Voilà que mon train train quotidien continu peut à peut.
Entre école et sortie avec mes amis ma vie semblait tellement belle.
Malheureusement pour moi, c'était loin d'être le cas.
Alcool, drogue, et sexe j'avais tout pour être juger inapte à continuer mes études, ce qui fut un peu le cas.
Je ne supportait plus le lycée, les gens aussi faux, sà n'existait que dans mon bahut.
Alors que j'avais oublier l'existence du petit être qui vivait paisiblement dans mon corps, la dur réalité me fit faire une chute massacrante.
Je voulais le garder, mais la vie en avait décider autrement.Un matin, alors que je me rendais au lycée, mon ventre se mit à faire des choses étranges. Des douleurs étaient apparus de nul part. De longue minutes se sont écouler avant que je ne puisse bouger.
Je souffrais le martyre.
Des larmes coulaient de mes petits yeux tellement c'était intense.
Je passa ma journée avec ses douleurs à ne plus en finir, mais bon je prenais l'habitude.
En rentrant le soir, les douleurs emplifiaient. Il fallait que je face quelque chose en urgence.
J'ai appeller le planning familial en essayant d'expliquer les douleurs, j'ai bien 10 min avant de lui dire ou j'avais mal, car chaque impulsion, me faisais taire, de chagrin.
La jeune dame que j'avais eu au téléphone ma conseiller vivement de les rejoindre le plus vite possible. Qu'il fallait que je respire, et que je ne devais pas être seule.
J'ai donc suivis ses instructions à la lettre et décida d'y aller avec Mady.
Qui dit en passant me suppliais pour m'accompagner.Arriver sur place, une dame vêtu d'une blouse blanche, cheveux très court, âgée environ vers les 45 ans, me demanda de la suivre.
Elle m'allongea sur la chaise, et me demanda alors si j'étais enceinte.
Je lui répondis que oui, que sa faisais un moi que j'étais enceinte.
Elle me demanda si je voulais avorter.
MA réponse fut claire, un avortement pour moi est un meurtre.
Il en était hors de de question. Puis je m'y était habitué à ce petit monstre.La vielle dame se redressa, Une larme venait se glisser au coin de sont oeil, elle ne savait pas comment m'annoncer la nouvelle qui allais changer ma vie.
_Mademoiselle,
Me dit alors celle ci_Oui qu'eSt ce qui se passe
Inquiète, je ne savais pas se qui m'attendait._Je suis navré de vous apprendre que vous avez fait une fausse couche.
Mon monde que j'avais imaginer venais littéralement de s''effondrer.
Mes larmes ne cessait pas de couler.
Mes poing étaient si serrer que j'en avais des douleurs au bout des doigts.
Insondable, encore coucher les jambes écartés sur se fauteuil, mes yeux devenaient si rouge qu'on pouvait croire que du sang venait remplir le blanc.Elle s'escusa mille fois, mais ce n'était donc pas de sa faute, mais plutôt de la mienne, je m'en suis tellement voulus, et après visite cher le médecin, le bébé ne devait pas tenir, il n'y avais pas assez de je ne sais qu'elle liquide que possédait un corps féminin.
Et me revoilà, repartie en direction de ma cellule, avec mes deux yeux pour pleurer, ainsi qu'un pétard à la bouche pour oublier.
Oublier le faite que je vient de perdre une chose primordiale à mon avenir.
Je voulais être maman, mais comment y arriver si je n'arrive même pas à faire tenir mon bébé dans mon ventre.
Arriver là bah, je ne voulais recevoir personne dans ma chambre, sur le chemin je n'avais pas dit un mot, et encore moins quand j' étais rentrer.Rester enfermer sur moi même, jusqu'à se que la mort me séparer de cette dépression atroce.
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Un Combat De Longue Durée
Non-FictionD'après vous, que donnerais une jeune fille de 17 ans, style gothique, agresser à quelque pas de sa prison ? Et si on y ajoutais un peut de faute paternelle, ainsi qu'un peu de distance maternelle. Avec un soupçon de culpabilité, et de faible...