Un début étrange

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                                                 --Jour 1--

- Ce n'est  pas de l'imagination.


Cette phrase était l'ouverture de cette boucle où  j'étais  prisonnière.
La chambre aux murs noirs, la fenêtre  si petite, le liquide rouge qui me lance quelques mots de temps en temps, la silhouette  qui me rend visite, et finalement ce même  rêve.

Tout ça  n'était  point l'effet du verre de Vodka que j'ai  bu avant de me retrouver ici, ce n'est ni un rêve, ni de l'imagination  comme l'annonce le liquide rouge.

Voilà  maintenant, une nouvelle phrase qui se forme.
Ce n'est pas clair. Ce n'est pas une phrase !
Un symbole.
Un rond qui se divise en quatre.
Une partie illustre quelques traits incompréhensibles, que j'avais déjà vu.
Les traits dans mon rêve.

J'ai mal. Ma paume me brûle.
Les traits encore.
Ils se dessinent en noir sur ma paume.

Le monde devient de plus en plus petit.
Ça devait être normal car j'étais dans une chambre noire de 2 mètres sur 2 mètre, avec une petite fenêtre  dont les dimensions ne dépassaient pas 40 centimètres.

Je n'ai plus mal.

Le deuxième quart du rond annonce une sorte d'animal.
Un oiseau. Un corbeau plus précisément.
Les deux autres cases sont vides.

Plusieurs souvenirs courent dans ma tête.
Je mérite cet état. Je n'ai rien fait de bien.
Mon mal ne m'a pas sali toute seule. Mes proches aussi, même ceux que je ne connais pas ont été atteints.

Le corbeau  est le symbole de la mort.
Cette idée était du genre qui ne s'en allait pas facilement.
Elle s'accrochait à chaque millimètre de mon corps.
Oui ! Au point de faire vibrer mes membres, hérisser chaque poil de mon être, larmoyer mes yeux, bouleverser les battements de mon coeur.
La conclusion est devant moi.

Ma fin approche.
La mort embrasse de ses lèvres fines chaque cellule de mon existence.
Je n'existerai plus.

Les deux cases sont le vide.
Le vide... Ça sonne parfaitement imparfait là.
Mon corps sera vidé de mon âme.
Une nouvelle douleur fit apparition.
La douleur faite par la réalité, arrosée généreusement par la vérité.
                       
J'entends le chant des oiseaux.
Celui qu'ils chantent à l'aube, pourtant ça commence à faire nuit.
C'est contradictoire!
Comment je suis encore vivante?
Ça fait 3 nuits que je suis là, sans manger ni boire.
Et comment je n'ai pas remarqué que mes vêtements ont changé.
La dernière chose dont je me rappelle est le bar puis le verre de Vodka.
Je me souviens aussi que je mettais une robe noire, des talons aussi.
Et me voilà maintenant, vêtue d'un leggins en cuir, un gilet en cuir aussi et un brodequin.
Une grande différence.
Mais la couleur est commune.
  Le noir.
Toute la tenue est noire.
Je viens aussi de remarquer que mon petit sac à main a été remplacé par un grand sac à dos.
Ma curiosité me pousse à le fouiller, et je ne peux qu'accepter cette envie.
        Un manteau
        Un livre au feuilles blanches
Dont la couverture porte un titre en rouge.
               "En cas de perturbation"
Et le même symbole.
Il a encore deux cases vides.
Et pour le cas de perturbation, j'y suis déjà depuis les chants des oiseaux au coucher du soleil au lieu de l'aube.
Je pense que j'y serais durant tout mon séjour là.
Ah ! Comment ?
Une question réussi à briser le mir de l'ignorance.
  Comment je suis si calme ?
Et voilà plein de questions qui se posent.
  Comment je n'ai  pas crié quand je me suis retrouvée ici ?
  Je suis où ? Cette question ne s'est jamais posée avant.
  Pourquoi je n'ai pas cherché à sortir ?
  Pourquoi moi ?
Je hurle cette question.
Le livre s'illumine.
Je l'ouvre.
                   Stupéfaction...
                   Peur...
                   Angoisse...
                   Calme...
                   Compréhension...
                   Autres questions...
              " En cas de perturbation "
C'était le liquide rouge !
Le livre est le reflet portable du liquide rouge qui m'expliquait.
Je ne pouvait pas porter le mur dans le sac, alors que je pouvais porter le livre.

                                                --jour 4--
J'entends le chant des oiseaux.
Celui qu'ils chantent à l'aube.

Pourtant ça commence à faire nuit.
C'est contradictoire!
Comment je suis encore vivante?
Ça fait 3 nuits que je suis là, sans manger ni boire.

Et comment je n'ai pas remarqué que mes vêtements ont changé.
La dernière chose dont je me rappelle est le bar puis le verre de Vodka.
Je me souviens aussi que je mettais une robe noire, des talons aussi.

Me voilà maintenant, vêtue d'un leggins en cuir, un gilet en cuir aussi et un brodequin.
Une grande différence.

Mais la couleur est commune.
  Le noir.
Toute la tenue est noire.

Je viens aussi de remarquer que mon petit sac à main a été remplacé par un grand sac à dos.
Ma curiosité me pousse à le fouiller, et je ne peux qu'accepter cette envie.
        Un manteau
        Un livre au feuilles blanches
Dont la couverture porte un titre en rouge.
               "En cas de perturbation"
Et le même symbole.
Il a encore deux cases vides.
Et pour le cas de perturbation, j'y suis déjà depuis les chants des oiseaux au coucher du soleil au lieu de l'aube.
Je pense que j'y serais durant tout mon séjour là.
Ah ! Comment ?
Une question réussi à briser le mur de l'ignorance.
  Comment je suis si calme ?
Et voilà plein de questions qui se posent.
  Comment je n'ai  pas crié quand je me suis retrouvée ici ?
  Je suis où ? Cette question ne s'est jamais posée avant.
  Pourquoi je n'ai pas cherché à sortir ?
  Pourquoi moi ?
Je hurle cette question.
Le livre s'illumine.
Je l'ouvre.
                   Stupéfaction...
                   Peur...
                   Angoisse...
                   Calme...
                   Compréhension...
                   Autres questions...
              " En cas de perturbation "
C'était le liquide rouge !
Le livre est le reflet portable du liquide rouge qui m'expliquait.
Je ne pouvait pas porter le mur dans le sac, alors que je pouvais porter le livre.

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⏰ Dernière mise à jour : May 05, 2019 ⏰

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