Un Combat De Longue Durée

Une vie en plus, cachée.

Me voilà,  enceinte,  depuis quelque semaine déjà,  je ne savais pas où j'en étais. Je n'osais pas en parler à kylian,  celui qui m'avais mit enceinte devait assumer,  avec moi,  car effectivement,  je voulais le garder,  5 min de plaisir c'est bien,  mais assumer les conséquences,  c'est mieux. 

_Bébé ? 
Me dit alors une voie qui ne mettais pas inconnu.
Voilà ma meilleure amie qui débarqua dans mon lit.  Elle voyais que mon visage qui c'etais décomposé.

_oui.
Lui repondis-je sèchement,  après avoir sécher le peut de preuves de ma tristesse. 

_tu es sûre que sa va ?? 

Comment lui expliquer que ma vie venais d'être bouleverser,  de À à Z je ne serais plus la même femme,  comment lui crier ma peine et Mon désespoir,  impossible,  elle n'y était pour rien dans tout sa. Je la regarda,  avec un sourire forcer,  et hocha la tête pour lui affirmer que tout allais bien.  Même si dans mon pauvre cerveau, mes neurones venaient de prendre les bagages. 

Je me leva, après de longues minutes perdu dans mes pensées, je pris des habits plutôt sexy dans mon armoire,  un short,  avec des bah résille, un haut bien échancré de chaque côté. Rien de mieux pour me sentir dévorer du regard. 
Effectivement à peine habiller,  ma femme me regarda, elle n'avais qu'une envie me sauter dessus.  Sortie de la chambre c'etais le tour des jeunes du foyer,  de me regarder avec leurs regard bien décider à me faire comprendre certaines choses, plutôt mal seins pour certain. 
Talon,  maquillage parfait,  coiffure en bataille,  rien de plus qu'être sois même pour ne pas éveiller les soupçons. 

C'etais une journée banale,  un vendredi comme les autres,  avec nos 6 euros d'argent de poche, on avais envie de gâteau et de sucrée,  nous nous somme diriger vers le Leclerc, un homme, se dirigea vers nous. 
Arrêté à la gare car nous devions attendre le prochain bus il venait droit sur nous, cette personne je l'avais déjà vue,  mais où... 
Cette question me trottait dans la tête, quand il arriva à notre niveau, voilà que mes souvenir revena

La fête foraine,  voilà où j'avais croisé cet homme,  c'etais H. 
Par mon plus grand désespoir,  il venait pour moi. 

_hey !  Salut toi

_salut
Mon language corporelle signifiait que j'avais peur,  peur de lui mais pourquoi ?  Aucune raison n'étais apparente,  mais il était plutôt sympathique  aujourd'hui.

La conversation pris très vite fin,  quand le bus numéro 2 JUSTICE fit apparition au coin de la rue.  Soulager, je me suis empressée  de rentrer dans le car. Souffle court,  mon coeur battais la chamade,  mais impossible de déterminer pourquoi.

Peur du regard des autres ?  Mais c'était impossible,  j'avais tellement besoin de me sentir belle pour les hommes.  Je n'avais presque que sa en tête.  Mais lui ?  Non je ne voulais pas être sont idéal féminin. 

Arriver au Leclerc, le regard des hommes me faisais rougir,  j'étais bien,  je sentais des yeux se rivés sur mon fessier,  j'étais cleen,  et pourtant dieux c'est à qu'elle point je rigolais. 
Malgré  la nouvelle aprise peut de temps avant, je souriais,  rigolais. C'était peut être faux,  mais au moins je donnais l'impression de joie et de bonheur.  Tout se que je voulais. 

Aucune questions,  aucune discutions inutiles, n'étais intervenu dans notre virer sucrerie. 

Gâteaux,  glaces,  bonbon,  coca, voilà se qui composait mon sac à la sortie du magasin. 
Madysone me redonnais le sourire à chaque foie que je repensais à tout ça. Je ne lui avais rien dit et pourtant j'avais tellement l'impression qu'elle étais au courant. 
Le sourire revenu,  le sac remplie de bonne choses à grignoter,  il était temps de rentrer,  et de se poser dans le lit. 
Mal au dos,  j'avais l'impression  qu'il était belle et bien présent,  mais rien ne pouvait venir gâcher cette journée entre copine. 
Arriver au centre ville,  Mady à eu une idée lumineuse,  pour une foi, je ne savais que faire du reste de ma journée quand elle me proposa d'aller à Jennifer essayer des habits. 

