AKBAR BENDAOUD. Reporter puis chroniqueur au « Spoutnik ». Il a reçu le prix Mansour 2016 décerné aux journalistes de la presse écrite. Ce livre vient pour marier son parcours, ses mémoires, avec sa plume destiné aux chroniques dans l'hebdomadaire. Bien que son œuvre se
déroule à Marrakech, les personnages de son itinéraire sont nés de l'imagination et aucun portrait qu'il brosse ne correspond à la réalité. Son héros tient son inspiration de la société. Dans ses chroniques, il porte le prénom calqué du film iranien « Les Enfants De Belle Ville ». Il s'appelle AKBAR, tout nu. Il prend l'échelle des radios, enchaîne avec les romans et les magazines. Marie la littérature ironique à sa société, divorce les mots avec l'arabe et récolte la vérité avec ses yeux. Il est tenu pour beaucoup par sa partie fascinante : L'écriture. Son signe : « Marocain ». Il déteste la mauvaise traduction. Un vrai. Vocaliste de sa marque : « Un vrai Marocain ». Il n'est pas prêt à rejeter son pays. Il n'est pas un ingrat.Etant étudiant qu'il rencontre pour la première fois Ali-Réda Nogod Hatimi, fondateur et directeur de publication d'un hebdomadaire marocain LE SPOUTNIK. Des échanges avant de se trouver dans les locaux du magazine. AKBAR BENDAOUD commence à plonger dans tous les bains. Ainsi, après avoir vécu à Agra, une ville indienne où il passe trois ans. Il va être nommé pour accompagner un groupe de jeunes musiciens dans leur tournée en Afrique noire : Une bande d'ingénieurs qui ont tout abandonné pour vivre de leur passion. Il se trouve qu'à ce moment de sa vie, il est arrivé à bâtir une notoriété à travers ses chroniques. D'une certaine manière, il a su raccrocher l'intérêt des lecteurs.
Après son circuit avec le groupe de « Megalodons », on peut difficilement croire qu'il s'installe en Grèce et qu'il ne la quitte qu'après deux ans encore. Santorin la séduit, ses mots d'elle méritent d'être lus : « Dieu lui a donné la teinte, toute comme toi c'est belle, blanche, bleue, bleue indigo, terre de Sienne, vert émeraude et rose tyrien. Elle a mérité d'avoir sa chance ». « Santorin habite le brouillard. Les touristes débarquent à la découverte du volcan et de la mer, dénicher les perles. Hallucinante cette nounou qui nous porte sur son dos. J'ai monté sur cette face postérieure, j'ai marché. Et je me suis mis à voir les enclos, le sous-bois, l'horizon comme étranger, comme allochtone. Les gens sont joviaux. J'ai trouvé tout l'origine, le droit de vivre, d'être accepté, toutes les intuitions et tous les flairs ».
Plus fascinant encore, sa vie, son aventure personnelle. Il porte un vif sentiment d'affection à Jérusalem, sa dernière destination avant de regagner son Maroc. La ville cosmopolite qui lui a fait preuve de bonne foi : Elle lui a offerte son épouse(Zaray).
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LA TRANSE A ASYUT
Random« Akbar Bendaoud. Reporter puis chroniqueur au "Spoutnik". Il a reçu le prix Mansour 2016 décerné aux journalistes de la presse écrite. Ce livre vient pour marier son parcours, ses mémoires avec sa plume, destiné aux chroniques dans l'hebdomadaire...