartit qu'il me reste c'est à dire à peine deux heures devant moi. Quand il faut y aller, il faut y aller alors c'est partit pour me faire une beauté à coupé le souffle.

Pour une fois que je donne du mien dans un rendez-vous c'est un exploit. D'habitude je ne donnerais jamais autant je m'étonne de jour en jour décidément.

Bon résumons le tous, ma tenue ce résumera donc à une robe entièrement blanche en dentelle avec un ruban en soie au niveau de la taille comme ceinture et des longues manches qui finissent en évaser. Pour ce qui s'agit des chaussure ce sera nul autre que des escarpins blanc verni. Tandis que mes cheveux seront bouclés avec un maquillage naturel. Puis pour finir la touche final un petit sac à main et le tour est joué. Avec tous il ne me reste plus qu'a attendre dix minutes avant son arriver. Surement les plus longues de ma vie.

Comme-ci le temps avait voulu me contre-dire la sonnette retentit dans tous mon logement. Dans une précipitation sans nom, j'arrive devant ma porte et jette un petit coup d'œil à l'œilleton de ma porte. Oui, c'est bien lui pas d'erreurs possible. Alors je prends une inspiration et expire tous doucement. J'ouvre enfin cette porte séparant jusqu'à maintenant nos deux être. Son regard s'illumine rien qu'en me voyant et je sais qu'à partir de là, j'ai réussis mon coup.

"- Tu es vraiment magnifique.

- Merci, tu n'es pas mal non plus je dois dire."

Je lâche un petit rire nerveux sous la pression de son regard intense. Je prends mon long manteau blanc et ferme derrière moi. Il me tends son bras que j'accepte sans rechigner. Arriver à sa voiture il m'ouvre la portière passager et je m'y glisse à l'intérieur. Il en fait de même et la voiture démarre une fois que l'ont s'est attachés tous les deux.

***

Devant le restaurent, il gare sa voiture à proximité de celui-ci dans le parking privé mis à disposition. Nous descendons tous les deux pratiquement en même temps et nous nous dirigeons vers le fameux restaurent, après qu'il est soigneusement fermé son véhicule. À l'intérieur de ce dernier l'ambiance est vraiment des plus cosy, tous en restant chic avec une musique classique en fond. Il a du vraiment prendre son temps pour le choisir celui-là. Je peux me dire qu'au moins il a vraiment mis du sien dans ce rendez-vous. C'est dans ces cas là que ce n'était pas une si mauvaise idée d'accepter. Mais je me dis que tous de même, malgré avoir accepter cette sortie avec lui je n'es pas fais ça que dans un seul but. C'était aussi pour provoqué l'autre brute de Zayn. Je l'accorde, je joue à un jeu dangereux, au vue du faite que ce n'est pas n'importe qui. Sans mentir, je crois que c'est aussi le manque d'adrénaline dans ma vie qui me fait faire tous ça depuis que je l'ai rencontré. Jamais avant je me serais dis: tiens est si je jouais à un jeu de provocation avec un terrible prisonnier. Je ne sais pas ce qui me passe par la tête en ce moment, mais je ne préfère pas y penser. Je vais plutôt arrêter de m'en faire et profiter du moment présent.

Dans mes pensés je n'avais pas entendue Lorenzo m'adresser la parole.

"- Euh... Pardon, tu disais ?

- Je disais, as-tu choisis ce que tu voulais mangé ? Le serveur attends que tu lui dises.

- Oh. D'accord, je vous dis ça toute suite."

Rouge de honte de mettre ridiculiser à peine arriver, je m'empresse de choisir ce que je voulais et ne plus y penser. Le serveur note le tous et s'en va enfin sans un mot de plus, n'oubliant pas les cartes avec le choix des repas. Je redirige ensuite mon regard dans celui de mon collègue de travaille qui lui ne m'avait encore jamais lâcher du regard.

"- Tu me le dirais si tu avais des soucis ?

- Bien sûr. Pourquoi cette question ?

- Je ne sais pas tu avais l'air bizarre il n'y a même pas cinq minutes.

- Ce n'est rien, t'inquiètes pas. J'étais juste dans mes pensées. Rien de grave.

- Tant mieux, si ce n'est que ça alors oublions et passons à autre chose."

S'ensuit alors des discutions en tous genre.  Ainsi que des rires. Je ne regrette pas d'être venue finalement. J'en es même oublier ce qui me tracasser au début de ce rendez-vous. Je profite à fond et c'est sa le principale.

Comme toute bonne chose à une fin, il est temps qu'il me raccompagne chez moi. La peine ce voit sur son visage. Je vois bien qu'il voulait que sa dure un peu plus longtemps. Mais il faut bien que je rentre chez moi un jour. Alors ne perdant pas de temps nous sortons de l'endroit duquel nous étions pendant une bonne partie de la soirée. Puis nous faisons le chemin inverse de tout à l'heure jusque chez moi, logique.  Arriver devant ma petite demeure, pas même un chat ne traînant dans la rue, c'était vraiment le silence total. Pratiquement flippant je dirai.

"- Bon et bien voilà, j'ai été ravi de passer ma soirée avec toi, Eden.

- Moi aussi Enzo, merci beaucoup."

Sans plus tardais, je m'arrêtais à ne lui faire que la bise et un sourire, ne projetant rien de plus avec lui pour le moment du moins, je pense. Je descends de la voiture et avance vers ma porte ne l'ouvrant pas toute suite pour me retourner et lui fait un dernier signe d'au revoir. Qu'il me rendit aussitôt avec la joie se lisant parfaitement sur son visage.

Sans crier gare, une voiture roulant à tout allure dans ma rue frêne légèrement devant la voiture de mon camarade de cette soirée. Pour prendre le temps de lui lancer un objet assez solide pour brisée sa vitre de voiture et repartir aussitôt. Tous ça sous mes yeux impuissant.

Alors ni une, ni deux je fonce jusqu'à lui pour voir si il n'a rien de casser.  La tête remplie d'inquiétude et de remords.

Parce que je me dis que si sa ce trouve, cela était peut-être de ma faute.

C'est un criminel ne l'oublie pas.

C'est un criminel ne l'oublie pas

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La Bibliothécaire de prison. [ZM]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant