{ Partie 1 }

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Salam Aleykûm

Tout d'abord je tiens à prévenir toute les âmes sensibles que cette chronique contiendra des scènes, choquante, violente et de sexe. Vous êtes assez grand pour savoir ce que vous lisez donc. Bonne lecture

Je suis de service de nuit, aujourd'hui. Adossé sur le lavabo, je me regardais dans ce miroir tout sal, mes cernes apparents et ma mine fatigué.
J'ouvre le robinet et passe un coup d'eau sur mon visage.

Je retourne faire mon travail, c'est à dire; distribué des serviettes et être au soin des personnes etc...

J'allais rentré dans la chambre
entre ouverte mais je vis Amina, ma collègue parlait avec un patient assez âgée.

-Amina : Si vous avez besoin, je suis là.

-Patient : Ne t'inquiète pas. De toute façon je vais pas rester ici longtemps.

-Amina : C'est vrai que tu vas de mieux en mieux avec le temps.

-Patient : T'as vu ça, je reprends des forces.

-Amina : T'a raison.

Après ça, j'ai pas plus écouté. J'ai été dans la chambre suivante. Il s'agissait de Monsieur Albert, un patient dont je m'occupe régulièrement, d'une quarantaine d'année.

Comme à mon habitude, je vérifiais que tout aille pour le mieux pour lui.

-Moi : Vous allez bien Albert ?

-Albert : Combien de fois je t'ai dit que tu pouvais me tutoyer ?
Sinon, oui ça va.

-Moi : Je sais mais n'oubliez pas que vous êtes mon patient, ça me gênerait de vous tutoyer.

-Albert : *rire* Qu'es qu'il y a de gênant de tutoyer quelqu'un ?

-Moi : Je...je ne

-Albert : *en me coupant* Mariama depuis le temps qu'on se connaît t'arrive encore à être timide ? T'es tellement mignonne comme fille.

Je ne répond pas. Voilà pourquoi je suis aussi gêner avec lui, il me met très mal à l'aise.

Cette situation me met très mal à l'aise, ça reste un patient à mon égard quand même, j'ai préférais fuir comme à mon habitude.

-Moi : Je... vous, puisse que vous allez bien je vais vous laisser Albert.

-Albert : Tu sais que j'ai énormément de soucis de santé, je pense pas que j'aurais encore les yeux ouverts dans 1 ou 2 ans. Donc j'voulais te faire une proposition.

-Moi : Monsieur Albert ! Qu'es ce qui vous prend, ne dites pas ça, il faut avoir la volonté de vivre. Et pis qu'elle proposition ?

-Albert : Tu sais que je comporte une énorme richesse à mon égard ?

-Moi : Euh... oui, je sais que vous êtes assez fortuné mais je ne vois pas le rapport avec votre proposition.

-Albert : Attend laisse moi finir ! Je voudrais que le 21 mars 2019, tu t'introduises chez moi, dans ma maison il y a un coffre fort contenant des milliards d'euros. J'aimerais que tu prennes tout cet argent et que le caches dans un lieu sure.

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