C'etait une bonne idée. 
Arriver à Jennifer,  les fou rires commençait alors sans arrêt. 
Des habits aussi moches !!  Aussi laid !!  C'etais pas possible de porter sa. 
Ma meilleur amie me tendait un tee-shirt,  plutôt sympa à vrai dire,  decolter, c'etais un peu mon style,  mais pas trop...

_Aller essayé le !! 
Elle avait vraiment envie de me voire avec.

_D'accord, tu as gagner...
Un soupir s'échappa de ma petite bouche,  mais elle n'avais pas eu le temps de le relever que j'étais déjà dans les cabines d'essayage. Plus vite fini plus vite partie. 

J'enleva alors mon tee-shirt,  regarda mon ventre,  des larmes s'écoula de mes petits yeux vert,  maquiller de noir. 
Mon ventre avais pris de l'empleure... 
Je repensais sans arrêt à mon ex,  et à mon futur bébé,  mais je ne pouvais pas montrer le résultat a ma meilleure amie,  elle l'aurait vue de suite. 

_Alors ?  Comment il te va ?

_je n'aime pas du tout, j'ai l'aire grosse la dedans !! 

_Montre !! 

_non t'es folle !!  Je peut pas te montrer une telle horreur ! 

_aller arrêt j'suis sûre t'es magnifique ! 

_non non,  et de toute façon je l'ai déjà enlever. 
En vérité, je l'avais encore sur moi,  mais mes yeux ne pouvaient pas se détacher de mon ventre,  d'un geste de main je me caressais le ventre en pensant à ce qu'il allait arriver. 
J'avais peur.
Ma meilleure amie,  impatiente était sont plus gros défaut,  elle tira le rideau et rentra avec moi dans la cabine.

_Mais il te va très bien !! 

_non
En quelque seconde mon corps était nu,  un soutien gorge venait habiller ma poitrine. Elle regarda mon ventre.
Prise de panique, peur qu'elle avait remarquer une chose étrange, je repris mon haut et l'enfila.
Quelque minutes furent passés, nous étions dehors.  Elle m'arrêta, et me dit d'un tont intrigué.

_qu'est ce qui t'arrive

_quoi qu'est ce que j'ai fait ?? 

_ bah j'sais pas tu es bizarre. 

_bah non je suis juste fatiguer,  on rentre maintenant s'il te plaît,  je me sens pas bien. 

Je pris le bras de ma meilleure amie et partie en direction du foyer.
Sur la route, aucun mots n'étaient sortie de ma bouche.
Arriver dans ma chambre,  porte fermer à clef, les habits que je portais vola contre le mur.  Complètement nue,  mes larmes faisaient couler mon maquillage noir. 
Me caressant le ventre,  musique dans les oreilles je ne pouvais penser qu'au pire. 

"jeune, de 17 ans,  enceinte et vivant dans un foyer,  avec une maman a 600 kilomètre, et un père qui l'avait abandonner. C'est une honte d'avoir mit au monde un enfant, avec aucune situation stable. "

Ces mots raisonnaient dans ma tête sans relâche. 
Plus les larmes coulaient, plus je me devais d'en parler à ma meilleure amie. 

Mais mon cerveaux en était incapable. 
Quand mon regard croisait le sien,  je n'avais aucune envie qu'elle se réjouisse de mon malheur, ou bien qu'elle me prenne en pitié. 

Mais j'avais envie de le garder. 
Que faire. 

Un silence de mort,  voilà la solution.
Je pris la totale responsabilité de me taire.  Et de ne pas en parler jusu'au moment où je devrais tout lui avouer.
Mais bon,  ce n'étais pas demain la veille que mon corps allait gonfler ?

Je fit mine de rien,  et continua de vivre,  j'ai fini par l'oublier.  A mon plus grand regret.