Tendres Obscurités

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Il y avait dans ce jardin
Me semblant très lointain,
Des arbres pourpres et morts.
Leurs vieux os croulaient,
Ils tombaient puis s'écroulaient.
Mais il y'avait un bouton d'or,
Relevant toutes ces afflictions
Ô bouton d'or, jette l'encre
Sur le rivage des délectations
Et cesse en vain de te pendre
À ces racines qui te fende
À nos tendres obscurités
Qui envahissent nos pensées.

chloe_desj



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Recueil de poèmes Où les histoires vivent. Découvrez maintenant