La musique classique m'enivre dans l'idée mm de la vie.
A coup de poignard elle me tue de son paradoxe ambigus.
Alors je choisis de mourir dans le cocon de la création.
Il fut un jour ou,l'amour j'y aspirais,la beauté aussi, un temps ou je vivais dans l'éternelle contemplation de l'immortalité,
un instant ou je philosophais dans le cœur mm de l'humanité avec ses visages fou qui s'aimaient a vaciller par milliers.
Mais petit a petit la réalité si froide et neutre me collais sans cesse les os, et en tant que rageuse et folle reine ravageuse elle ne voulait pas sen aller, alors, courageuse, j'ai choisis de la regarder dans le silence de la foie, et de l'accepter.
Aujourd'hui en tant qu'esprit libre,j'ai décidé de m'éteindre de tout sentiments des affects souvent guidés par l'animosité,de ne plus m'attacher à l'Homme,
et de ne plus me fié à plus aucune de toutes ses curieuses métamorphoses qui passent souvent du divin à l'imonde.
D'intégrer ,d'inpregner profondément en mon âme sa destiné,qui elle, tend tjrs vers un debut, puis meurt vers une fin tres breve qui a tendance a tuer les vivants.
Voila, en simple mortel je me suis donné, accorder, le temps de mourir en paix tout en vivant dans la monstruositer.
Seul parce qu'abandonner j'ai appris apprivoiser ce monstre, de son visage gras gros et sans âme. Je l'ai étudier, maintenant que je le sais,que je lai vu et connu son être ( non sans mal), je laisse son image volait un jour d'automne oublier dans le ciel qui semble indifferent de mes eternels afliction. En somme il est vrai qu'on devient plus sage quand on comprend que ce monstre c une partie de nous mm...
dans tout ce merdier il y a Dieu seul symbole de la perfection que jamais je ne posséderai mais qui tjrs m'apprendra a aimer.
je m'efforcerai tt de mm a tendre vers cette perfection en étant le meilleur de moi mm ainsi je serai infimement proche de l'infinie.
le seigneur est le seul espoir auquel je peux me rattacher, car il est tout, et que en vérité sans lui le secret c que je ne suis rien.