Dream

Chapitre 11

Nous sommes samedi. Je me promenais dans le parc. En voulant emprunter le chemin inverse pour revenir au château, je vis Marguerite et Hermann s'embrasser derrière les buissons. Très bien.
Félicitation. Je suis heureuse pour eux.
Lambert m'aperçu et poussa brutalement Marguerite.
- Bonjour Lambert !
- Anna !?
- Je crois que nous avons une enquête à résoudre... Je me trompe ?
- Non ... J'arrive...
- Il aimerait passer plus de temps avec moi, affirma Marguerite.
- Je m'excuse mais j'ai des choses bien plus importante à régler que vos bêtises. À présent, je vous ordonne de partir, laissez-nous seul.
Mme Turner obéit.
- Alors qu'avez-vous de nouveau à me dire ?
- J'ai découvert la dernière fois un corps dans la marre. Je crois que les membres étaient découpés.
- Que c'est étrange... j'ai rêvé d'une marre avec un corps sous la glace.
- Alors allons voir cette marre.

- Regardez-moi ça, cria Lambert, une lettre, dit le docteur en fouillant les poches du corps.
Je courus vers lui pour lui piquais.
Le papier était froissé mais récent.
Je proposa à mon coéquipier de rentrer dans l'hôtel pour la lire. Il acquiesçât.

Bonjour ! Je voulais vous dire que vous êtes en train de lire le dernier chapitre de cette histoire.
C'est la première fois que je fais un roman policier donc je me rendais pas compte du temps et de la longueur de l'histoire.
Je souhaite vous faire un court résumé des prochains chapitres pour vous faire lire le dernier.
Le meurtrier est monsieur Dupes. Et oui ! Bravo si tu as trouvé !
Déjà il y a deux affaires en une : celle du domestique et celle de tous les domestiques. Il y a alors deux armes : la poêle et le poison. Je m'explique : M. Dupes en avait plus que mare de garder l'hôtel donc il a tué tous les hôtes. C'est illogique, pas vrai ? Mme. Costa (sa sœur) voulait garder le château en tant que maison. Si M. Dupes l'aurait déclaré, Mme Dupes se serait énervé et surtout dégoûtée de ne pas l'avoir fait plus tôt. Quand on voit la situation financière de sa sœur, on comprend. Le majordome ne voulait pas la voir dans un tel état. Le seul moyen était de tuer tout le monde en faisant semblant de ne pas être le tueur. Pas mal !
Je dois vous parler de Anna.
Elle est, maintenant, très amoureuse de Hermann mais elle a peur de le présenter à ses parents en disant que c'est un allemand. La première guerre mondiale est resté dans leur mémoire. Mais Mme Collin a aussi peur de revivre la même souffrance qu'avec Charle. Car oui, son fiancé est un pervers narcissique (une personne qui rabaisse son partenaire physiquement ou moralement).
Voici les dernières paroles de nos deux amoureux :

Je vis au loin Hermann fumant une cigarette. Je vins vers lui avec un grand sourire.
- Je crois qu'il est temps de se dire adieu Hermann.
- Je le pense aussi.
Il prit mes deux mains.
- Mais je dois vous dire une chose.
- Laquelle ?
- Je ne sais comment vous le dire de peur de paraître idiot. J'aimerais écrire un poème de trois pages rien que pour vous. Quand j'essaye de m'approcher de vous je rentre dans un monde dont je ne serais d'écrire. La lune n'est qu'éliminer par le soleil. Sinon on ne la verrais pas.
- Je ne comprend pas...
Il serra mes mains très fort.
- J'aimerais vous avoir rien que pour moi.
- Lâchez-moi !
- J'ai envie de poser mes lèvres sur les votre.
- Je vous en pris !
- Une tel beauté ne peut exister !
- Arrêtes !
- Tu me tutoie à présent? Tu m'aimes déjà...
Il m'obligea à l'embrasser.
- Non je vous aimes pas !
Il arrêta sa comédie et me regarda. Il avait honte.
- Pardonnez-moi. C'est que j'ai une très grave maladie: je vous aimes.
- Je suis désolé mais se n'est pas mon cas. Je n'aime plus.
- Pourquoi ?
- Touchez, lui dit-ai-je en mettant ma main sur mon cœur.
Il posa sa main.
- Vous sentez cette blessure ? Cette égratignure ? Je l'a porterai toute ma vie. Même quand je serai marié.
Vous m'avez prouvé que vous êtes un homme fou mais fidèle.
Je l'embrassais.
- Il est trop tard pour m'aimer.
Je vis mon taxi et je partis. Il ne bougea pas.
- Adieu ma douce Anna... J'espère qu'un jour, un homme mettra un pansement sur votre blessure.
- Je l'espère aussi. Adieu mon amour.
Une larme se mit à couler sur sa joue.
Je lui souris une dernière fois avant de rentrer dans ma voiture.

Merci d'avoir lu jusqu'au bout ! Je vous dis à bientôt.