Prologue.
~Point de vue extérieur
Malgrés le froid et la pluie, une jeune fille au cheveux blond vagabondait dans la nature sur sont fidèle destrier blanc. Contre tout attente la jeune fille paraissait heureuse d'être ici, ruisselante et frigorifiée. Elle s'arrêta, déscendant de sont étalon. Elle prit quelques bleuet dans sa mains, et ce mit a marcher entre les champs, le visage souriant, les cheveux plaqué contre sont corps, le cheval la suivant.
-Mademoiselle De Mont Argont, veuiller rentrer de suite ! Vous allez prendre froid.
-J'arrive Elisabeth.
Elle se remit sur le cheval et se mit à galoper le visage rayonnant de joie, malgrès le vent qui mettait ces cheveux en bataille.
~La femme qui avait appeller cette jeune fille (sa gouvernante), n'avait pas l'air agréable, ni contente, elle avait ces deux mains poser sur ces hanches, et elle tapait du pieds, ces cheveux ramenés en un chignon en hauteur gris, sa robe noir qui trainait a terre, ces yeux légèrements bridés, et ces lèvres pincer comme si elle se refusait de dire une érreur.
Comparer à ça, Mademoiselle De Mont Argont alias Alice, était une jeune fille blonde, au yeux bleu, dôtée d'un grâce incroyable, née dans une ferme du haut de l'amérique, fille d'un marchant et d'une demoiselle de bonne famille. Elle allait avoir 15, marier l'année dernière a un baron de 35 ans, riche, laid, mais sympathique. Alice avait été priver de sa liberter le jour de sont mariage, néamoint elle sortait tout les après-midi, dehord, qu'il pleuve ou vente, promenant sont étalon : Conga. Alice avait pour seul amie Marthe, une jeune fille intélligente,belle, amusante, avec né en moin deux ans de moin qu'Alice.Malgrès tout, ces deux jeunes filles ce comprenait. Pour Alice,Marthe était la soeur qu'elle avait perdu à l'âge de 5 ans.
~Alice déscendit de sont cheval remis sa robe et ses cheveux en place, le sourire au lèvres, caressant sont étalon. Sa gouvernante ne pus s'empêcher de la réprimander sur sa façon de faire. Alice hocha la tête, sans rien écouter. Elle alla ranger sont cheval, et alla vers sont époux,qui l'attendait dans la salle à manger.
-Ma chère qu'elle joie de vous voir.
-Cette joie est partagée mon époux.
Charles, lui fit une grande révérence, au qu'elle elle répondit.
-Mais il faut qu'on parle.
De quoi allait-il encore lui parler? D'un futur bal, de sont départ?
-Je dois vous parler de vos balades.
Ho,non, voila qu'il recommence, leurs balades, il détestait qu'elle aille se balader seul.
-Vous n'auriez le droit désormais qu'a une balade par semaine.
