Le secret du saiyan auburn

Chapitre 2 : L'amour ne connaît pas de limite à son endurance.

Uzuki n'avait pas vraiment le droit de se plaindre de son espace de vie, car quand on comparait ce qu'on lui avait donné, comparée aux autres femmes du vaisseau, elle était traitée comme une reine. Bien sûr, il y avait mieux, mais elle a eu le meilleur dans le marché et elle avait accepté de vivre avec ça. Son espace de vie contenait une salle de bain, une chambre et une très petite cuisine.

La chambre à coucher n'était pas exactement ce que l'on peut appeler une chambre de princesse, mais c'était plus que suffisant pour Uzuki. Les murs étaient peints en bleu turquoise très clair, si clair que lorsque les lumières étaient allumées, sa pourrait être idiot de penser que c'était blanc ou verdâtre. C'est ça le problème de cette pièce, de l'avis du saiyan auburn, c'était qu'il manquait des fenêtres. Elle n'était en aucun cas autorisée à avoir des fenêtres.

Pour Freezer, c'était un privilège de voir ce qui se passait et elle n'était pas du genre à recevoir ce genre de traitement. Au malheur d'Uzuki, elle avait passé toute sa vie dans l'espace sans pouvoir profiter de la vue de ses propres yeux d'un bleu-vert profond. Au fil des ans, elle s'en était remise. Que pouvait-elle faire d'autre?

L'objet qu'elle chérissait le plus dans la chambre était son lit. Pourtant, ironiquement, c'est l'endroit où elle passait le moins souvent de temps. Uzuki avait des tâches très strict sur son calendrier organisé par Seigneur Freezer, et il n'y avait aucun moyen d'échapper à une telle chose. Tous les jours, elle devait se lever à 4 heures du matin et devait être présente au laboratoire médical au plus tard à 5 heures du matin. Elle n'a pas été autorisée de quitter le laboratoire jusqu'à ce que l'alarme sonne vers les 8 heures du soir. Elle a toujours pensé que la raison pour laquelle elle aimait tant dormir s'était parce que dans ses rêves, elle pouvait contrôler sa propre vie.

Et peut-être aussi parce que le lit lui rappelait tout ce qu'elle avait laissé de son ancienne vie sur sa planète. Les draps du dessus du lit étaient bleu pâle, la couleur préférée d'Uzuki. Quant à la couverture, elle était incrustée de minuscules rochers de la planète Yer-ger et d'un violet intense. Aussi loin qu'elle s'en souvienne, quand elle était au lit, c'était l'endroit le plus doux et le plus moelleux qu'elle n'ait jamais posé. Elle pouvait laisser la soyeuse sensation des draps caresser sa peau douce, pâle et abîmée.

La femme aux cheveux roux ne possédait vraiment rien d'autre dans la pièce, à l'exception d'une table de nuit en bois et d'un très petit placard pour y mettre la quantité ridicule de vêtements qu'elle possédait. Tous les vêtements que possédait Uzuki étaient deux robes, une robe de nuit et son uniforme de laboratoire. Ce n'était pas beaucoup, mais c'était plus que ce dont elle avait besoin, elle n'avait jamais porté rien d'autre que ces deux robes de grande classe que Freezer lui avait achetées. Elle ne pouvait même pas comprendre leurs buts pour eux, mais quand elle lui demanda, Seigneur Freezer lui dit seulement « Ils sont pour une occasion très spéciale ». Dans des occasions qui ne se sont pas encore produites et dont elle a peur.

Toute sa vie, Uzuki tenait à cœur, son prince et son endurance, mais les deux étaient étroitement liés. Elle avait beaucoup de soutien et souffrait beaucoup pour l'amour qu'elle portait dans son cœur pour son prince, plus que quiconque et à son chagrin, plus qu'il n'aurait jamais su. Et parfois, elle se trouvait si stupide d'avoir accepté tant de punition pour lui. Parfois, elle voulait seulement dire, maudite loyauté saiyan. Un incident en particulier lui a brisé le cœur en un million de morceaux et il lui en manquait encore quelques-uns.

« Flash-Back »

L'odeur dans la petite pièce était dégueulasse, ce qui n'était pas surprenant puisque la pièce était remplie de cadavres. Cet espace fermé contenait également quelque chose de très important, il était éclaboussé par le sang du prince des saiyans. Le prince Végéta avait tenté une attaque contre le Tout-Puissant Freezer et personne ne devait oser une telle chose. Certains auraient pu dire que le pauvre garçon n'avait que 17 ans, mais aux yeux du Seigneur, une trahison était une trahison et l'âge de ses imbéciles qui le faisaient n'avait aucune importance.