Sergent Cabello (camren)

2: Je suis désolé

Mama: "Vous êtes sur que ma fille ne peux pas rester si vous plaît, je paierais si il le faut"

Proviseur: "non madame, votre fille est aller beaucoup trop loin, elle a failli tuer sa petite amie"

Mama: "Sa quoi?!"

Proviseur: "sa petite amie madame, pourquoi?"

Mama: "on va avoir une discussion toi et moi" me dit-elle en me regardant comme si j'étais un déchet.

Un léger soupir sortit de mes lèvres. Ma mère essaya de négocier pendant cinq minutes encore jusqu'à ce qu mon ex-principale nous demande de sortir car il avait un rendez vous après nous.

*****
Arrivée chez moi, ma génitrice m'enpoigna le bras et me retourna pour que je sois face à elle.

Mama: "Tu n'es qu'une erreur!" Me hurta-elle. Elle suivie ses paroles d'une violente gifle qui me fit monter les larmes aux yeux. Ce n'était pas la gifle en elle même qui me fit verser quelque larmes, avec la boxe je me prenait souvent des coups, c'est le fait que ma propre mère ne veuille pas m'accepter comme je suis.

Mama: "Tu n'as pas honte de vouloir sortir avec une fille?! On en avait parler de ça! Une fille n'a pas de relation amoureuse avec une autre fille, c'est contre nature ce que tu fait! Pourquoi tu crois que c'était Adam et Eve?! Parce que une femme et une femme ne peuvent pas avoir de sentiments entre eux! Tu est une FILLE bon sang! Tu me dégoûte!"

Moi: "C'est toi qui me dégoûte à avoir se genre de pensées, tu t'entend? Tu rejette ta propre fille parce qu'elle est lesbi-"

*CLAC*

Mama: "Ne me parle plus JAMAIS sur se ton jeune fille, tu m'entend?! Et non je ne suit plus ta mère, tu n'es plus ma fille, ma fille n'aurais jamais tenu des propos comme les tien! Je vais te mettre au camp militaire de miami de suite! Je n'aurais plus à supporter ton opinion de sale homosexuel!"
Je resta bloquer devant ses paroles, elle ne me considérait même plus comme sa fille et elle voulais se débarrasser de moi.

Moi: "bien si c'est ce que tu veux " Répondis-je tristement.

Je partie m'enfermer dans ma chambre et appela de suite normani.

*appel*

Mani:" oui" dit elle en soufflant

Moi: "elle ne veux plus de moi mani..." dis je en larme sur mon lit

Mani: "moi non plus, après m'être fait renvoyer, ma mère a décider que se seras une bonne idée de l'envoyer au camp militaire de miami pour que, je site,"soit plus utile aux autres au lieu de frapper une lesbienne en chaleur""

Moi: "attend, elle ta envoyer au camp de miami?" Dis-je légèrement plus enjouée

Mani: "Euuuuuuu...oui, pourquoi? "

Moi: "ma mère a décider de faire pareil"

Mani: "au moins je ne me retrouverai pas complètement perdu la bas"

Moi: "oui, au moins" Dis-je

*****
Normani avait raccrocher depuis 10 minutes déjà, mais je n'avais toujours pas bougé, j'étais rester affalé sur mon lit.

Mama: " VIENS MANGER" me cria-elle.

Je descendis à la salle à manger et m'assis sur ma chaise. La tension à table était palpable.

Mama: " C'est fait"

Moi: " de quoi?"

Mama: "et bien ton envoye au camp militaire petite conne, en plus d'être homosexuel, tu sais pas réfléchir? !"

Je ne répondit pas de peur que ma génitrice ne me face de remarques plus douloureuses, et baissa mon regard vers mon repas.

*****

J'étais devant la gare avec normani, aucun de nos parents ne voulait nous accompagner pour les au revoir. Nous étions donc seul à attendre comme des cadavres que le train arrive.

Une fois arrivé, nous somme monter dans le train presque désertique, normal, sachant que c'est une vois réservé pour le camp de miami. Je m'installa entre la vitre et mani. Comment est ce que j'en suis arriver là...
Pourquoi Lucy m'a t-elle trompé, je ne lui suffisait pas?
Moi qui commençait à tomber amoureuse, apparemment, ce n'était pas réciproque.

Mani: " Ne pleure pas lau', elle est juste conne et elle sait pas ce qu'elle loupe en te quittant."

Je n'avais même pas remarqué que des larmes c'était former aux coins de mes yeux. Tout en soufflant je posa ma tête sur l'épaule de ma voisine et laissa toute mes larme sortir sans retenu.