La vie est un poison constant

Une rencontre inattendu

《 Monsieur le président elles sont là.

- Ah ! Mais qui ça ?

- Les filles de la prophétie...

- Ha mais oui quel idiot !!! Je descend tout de suite, Madame voulez bien sortir s' il vous plaît ? Demanda le président a sa femme alors qu' il était en train de disputer une nouvelle partie de billard.

La femme du président sortit de la pièce non sans pester qu' elle ne finirait jamais sa partie avec son mari tranquille.
Le président sortit de la salle de billard, traversant quelques couloirs sinueux et sombres de la villa, passant devant des salles de réunions et enfin débouchant dans des grands couloirs incroyable, au luxe indescriptible. Le président passa presque en courant devant un pilier de marbre sur lequel trônait un vase de l' antiquité prélevé dans un musée de Montecorresprit, une ville au nord de la leur.
Il provoqua un coup de vent et le vase s' écrasa en mille morceaux par terre. Je suis sûre que si la mère de Pia et May avait été la elle aurait crié quelque chose comme :

《 Le vase du musée de Montecorresprit !!! 》 mais elle n' était pas la elle était chez elle à se morfondre en l' absence de ses filles.

Le président déboucha dans une grande salle dorée et de marbre avec des lustres qui tombait du plafond tels des saule-plaureurs brillants. Sur un canapé rouge installé sur un coin de la pièce ( plus précisément sous un tableau du président installé sur une chaise longue de Reddyd beach la plus longue plage du monde ) se trouvait deux filles, une châtains et l' autre blonde, qui se ressemblait énormément, et l' air un peu perdues.
L' hôtelière leur avait demandé de prendre un siège dans la salle et de patienter sagement que le président arrive après avoir évidemment vérifier ce rendez vous avec le président car c' était plutôt des hommes politiques qu'on trouvait pour des visites.
Pia avait trouvé cet endroit merveilleux alors que May avait trouvé ce décors totalement irrespectueux envers les personnes pauvres et qu' il faudrait revendre les diamants à une entreprise pour pouvoir les donner aux gens pauvres.
Pia avait objecté car après les gens pauvres serait riche et le président serait pauvres et tout cela n' aurait plus aucun sens. Puis les filles s' était lancer le concours de trouver en premier le président et le gagnant aura 4 bonbons de le boulangerie sur le retour. Après s' être tromper 4 fois Pia commençait à désespéré.

《 Il vient ou pas ?!

- Je ne sais pas Pia patiente et regarde tu penses que si je lance ce galet sur le lustre un diamant ou un morceau de diamant tombera et avec on pourra le donner à une association de pauvre ....

-Laisse tomber ton association je crois que les bonbons sont pour moi !

May leva la tête et vit un homme plutôt grand avec un costar cravate bleu descendre les marches suivit d' un homme avec des pustules comme un vieux cornichon sauf qu' un cornichon est plus joli que cet homme .
Le président balaya la salle du regard ou il vit les deux filles assistent et sourit. Après une ou deux enjambées le président arriva à leur hauteur et leur dit:

《 Je suis ravie de vous rencontrer ! Tu dois être Pia fit il en regardant Pia.
Et tu dois être Ane ! Dit le président a l' intention de May.

-C' est qui Ane ? Demanda May

-Ho ! Tu es May pardon ! Laisse tomber Ane, vous verrez plus tard...
Veuillez me suivre .... dit il.

Les filles se levèrent et suivirent le président qui empruntait des couloirs sinueux et garnies de tableaux sans même se retourner une seule fois.

-Il a l' air sympa ! Murmura Pia

-Je trouve pas. Il a un truc de louche et a l' air bête! On pourrait faire flotter des ballons à l' intérieur de sa tête grâce à l' air qui s'y trouve.

-Il a du confondre le nom avec sa nièce c' est bon soit pas vexée.

-Je suis pas vexée !! Fit May outrée.

Mais la discussion s' arrêta la car le président leur dit:
《 Veuillez rentrer dans cette salle s' il vous plaît. 》

Les 2 filles rentrèrent dans une pièce vide mis à pas une porte au fond et une table avec deux chaises. Les filles se retournèrent d' un coup quand elle entendirent le cliquetis de la clé dans une serrure. Le président venait de es enfermer la, seule, dans une pièce !

《 Tu vois je le savait il est psychopathe ! Il veut nous tuer pour le plaisir ! Il a choisi notre famille par pur hasard et maintenant on ne reviendra jamais à la maison et je n' avait pas fini mon livre " La vie est un poison constant"...

-Stop stop stop !!! On va pas mourir et c' est quoi ce titre de merde pour ton livre ?

Mais May n' eu pas le temps de répondre que deux hommes très grands qu' elles avaient vu devant chez elle était entrer par la porte du fond et l' un deux avait un couteau ....