16.

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Anna.

Je suis à la visite du quatrième appartement et rien ne me convient. Soit c'est trop sofistiqué, soit pas assez. Et le seul qui m'a à peu près plu Hero à dit un non formel. Bon dieu, je ne vais jamais m'en sortir aujourd'hui. L'agent immobilier me dit qu'il va chercher d'autres appartements et qu'il me recontactera bientôt. Une fois sorti de l'immeuble, je décide d'accompagner Hero jusqu'au Daily. Il est déjà seize heures et mon estomac cri famine. Nous entrons dans le Daily et, je peux voir que Verity est déjà la avec Tony. On se dirige vers eux.

- Ah, vous êtes la tout les deux !

- Ouais, Hero est mal à l'aise, je... Je bosse dans une demi heure.

- Alors, ces appartements ?  Verity est super curieuse.

- Rien qui m'ai tapé dans l'oeil.

Hero hausse les épaules et se dirige vers l'arrière du comptoir pour aller déposer des affaires et mettre son tablier.

- Il est venu avec toi ?

- Ouais, il a insisté. 

- C'est trop bizarre, je pensais pas qu'il allait s'investir comme ça, dit Tony d'un air assez étonné. 

- Moi non plus mais, on a discuté et, apparemment il est prêt à assumer.

- Tant mieux pour toi !

Il me sourit, ainsi que Verity. Nous sommes interrompu par l'arrivée de l'équipe de football dont fait parti Alan. Il manquait plus que lui tiens. Ils nous observent et, un des coéquipiers d'Alan lui tape légèrement sur l'épaule tout en me regardant. Seigneur Dieu, faites qu'il ne vienne pas me voir. Loupé ! Alan se dirige vers notre box er s'asseoit aux côtés de Tony.

- Alors Anna, tu vas bien ?

- Qu'est ce que tu veux Alan ?

- Juste prendre de tes nouvelles, rien de plus.

- Je vais bien, merci. La moindre des politesses c'est de dire bonjour à tout le monde non ?

- Ouais ouais, salut.

Verity est assez gênée de cette situation alors que Tony est totalement à l'aise. Alan se tourne à nouveau vers moi.

- Retour à Miami pour Thanksgiving ?

- Non, mon père vient.

- Tu ne vas même pas voir ta mère ?

- Cette traitresse qui aime se faire manipuler par tes parents ? Non merci.

- Tu devrais mieux parler de ta mère, elle a toujours été la pour toi Anna.

- La pour me faire du mal oui.

- Il y a des rumeurs qui circulent ai campus à ton sujet.

- J'en ai strictement rien à foutre de ces rumeurs Alan, dis-je d'un air lasse. 

LOVE IS FOR THE WEAK.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant