La vie est un poison constant

Prologue

Coucou tout le monde !  Je vais enfin commencer à écrire mon histoire ! J' espère qu' elle vous plaira et que vous aller appréciez. N' hésitez pas à me dire en commentaires des remarques pour m' améliorer car je ne promet pas un prologue sensationnel.
Bonne lecture ! Je commence par un long chapitre.

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3 coups sourd retentirent à la porte bois de chêne.  Puis un voix se fit entendre derrière le lourd panneau:

《 Monsieur le président ?  Êtes-vous là ? J' ai à vous parlez d' une affaire urgente.

- Tres bien entrez. 》 Dit le président

L' homme se retrouva dans une vaste pièce où ronflait un grand feu dans la cheminée entourée de fauteuils chatoyants et moelleux. L' homme eu instantanément envi de s' y asseoir mais, au lieu de cela, il se dirigea vers le président accoudé à une table de billard et préparant son tir. De l' autre côté de la table se trouvait la femme du président qui regardait l' homme d' un air soupçonneux.  Cela rendit l' homme mal à l' aise et il attendit que le président termine son coup pour parler:

《 Monsieur le président,  comme je l' ai dit tout à l' heure j' ai à vous parlez.... Monsieur le président ??!!

- Hum ??!! Quoi ?! Oh c' est vous M. Schorwzt, je ne vous avait pas reconnu !!!

-  Oui c' est bien moi, Monsieur le president...pouvez vous faire sortir votre femme de la pièce c' est une affaire confidentielle.

Le président fit signe à sa femme de quitter la pièce et c' est seulement lorsque le bruit de ses talons aiguilles eurent disparus que l' homme reprit :

- Je crois que je connais la cause de tous ces morts, Monsieur le président...

- Quoi vous voulez dire que vous connaissez la maladie qui les tus tous si jeunes !!!

- Oui !  Comme vous le savez je suis le chef des scientifiques à votre service et il y a deux jours nous avons fait une découverte incroyable ! Pendant la nuit j' ai rêvé que j' entrai dans la piece désaffecté des laboratoires dont l' accès est interdit puis, plus rien...
J' ai donc décidé de m' y rendre et c' est la que j' ai découvert les notes d' un scientifiques des années 2150. Il y avait tout sur un bout de papiers et dessus il y en avait un autre...

- Qu' est ce que cela disait ???!!

- C' était une énigme, la voici.  Fit le scientifique en donnant un bout de papier sale au président.

- Berk ! !! Vous avez du désinfectant ???

- Monsieur le président !!!

- Très bien je lis !!!

Et le président lu à haute voix :

Deux personnes de l' âge enchantée
Dotées d' un nom de trois lettres dont deux voyelles
Unient par le sang d' un même être
Vous devrez vite retrouvez
Pour accomplir un destin funeste.
Ainsi elles iront au Santenisco
Affrontez les danger de l' eau
Du feu et des autres éléments
Car d' un courage ont à dotés leur esprit
A l' usine désaffectés elle devront t' allée
Et les parties manquantes ensemble et seulement ensembles s' assembler ont au premier quartier de lune  pour ne former qu' un et délivrer le monde d' un lourd fardeau.

Qu' est ce que ça veut dire ???

- Je crois qu' il faut trouver deux soeurs qui ont entre 13 et 16 ans ...

- Pourquoi des filles ??

- L' age enchantée est seulement pour les filles... puis je continuer ?

- Poursuivez, poursuivez...

- Il faut qu' elles aient toutes les deux un nom de trois lettres dont 2 voyelles et il faut les faire partir vers l' usine Santenisco, la plus dangereuse île du monde et la plus loin de nous pour qu' elle nous sauve tout du....Mais je ne vous est pas dit ce qui nous tu tous ???!!!

- Non !!!

- Monsieur le président....c' est l' air...

- Quoi !!! mais je vais mourir alors.

- Vous avez 35 ans donc oui.

- Il faut se dépêcher !!!

- C' est un poison qui met entre 35 et 45 ans à nous faire mourir et si pendant le premier quartier de lune l' usine est activée alors elle enlevera le poison de l' air. Mais le problème c' est que les autres États ne savent pas pourquoi tout le minde meurt et il ne faut pas leur dirent car seul Santenisco le savait et ils ont un antidote donc ils veulent garder leur usine éteinte.

- J' ai compris donc partez vite chercher les registres de noms de filles de Varlingtonn Abbeye, vite !!!

Le scientifique ne se fit pas prier mais ce qu' aucun des deux ne remarqua c' était la bonne avec son balai qui écoutait derrière la cheminée avec un sourire mauvais.
De toute évidence elle avait tout entendu et elle n' avait pas ce qu' elle paraissait être...