le commencement

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Par un beau jour de Printemps, j'allais en cours.
La lumière de soleil m'aveuglait tandis que les oiseaux chantaient, Quant à eux, les Cerisiers commençaient à éclore et montraient leurs plus beaux atouts.
C'était une belle journée qui s'annonçait !

Vers 8h j'arriva au collège et rejoignis Alice et Nagini, mes deux meilleures amies. Elles étaient entrain de discuter au loin, ce n'était pas difficile de les repérer car au collège c'est Alice qui a les cheveux les plus longs.
Ils tombent jusqu'à ces chevilles et quand on la regarde, cela donne l'impression que ses cheveux l'enveloppent de par son petit 1m60. Puis Nagini elle, avait toujours des habits sombres comme vert foncé ou bien noir. Ce qui la différenciait des autres qui portaient toujours des couleurs vives.

- Hey les filles ! Vous allez bien ? M'exclamais-je.
Elles acquiesçerent les deux d'un air maussade.
- Mais..non ça va pas, c'est quoi ces têtes?
Elles partirent et me laisserent là, au bord de l'entrée.
La sonnerie retentissa et je couru jusqu'en classe.

- Mademoiselle Lidell, vous êtes à nouveau en retard.  Rétorqua mon prof, Monsieur Copsby.

- Et je m'en excuse sincèrement Monsieur !

Je partis m'asseoir au fond de la classe, à ma place habituelle. Celle ci était située au fond à droite, à côté de la fenêtre. Je ne pouvais m'estimer heureuse car vu ma taille, j'aurais dérangé mes camarades : 1m78 à la règle.

S'ensuivit le cours et les blablas habituels de Monsieur Copsby.
Mais l'on toqua à la porte, il alla ouvrir puis on vit la directrice.

- Mademoiselle Lidell, Dans mon bureau je vous prie.

Je pris mes affaires à la volée et suivi la directrice. Elle m'ouvrir la porte et me dis de m'installer.
Elle me regarda d'un air grave, son tailleur et sa jupe crayon lui donnaient cette touche de sévérité que tout le monde redoutait.

- Amelia... écoutez, ce que je vais vous dire ne va pas être facile à entendre. Alors je vous demande de rester calme, de garder votre contrôle sur vous et de respirer.

Je la regarda, légèrement affolée. "Et si on me virait de l'école..? Non qu'on me mette à pied..? Je ne peux pas, c'est important pour moi !” pensais-je.

Elle alla ensuite me répondre..


Voilà, j'espère que ce petit chapitre vous plaira. Bisous.

Tu t'en souviendras sous les cerisiersOù les histoires vivent. Découvrez maintenant